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    La Panthère Rose
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    82 critiques spectateurs

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    chrischambers86
    chrischambers86

    13 706 abonnés 12 423 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mai 2013
    L'inspecteur Clouseau, incarnè par le gènial Peter Sellers, obtint un ènorme succès dans "The Pink Panther" de Blake Edwards! Or, il s'agit d'un individu extrêmement maladroit, mais qui se tire assez bien d'affaire malgrè d'innombrables accidents de parcours! On dirait qu'il les attire et que les dèsagrèments physiques sont exclusivement destinès à Sellers! Le succès de ce personnage culte parce que malchanceux fut tel que les auteurs imaginèrent plusieurs suites à ses aventures hilarantes, et ce fût pour la suite, le très rèussi "A Shot in the Dark" du même Edwards, qui reste sans doute le meilleur èpisode de la saga! Drôle et honorable, où le rèalisme est en contradiction flagrante avec l'atmosphère de fantaisie et de pure irrèalitè qui a l'air insèparable du « splastick » , "The Pink Panther" doit beaucoup au gènie de son acteur principal! Même si ce premier volet est un poil surfait avec des erreurs de casting (Capucine en Simone Clouseau, Claudia Cardinale en princesse Dala), cette panthère rose est toujours en contact avec des êtres humains: elle gagne ou perd, selon les circonstances, ce qui èvite tout manichèisme, et permet de renouveler l'inspiration de l'auteur et l'attente du public! C'est quand le dèlire absurde devient normal que le comique se renouvelle! Et puis Sellers fera tellement mieux dans les autres èpisodes, notamment avec l'inoubliable Kato, son valet et partenaire d'entrainement aux arts martiaux! Musique mythique d'Henry Mancini dont le thème musical fut très populaire et fort connu du public! Cela ne doit pas faire oublier que Mancini a ècrit de nombreuses autres musiques de films tout aussi marquantes pour Welles, Hawks ou Donen...
    Estonius
    Estonius

    3 338 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 janvier 2021
    La réputation de ce film me semble quelque peu surfaite et n'est basée que sur les folies de sa deuxième heure. Voyons les choses dans l'ordre, après un générique époustouflant, pendant une heure on est proche de l'ennui, et si Capucine et David Niven font le boulot, on ne peut en dire autant de Claudia Cardinale en service minimum à tel point que l'on peut se demander si elle convenait au rôle, elle qui était si belle et si talentueuse dans "Cartouche" ou dans "Il était une fois dans l'Ouest", Robent Wagner lui est aussi transparent qu'une porte fenêtre, quand à Peter Sellers et ses clowneries, ça va bien cinq minutes. La seconde heure commence par une scène dans laquelle Blake Edward transcende le meilleur vaudeville, spoiler: avec amant dans le placard et porte qui claque. Un vrai bonheur, s'ensuit la scène des gorilles, puis ce défié automobile complètement surréaliste, chapeau pour l'idée du type qui prend une chaise pour mieux regarder tout ça !
    On est alors dans ce qui a fait le succès du film, ce dont on se souviendra… Puis le soufflé retombe avec une spoiler: scène de procès bête comme ses pieds
    . Film inégal donc mais avec des moments cultes. Et puis, il y a la musque d'Henri Nancini, quand même !
    Max Rss
    Max Rss

    197 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 avril 2019
    Soi disant une comédie incontournable. Oh, c'est vrai qu'elle l'est de par sa réputation et de par le succès qui fut le sien. Mais, cinématographiquement, ça n'est que de l'ennui et de la lourdeur. Les deux étant symbolisés par des scènes s'étirant monstrueusement en longueur. Le pompon revenant haut la main à cette scène ultra gonflante où David Niven fait son numéro de séduction à une Claudia Cardinale complètement pétée au champagne. Il faut attendre la toute fin pour que ça s'anime un peu. A l'aide de ce "ballet" automobile. Restent donc cette séquence mécanique et les maladresses de Peter Sellers. Ce qui est bien trop maigre pour un film avoisinant les deux heures.
    Serge Riaboukine
    Serge Riaboukine

