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    Les Chariots de feu
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    105 critiques spectateurs

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    fandecaoch
    fandecaoch

    1 036 abonnés 2 232 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 avril 2016
    Les Chariots de feu : Un film sur le sport et plus particulièrement l’athlétisme. C’est aussi un film de valeur : sur l’amitié, le dépassement de soi, les convictions mais aussi la peur et le manque de confiance face a la victoire. Car, j’ai remarqué que dans ce film, il y a certes des phases d’entrainements, de courses et de sports mais il y en a pas tant que ça par rapport a la durée du film, et en plus, elles sont très courts car c’est de la rapidité le sport pratiqué dans le film. Donc, cela pourrait jouer sur le rythme du film car c’est très bavard et c’est surtout de la démonstration et de l’entrainement. Il faut dire qu’en deuxième partie du film, c’est un peu lent, de plus, on suit deux personnes en même temps, donc c’est un peu fouille. Mais, le grand avantage et le risque prit par le film, ce n’est pas que un film porté sur le sport, mais sur l’entre deux, la réflexion, la peur de perdre… C’est plus psychologique et humain comme film et c’est la quand même que le film devint intéressant. Il faut dire que les personnages sont attachants et le coté psychologie est bien travaillé. Les acteurs, rien à dire, impeccables et justes. Donc voila, scénario bien écrit et retranscrit, car oui, c’est un film basé sur des faits réels, bon, le rythme est un peu logué mais ça nous empêche pas de continué. Ensuite, ce film est aussi avant tout des musiques, une musique est fait pas par n’importe qui : Vangelis (compositeur Blade Runner, Alexendre d’Oliver Stone…), il te crée des musiques qui prends aux trips, un pur bonheur a l’écoute, elles sont en plus très connu après, surtout celle de l’intro, il en vraiment un style a part et une puissance épique avec c’est synthétiseur : grisant. Et pour finir, ce film bénéficie d’une mise en scène excellente, soignée qui met bien tout en valeur. Donc voila, pas le meilleur film de sport que j’ai vu mais il vaut le coup d’œil.
    Thierry D
    Thierry D

    33 abonnés 312 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 juin 2013
    Chariots of fire est tellement plus que sa bande son culte, c'est un monument de cinéma. La trame sportive sert de fond à une exploitation de la religion dans les milieux ultra-conservateurs britanniques des années 20. Mais pas dans les aspects politiques ou sectaires du terme, qui sont simplement observés et restitués, non, dans la façon dans les gens vivent la religion, la ressentent, la respectent. Cette humanité est dans chaque plan du film. Elle entraîne des dialogues splendides, où Liddell, le riche catholique se confronte indirectement avec Abrahams, l'esthète juif. Elle se poursuit ensuite sur la piste, où Hugh Hudson filme au ralenti les émotions qui traversent nos athlètes : bonheur, doute, frustration... La caméra est voyeuriste, juste, sublimée par la musique de Vangelis. Parmi les scènes inoubliables du film, je note 2 courses où l'image est incroyablement renforcée par la musique : la défaite d'Abrahams, lorsque l'image, forte, du visage du champion déchu se répète à loisir, sous tous les angles, pour bien faire comprendre que cette défaite allait le transformer. Puis la course de 400m d'Eric aux Jeux Olympiques, où il exprime en voix off sa croyance et sa fierté d'être ce qu'il est. Lorsque la voix off s'arrête, la musique gronde, Liddell lève la tête, ouvre grand la bouche pour trouver l'oxygène et court, tout simplement, vers une victoire annoncée. C'est splendide. Enfin, il y a ces images de foule, d'une maîtrise inouïe . Je ne me lasse pas de revoir ce film parfait, où le sport et l'histoire se chevauchent avec humanité. Un pur chef d'œuvre.
    Gonnard
    Gonnard

    240 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 mars 2012
    L'un de ces films totalement éclipsés par leur propre bande originale. Le constat est bien évidement flatteur pour Vangelis mais beaucoup moins pour Hugh Hudson. L'idée scénaristique était pourtant plaisante. Proposer les destins croisés de deux athlètes permettait a priori d'accentuer l'intérêt du récit. En outre, l'événement historique servant de background, à savoir les JO français de 1924, ne pouvait que passionner le public chauvin que nous sommes. Enfin, la thématique religieuse, assez rarement associée avec celle du sport, s'avérait passionnante. En dépit de ces conditions favorables, Hugh Hudson ne parvient à faire guère mieux qu'un téléfilm. La première demi-heure est particulièrement brouillonne. On passe d'un personnage à l'autre. On revient quelques mois en arrière avant d'être de nouveau basculé dans le présent. Bref, c'est pénible à suivre. Il faut vraiment attendre l'arrivée en France pour que le film devienne un tantinet intéressant. Même la suite ne vaut pas le détour. Hugh Hudson cherche vainement à combler la vacuité scénaristique pas quelques ralentis voire même des "highlights", mais il le fait maladroitement. En témoigne la course du 100 m, filmée en temps réelle, donc dénuée de toute tension dramatique. Elle donne lieu ensuite à d'interminables ralentis sur lesquels le héros bave et grimace allégrement. La thématique religieuse, quant à elle, est l'occasion de discours moralisateurs à n'en plus finir. Enfin, la mauvaise qualité des images, du niveau d'un film tourné dans les années 70, achève le spectateur le plus acharné.
    g0urAngA
    g0urAngA