    49 abonnés 946 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 juillet 2009
    Bien d'accord avec l'autre critique une étoile, le film manque cruellement de rythme et d'intérêt ! Peter Sellers permet malgré tout quelques sourires mais souvent, l'humour est au raz des pâquerettes ! On peut se demander pourquoi autant de suite et heureusement, certaines sont meilleures... Quand l'inspecteur s'emmêle, par exemple, est déjà plus amusant et rythmé. A voir si vous souhaitez découvrir l'intégrale de la panthère rose mais franchement pas indispensable !
     Kurosawa
    Kurosawa

    583 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 septembre 2017
    Après un générique malicieux qui laisse présager une entrée en matière virevoltante, "La Panthère Rose" commence finalement sur un rythme tranquille, présente de manière classique ses personnages en faisant oublier le cœur de l'action : le vol d'un précieux diamant. Sans être désagréable, la première heure du film, construite comme un long moment d'observation, manque d'énergie et de moments forts, au point où l'on se demande parfois si c'est bien Blake Edwards qui est aux commandes. Interrogation évacuée lors d'une seconde partie tonitruante qui lâche les chevaux, plaçant le génial Peter Sellers au centre de la scène, ce dernier orchestrant malgré lui des situations hilarantes. Le comique de situation repose sur la maladresse inouïe de l'inspecteur Clouseau, capable de provoquer un incident par un geste anodin et de contrecarrer le plan des voleurs alors qu'il est dépassé par l'enquête qu'il mène. Sellers joue avec brio cette catastrophe ambulante qui sème la panique lors d'une séquence d'anthologie dans une chambre d'hôtel, puis dans la résidence de la princesse Dala (Claudia Cardinale) où éclate un imprévu feu d'artifices. Ainsi, "La Panthère Rose" fait résonner le calme avant la tempête, l'élégance avant le délire, les mots avant les actes et déploie un élan jubilatoire qui atteint son paroxysme lors de la scène des gorilles, à pleurer de rire.
    bobmorane63
    bobmorane63

    189 abonnés 1 964 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 septembre 2015
    Excellente et agréable comédie policière de 1963 réalisé par le cinéaste doué Blake Edwards !! Film que je n'avais pas revu depuis tout petit qui compte pas mal de suites, "La panthère rose" démarre par un générique animé avec une panthère qui s'interpose devant les noms d'un casting royal, je pensais que l'inspecteur Clouseau était la seule attractivité de ce long métrage par ses gaffes mais c'est plus un film choral réunissant plusieurs personnages énigmatiques les un les autres. "La panthère rose" est en faite un diamant de valeur d'une comtesse et l'histoire se passe dans une station de ski en hiver ou pas mal de personnes veulent voler cette objet et le plan est bien monté. C'est drole, c'est intriguant, on passe un bon moment devant une bonne réalisation de Blake Edwards, le scénario est malin et la musique est archi connue pour plusieurs générations. Le casting est exceptionnel comprenant Peter Sellers, David Niven, Capucine, Claudia Cardinale ou Robert Wagner entre autres. Amis cinéphiles, à vos classiques.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 178 abonnés 4 173 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 avril 2019
    "La panthère rose, est un personnage de dessin animé à l'allure dégingandée et au tempérament lunaire, provoquant des mini catastrophes en série sur une musique jazzy signée Henry Mancini (The Pink Panther Theme)". Voilà certainement la réponse faite par ceux nés avant 1970 à qui l'on poserait la question des origines de la couleur bizarre accolée à un félin surtout réputé pour la noirceur de son pelage. La petite panthère, vedette de plus de 120 courts dessins animés est en réalité apparue pour la première fois dans le générique d'une comédie éponyme de Blake Edwards sortie sur les écrans en 1963. Ce drôle de personnage marqua tellement les esprits à l'époque que vint rapidement l'idée de lui inventer un destin autonome. Dans le film de Blake Edwards, la Panthère rose est en réalité un précieux diamant dont a hérité la princesse Dala (Claudia Cardinale) fille d'un Maharajah que convoite "Le Fantôme", sorte de nouvel Arsène Lupin qui s'avère être un playboy anglais interprété par le flegmatique David Niven. Le scénario écrit en commun par Blake Edwards et Maurice Richlin, une fois le décor planté, transporte l'action dans la station de skis huppée de Cortina d'Ampezzo où va démarrer un jeu du chat et de la souris paresseusement nonsensique, jouant essentiellement sur des retournements téléphonés et des quiproquos éventés. Le huis clos de l'hôtel n'aère malheureusement en rien le traitement du sujet. Indigeste en raison de son manque de rythme pour le jeune public du XXIème siècle, le film malgré ou peut-être grâce à son air désuet dégage une sympathie que l'on ne saurait expliquer si ce n'est par la présence de l'acteur de second rôle anglais Peter Sellers incarnant l'inspecteur Clouzot qui bien qu'assez peu présent à l'écran se trouve bien malgré lui être le nœud gordien de l'intrigue, son épouse (Capucine) étant la complice et la maîtresse du "Fantôme" puis celle de son neveu (Robert Wagner) venu jouer les trouble-fête. Pas étonnant en revoyant le film que la petite panthère du générique qui n'est en fait que la copie animale de l'inspecteur Clouzot ait retenu toute l'attention. Par ricochet Peter Sellers deviendra dès "La panthère rose s'emmêle" entrepris un an plus tard une star mondiale prenant désormais le leadership de tous les épisodes de la série jusqu'à son décès en 1980 (il y aura sept suites de 1964 à 1993). Si "La panthère rose" demeure l'un des films emblématiques de la carrière touffue de Blake Edwards, il faut bien reconnaître que son talent ne s'est peut-être pas exprimé le mieux dans le domaine de la comédie loufoque auquel il doit sa popularité. "Le jour du vin et des roses" (1962) avec l'immense Jack Lemmon, "Victor, Victoria" (1982) avec la virevoltante Julie Andrews (épouse de Blake Edwards) et surtout "Deux hommes dans l'Ouest" western crépusculaire avec William Holden et Ryan O'Neal font penser que la réussite commerciale de Blake Edwards dans le genre de la comédie l'a peut-être empêché, tyrannie des studios oblige, de se réaliser pleinement dans un éclectisme débridé à la manière d'un Richard Fleischer ou d'un Robert Wise.
    Charlotte28
    Charlotte28

    123 abonnés 2 001 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 mars 2021
    Quel ennui! Non seulement l'humour se révèle très faiblard, potache, répétitif et surtout gestuel mais nombre de scènes n'apportent rien à la progression de l'intrigue et hormis quelques séquences (les vaudevillesques tours de passe-passe dans la chambre ou le générique même) la majorité des scènes ne provoque ni rire ni intérêt, d'autant que le cocu n'a rien de magnifique! Heureusement que David Niven incarne parfaitement l'élégant flegme britannique pour relever le niveau d'un casting par ailleurs peu convaincant. Au final une comédie divertissante pour les plus jeunes mais bien poussive à mes yeux. Demeure la musique inoubliable de Henry Mancini.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 201 abonnés 7 512 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 décembre 2009
    Succès inattendu au box office donnant lieu à d’innombrables suites (1975/1976/1978/1982/1983/1993), ainsi qu’un dessin animé et même un reboot en 2004 suivit d’une suite en 2009 !
    Une franchise qui n’aura pas été une franche réussite à chaque opus, mais qui aura su fidéliser un large public.
    Ce premier volet est tel qu’on l’attendait, avec son scénario simpliste et ses gags à foisons. Jouant uniquement sur le côté « physique » des gags en question, ils sont répétitifs et finissent pas très vite devenir lassants.
    Quiproquos, absurdités en tous genres, loufoqueries, humour à répétition, pour adhérer à ce genre de comédie, il faut avoir l’esprit grand ouvert et surtout, aimer voir sans cesse la même chose.
    Blake Edwards nous avait habitué à mieux, notamment avec Peter Sellers dans le cultissime La Party (1969).
    Nathan Snidaro
    Nathan Snidaro