    81 abonnés 1 735 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 février 2014
    En 1919, en Angleterre, Harold Abrahmas démarre sa première année d'études. C'est là qu'il réalise pour la première fois l'exploit de parcourir le périmètre du collège en un temps record. Courir est pour lui un besoin, au delà de la passion. Il décide donc de concourir pour les Olympiades de 1924...

    Malheureusement, le film ouvre des thématiques maladroitement confuses, dans un scénario qui ne dit en fin de compte pas grand-chose. On pourra retenir une très bonne réalisation de Hugh Hudson.

    Bref, on suivra donc sans déplaisir l'évolution des athlètes, mais de là à frémir à leurs exploits ...
    annatar003
    annatar003

    63 abonnés 852 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 septembre 2011
    Classique du cinéma à la bande originale de légende, « Les Chariots de feu » de Hugh Hudson est une réussite quasi-totale sur tous les points. Biopic des athlètes britanniques Abrahams et Liddell, le film retrace une époque où leurs destins s'entrecroisèrent aux environs des J.O de Paris de 1924. Malgré quelques écarts vis-à-vis de la réalité, l'histoire se suit avec beaucoup d'intérêt et les personnages sont très charismatiques et attachants, chacun à leur manière.
    Si le film en lui-même reste étonnement méconnu du grand public, il n'en est pas de même pour sa bande originale. La musique du film signée Vangelis, faisant partie des plus célèbre de l'histoire du cinéma, nous offre des scènes d'une splendeur rare qui parviennent à transmettre tristesse et joie conjointement. C'est ce qui permet d'ailleurs de rendre les scènes de courses à pieds si belles sans pour autant basculer dans l'excès.
    Le scénario est quant lui bien monté. Les évènements se suivent et, malgré une certaine répétition inévitable de quelques scènes, ne lassent pas. Ceci est certainement voilé en partie par le travail effectué au niveau des personnages. Leurs interactions ainsi que leurs dialogues suscitent la curiosité chez le spectateur qui ne peut s'empêcher d'admirer la performance d'un casting parfaitement accordé.
    Grand vainqueur aux oscars lors de sa sortie, « Les Chariots de feu » est un classique des films traitant du sport. Intégrant également les thèmes de la religion et du racisme, la profondeur du film ne fait aucun doute. Pour combler le tout, la forme est peut-être même encore plus prestigieuse. Les morceaux présents durant ces 2 petites heures enchantent nos oreilles et nous transportent dans un pays d'apaisement absolu où rien ne semble pouvoir nous atteindre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 janvier 2015
    Un film sur la course, et plus précisément sur deux coureurs aux personnalités diamétralement opposées. Le film traite également du dépassement de soi et de l'amitié. Les acteurs, bien que peu connus, sont excellent. Les personnage ont de la profondeur, et même si on peut regretter quelques longueurs, celles-ci aident à comprendre les personnage. Enfin le final est magnifique et que dire de la musique, qui encore aujourd'hui reste trés célèbre. Un film qui pour moi mérite son oscar du meilleur film.
    L'OMBRE DU 7ème ART
    L'OMBRE DU 7ème ART

    71 abonnés 408 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 avril 2019
    "Les chariots de feu" mérite son oscar du meilleur film amplement. En effet ce film est une vraie réussite puisqu'il nous transporte dans les années 20 en nous montrant toute les subtilité de la société qui est encore partagé en Angleterre entre la religion et l'état. Ainsi le film soulève un ensemble de propos qui sont l'amateurisme ou le professionnalisme dans le sport, la religion juive est-elle encore à discrimer durant les grands rassemblements sportifs. De plus les acteurs ont un grand charisme et nous révèle de nombreux dialogues très intéressant autour de la place du sport dans la vie professionnelle et la sphère privée. Mais la plus grande réussite du film réside dans la BO du film avec l'une des musique les plus respecté dans le cinéma qui n'est autre que le grand compositeur vangelis. Dans les scènes de courses on peut voir de temps en temps les mêmes similitudes mais on ressent quand même une tension constante grâce au nombreux ralenti qui sont mis au bon endroit et où on peut voir les sensations du coureur grâce au grand plan sur le visage. Rien à dire de plus juste dommage que la course de fin ne soit pas plus majestueuse mais bon c'est vraiment que du derail. Un très grand film
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    75 abonnés 827 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 février 2013
    Chariots of Fire, considéré par beaucoup comme un classique du cinéma, est surtout un film largement surcoté qui, on ne sait comment, a réussi à gagner 4 Oscars dont les convoités meilleur film et meilleur scénario.
    Les 30 premières minutes sont particulièrement pénibles car très mal structurées: Hugh Hudson s'emmêle les pinceaux dans les portraits des personnages et les époques, enchainant tantôt scènes du présent pour revenir dans le passé puis à nouveau dans le présent.
    La suite n'est pas mieux et l'intrigue ne fait qu'évoluer dans une totale linéarité y compris aux JO censés être l’apothéose mais qui ne sont en fin de compte qu'un soufflé qui retombe.
    L'histoire n'est finalement que très peu intéressante et c'est le gros défaut du film: on arrive pas à se passionner pour ces deux destins croisés. Aucune tension dramatique ne ressort du scénario ce qui est rédhibitoire. Les dialogues sont longs, plats et fades, accentuant un peu plus le manque de dynamisme qui ressort de l'ensemble.
    On se consolera avec quelques scènes d'entrainement et de courses bien filmées (et encore...), mais c'est tout.
    Max Rss
    Max Rss

    197 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 mars 2019
    Nominés et récompensés plusieurs fois, aujourd'hui élevés au rang de film culte, je dois bien avouer que ces « Chariots de feu » m'ont bien plus ennuyé qu'intéressé. De nature, je ne suis pas un adepte du film historique et pour que ça me branche, faut que ça soit quasi parfait ou suffisamment enthousiasmant. Là, j'ai pas eu mon compte, très clairement. Ça aurait pu être bien, même très bien, mais en fait non, c'est juste barbant à souhait. Impossible de compter le nombres de scènes s'étirant en longueur et où ça piaille pour grand chose. Et manque de pot, faut en plus que les personnages soient des péteux arrogants et pédants. Finalement, ce film pro-britannique et parfois limite prosélyte ne doit son salut qu'à ses séquences sportives (et encore, elles manquent d'intensité à cause de ralentis pas forcément utilisés de la manière la plus judicieuse qui soit) et à la superbe musique de Vangélis. Trop maigre pour me convaincre.
    Grouchy
    Grouchy

    123 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 février 2012
    Long, ennuyeux, presque pas de fiction s'intégrant dans le documentaire. Surestimé à sa sortie mais oublié aujourd'hui. De plus la qualité de pellicule est médiocre.
    SYNEPHIL
    SYNEPHIL

    47 abonnés 1 134 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 octobre 2016
    Bof ,pas genial ce soit disant chef d'oeuvre d'ailleurs surtout celebre pour sa musique de Vangelis dont le ton trop moderne ne colle meme pas avec l'epoque decrite ,seul la reconstitution (decors,costumes) et l'honnete interpretation d'illustres inconnus (a part Ian Holm) relevent un peu le niveau.Ce ne sont pas la realisation mollassonne ou les longs dialogues ennuyeux qui parviennent a sauver cette oeuvre baignant dans le + grand des academismes ,ne parlont pas de l'absence du moindre suspense (on devine les gagnants des les 1eres secondes) Ca debute dans une atmosphere proche du Cercle... l'humour en moins et le poids religieux en + pour deriver sur une lutte non pas d'hommes (la 1ere partie le laisse penser),mais bien de pays ou les "stars" US vont etre vaincus par les petits Anglais.A noter l'absence totale de coureurs noirs meme en faire valoir (bonjour le racisme) et l'abus de scenes voyant nos champions passés la ligne d'arrivée la bouche grande ouverte ,le tout au ralenti SVP
    Roub E.
    Roub E.

    947 abonnés 4 988 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 novembre 2017
    En retraçant le parcours de deux sprinters anglais qui ont triomphé au jeux de Paris en 24, Les Chariots de feu évoquent l’essence du sport le dépassement de soi même si chacun des deux personnages a des motivations différentes. Que se soit la reconnaissance pour le personnage d’Abrahams ou pour représenter quelque chose pour celui de Liddel (ce dernier représente déjà ce que donnera le sport comme moyen de propagande), ces aspects poussent les deux personnages à se dépasser à donner le meilleur d’eux même pour aller plus vite, plus haut, plus fort. Le film fait preuve d’une forme d’élitisme qui correspond au jeux olympiques de l’époque et qui du coup ne représente pas le sport comme un moyen d’élévation sociale comme il va aussi le devenir par la suite. Le film est bien écrit, monte en intérêt jusqu’aux courses des jeux qui sont l’aboutissement de la quête de ses personnages. Et enfin il y a la fameuse musique de Vangelis passée depuis à la postérité qui font des chariots de feu un film qui reste un modèle du genre film de sport.
    Redzing
    Redzing