    68 abonnés 462 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 mai 2011
    Le plus nul de la saga ( en même temps j'en ai vue que trois ). On s'ennuie, on s'ennuie et on s'ennuie ! Une critique ( qui avait mis une étoile ) à été gentil en disant qu'il n'y avait que 80% de longueurs ,il y en à 95% ! En plus c'est pas marrant, on ne rit à aucun moment, les gags sont trop.....potaches ( ceux des prochains aussi d'auilleurs, mais ceux-là font rire au moins ) et l'histoire pas terrible. Bref à ne pas voir.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 147 abonnés 5 132 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 mai 2015
    Vraiment super ce film. Le burlesque convient tellement à l'acteur que c'en est fascinant. Son accent français, les gags permanents. Du grand art
    Julien D
    Julien D

    1 197 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 juillet 2012
    La grande particularité de ce classique de la comédie burlesque américaine est que son absurdité n’est propre à son scénario (somme toute tristement dénuée de surprise) mais à un seul de ses personnage, l’inspecteur Clouzot. C’est justement uniquement la concentration des gags passant par le jeu de Peter Sellers qui empêche au film de sombrer dans un schéma lourdingue et vite lassant. Voilà peut-être ce qui expliqua le succès et le nombre vertigineux de suites ratées à ce divertissement qui n’est pourtant pas ce que Blake Edwards fit de mieux.
    Ti Nou
    Ti Nou

    493 abonnés 3 494 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 juillet 2010
    Si la mise en scène est assez quelconque et l'intrigue plutôt banale, cette comédie possède des moments de fulgurance dès que le génial Peter Sellers est à l'écran. Il éclipse complètement un David Niven trop terne.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 17 décembre 2018
    Il ne se passe pas grand chose de spécial dans cette comédie, la publicité autour de la célèbre mascotte rose qui chamboule les noms. Une panthère animée pour commencer à lever le rideau du théâtre afin de présenter cet inspecteur de la police française joué par un acteur anglais. C'est longuet, ennuyeux, de la maladresse, du vaudeville de cocu, des révélations d’une association de malfaiteur, oncle et maîtresse, l’intrus neveu vient faire la surprise en champagne. Tous à la pourchasse d’un trésor inestimable, pas n’importe lequel, un bijou de famille indienne diamanté appartenant à une princesse italienne habillée en Yves Saint Laurent. C’est moyen, pas très classe, les blagues miroirs sont asymétriques, l’amoralisme de l’histoire laisse filer la cible voleur fantôme entre les doigts. Un malchanceux traînant le boulet au tribunal en complément case prison, comme ça avait bien débuté, « la panthère rose » clôt le festival nominal en baissant le store théâtral.
    Caine78
    Caine78

    6 695 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 octobre 2010
    Classique de la comédie américaine, "La Panthère rose" a peut-être un peu vieilli aujourd'hui. On se rend rapidement compte que le scénario n'existe pas vraiment et que l'ensemble est surtout prétexte à des gags particulièrement physiques et à des relations comiques entre les différents personnages. Mais de ce point de vue, il faut avouer que l'ensemble est tout de même assez réussi. Il est vrai que le rythme est très soutenu quasiment du début à la fin et les dialogues parfois savoureux, grace à des personnages élégants auquels répond parfaitement la maladresse de Peter Sellers (les dialogues délibérement niaiseux entre lui et Capucine sont particulièrement réjouissants.) Bref, si on ne rit peut-être pas autant que l'on aurait pensé, l'esemble ne se faisant jamais aérien ou vraiment lourd, il est vrai que l'on ne s'ennuie pas devant ce spectacle plutot agréable, illuminé par la beauté et le charme de Claudia Cardinale. Plaisant.
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