    1 108 abonnés 4 464 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 août 2021
    « Chariots of Fire », c’est le genre de film qui a suffisamment marqué son temps pour que tout le monde en ait une séquence en tête, même ceux qui ne l’ont pas vu. On parle bien sûr de cette introduction flamboyante, où de jeunes athlètes courent sur la plage au son de la BO de Vangelis. Une très belle scène, mainte fois copiée ou parodiée, qui présente en quelques secondes le contexte et les protagonistes. Mais que vaut le reste de l’œuvre ? Et bien disons que le film nage en permanence entre deux eaux : celle de l’audace, et celle de l’académisme soigné. Sur le fond, on est clairement dans l’académisme. Le scénario est une critique facile de l‘establishment britannique ultra rigide, contre lequel vont devoir lutter un Juif régulièrement victime de discrimination, et un Catholique très attaché à sa foi. Sans compter un message sur le dépassement de soi, très classique pour une success story sportive. L’absence de réel enjeu (et notamment de réel antagoniste) n’aide pas, et l’ensemble est parfois un peu longuet. Néanmoins, ceci est réalisé avec maîtrise. Les deux athlètes principaux ont par exemple une vraie profondeur qui les rend attachants. Et la mise en scène offre de beaux moments. Par ailleurs, comme évoqué plus haut, « Chariots of Fire » propose quelques originalités. L’idée d’avoir fait appel à Vangelis et une BO électronique pour un film d’époque, chose encore rare en 1981. Le concept de filmer & monter les courses comme des clips (ralentis, musique très présente, découpage non linéaire…), concept qui deviendra très utilisé dans les années 80. On comprend dès lors que le film ait pu marquer à sa sortie, à tel point qu’il faut partie des classiques outre-manche.
    Caine78
    Caine78

    6 683 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 octobre 2010
    Là ou on pouvait s'attendre au grand film sur les Jeux Olympiques, Ces "Chariots de feu" se révèlent une déception. Même si l'ensemble se regarde sans ennui et nous permet de comprendre assez bien le contexte social et religieux de l'époque, l'ensembl n'en reste pas moins beaucoup trop scolaire, sans réel personnalité pour nous captiver. Car on en apprend au final pas beaucoup plus que cela et il est vrai qu'il manque tout de même une réelle émotion, une réelle intensité à l'ensemble pour pouvoir toucher le spectateur à quelque moment. Les ralentis durant les courses y sont d'ailleurs sans doute pour beaucoup, tant ils enlèvent aux courses leurs puissances, d'autant qu'ils sont réguliers. On se plaira alors à reconnaitre des visages de grands acteurs anglais faisant une apparition (Ian Holm, John Gielgud), mais il est vrai que c'est une assez maigre consolation par rapport au résultat que l'on était en droit d'attendre. Même la musique de Vangelis n'y change rien. Bref, pas de quoi s'enflammer (facile, je sais...)
    DaftCold
    DaftCold

    19 abonnés 213 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 juillet 2019
    Malgré une réalisation maîtrisé, des décors superbes et de très bons acteurs.... J'ai énormément de reproches à faire à ce film. Je vais commencer par ce qui me parle le plus : la musique. Les mélodies sont superbes, mais l'utilisation d'un vieux synthé des années 80 est hors sujet et raté. Ce style n'évoque ni les années 20, ni la Grande Bretagne, ni rien d'autre du film. Mon second reproche, c'est le nombre de personnages secondaires, ils se ressemblent tous, ça crée trop de sous intrigues et le film se rallonge pour rien. L'introduction dure 40 minutes, et toute la partie de course finalement ne dure pas tellement longtemps. J'en viens à mon troisième gros reproche. À la vue de l'introduction, de la musique, des affiches, je m'attendais vraiment à un film de course. Et bien finalement, c'est plus un film sur la religion, parce que tout est rapporté à la religion. "On ne cours pas le dimanche, c'est le jour du seigneur", "tu cours pour gagner pas pour honorer Dieu", etc. Je ne critique pas le fond, un film traite de ce qu'il veut. Je critique le fait d'avoir présenté le film comme un film vraiment axé sur la course. Il y a très peu de scène de courses et d'entrainement, alors que toute la vitrine du film laisse penser le contraire.... Je n'aurais pas du tout appelé le film "Les Chariots De Feu".
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