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🎬 RENGER 📼
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0,5
Publiée le 22 octobre 2009
Gérard Jugnot réalisateur & acteur, fait son grand retour derrière la caméra, avec une comédie absurde et grotesque où d’immondes caricatures viennent plomber un film plus que douteux. Imaginez un instant, « La Cage aux folles » aux XVIème siècle, ajoutez à cela, des personnages archi stéréotypés qui en font des tonnes, le tout au coeur d’une histoire ridicule qui en devient très vite indigeste ! La comédie de Gérard Jugnot a le don de lasser le spectateur en un rien de temps, au final, y assister du début à la fin, relève de la torture.
Jamais le ridicule et le mauvais goût n'avaient aussi bien cohabités dans un film. Tout y est pathétique. Un film où il n'y a rien à sauver. UNE CATASTROPHE.
Un des meilleurs films de Gérard JUGNOT où un rit beaucoup mais qui, comme d'autres, est aussi une réflexion sur le fanatisme religieux et l'intolérance ainsi que l'esclavage quand on voit la toute dernière scène du film. L'ambiance de l'époque est très bien reconstituée et les costumes ainsi que les paysages sont superbes. Les acteurs sont tous convaincants notamment le jeune Raphaël BOSHART révélé dans Big Cité qui nous campe un petit prince Frédéric qui ne s'en laisse pas cpmpter. A bientôt 15 ans, il est un des grands espoirs du cinéma français et on n'a sans doute pas fini de parler de lui en bien. C'est donc un film qu'il faut aller voir. Si vous y allez, croyez-moi ! vous ne serez pas déçus, bien au contraire !
Nettement moins mauvais qu'annoncé par certains, cette comédie en est bien une... Il est certes très flatteur de le comparer à la Cage aux folles et à la Folie des grandeurs mais c'est pourtant de ces films là qu'il est le plus proche! Dommage qu'il ne soit pas un niveau de l'un et de l'autre mais ça reste un bon moment pour se distraire...
Quelle forme il tient le jugnot ! mazette ! les bronzés 3 , l'auberge rouge , rose et noir , le tout avec four à l'arrivé au box office pour les deux dernieres ignominies ! La trilogie foutage de gueule est bouclée .
Que ce ne soit pas une merveille, cela s'admet aisément, mais que le film soit moins bien côté que "les aventures de Philibert" ou que "Blanche" pour rester dans un créneau analogue dépasse l'entendement. Faisons la part des choses, déjà un film que l'on regarde jusqu'au bout ne saurais être nul, cela dit ça peut être mauvais et raté ! Ratage oui, mais il n'est pas catastrophique non plus, il serait par exemple inconvenant de faire la fine bouche sur l'inventivité des costumes, mais bien sûr ce n'est pas ça qui fait le film. Celui-ci pèche par un scénario mal écrit, parce que trop chargé, à force de vouloir trop en mettre, on tombe dans la caricature, la simplification et le manichéisme. Jugnot a voulu faire un film à message, mais ça ne sert à rien, aucun film n'a jamais convaincu qui que ce soit, à fortiori quand la démonstration est d'une lourdeur pachidermique. Au final un produit raté malgré les bonnes intentions et deux ou trois bonnes scènes, et c'est sans doute dommage !
Franchement, j'ai adoré ce film. Certes tout est sur-joué mais c'est ça qui fait le comique. le décalage entre la cours de Pic et les noble d’Espagne, le tout dans son contexte de guerre, vraiment très drôle. Le nom rose et noir qui fait référence au roman de Stendhal, rouge est noir, vraiment bon titre. J'ai mis 5 étoiles peux-être qu'il n'en vaux que deux, mais cela montre mon enthousiasme. A voir avec toute précaution, mais a voir, vous ne serez pas déçu !
Nul doute qu'avec ce "Rose & noir", Gérard Jugnot ne signe pas, loin s'en faut, son meilleur film. Manque de subtilité évident, caricature en veux-tu en voila, grandiloquence parfois pénible... Le film est ainsi bourré de défauts quasiment du début à la fin, et ce sans que personne ne réussisse à y remédier. Pourtant (car il y en a un pourtant), force est de reconnaître que le moment est en définitif loin d'être aussi insoutenable que cela. Car si Jugnot se loupe donc sur pas mal d'aspects, il a au moins le mérite d'avoir ce que pléthore de cinéastes n'ont pas : quelque chose à dire, et qui plus est dit avec sincérité. En effet, on est au final assez sensible à ce plaidoyer certes assez facile mais plaisant, d'autant plus que le sujet n'a pas été suffisament régulièrement pour que l'on fasse la fine bouche. Bref, loin d'être un grand moment de cinéma, "Rose & noir" n'en demeure pas moins un film au rythme soutenu et au discours plaisant : on s'en contentera, et ce même si (avouons-le), le résultat final aurait pu être bien meilleur.
Gérard Jugnot s'est complètement planté. Il signe là l'un des plus gros navet de l'année. Il essaie de faire rire avec des gags d'un autre temps, dépassés, lourds et ridicules. L'humour est au raz des pâquerettes, son gentil message est envoyé à coups de marteaux, la réalisation est à la hauteur du naufrage. Et la question qu'on peut se poser: pourquoi prendre des acteurs espagnoles, si c'est pour au final les doubler en français? En un mot: un désastre.
Il est vrai que Gérard Jugnot n’a jamais eu de gros talent en ce qui concerne la réalisation (c’est précédent film était peut être pour certains bons mais ne laissaient pas des souvenirs mémorables), on remarque (comme son acolyte Christian Clavier) que ses derniers films n’ameutent plus les foules, tant ses comédies sont e plus en plus transparentes quat au malaise qu’elles transportent. Il faut remarquer que l’homosexualité (sujet dont les français ne savent pas comment en parler) sont de plus en plus repris dans les comédies françaises, que ca soit des simples gestes de camaraderies à plus, grand nombre de comédies traitent de ce sujet : Bienvenue chez les ch’tis -de manière informel), Oss117, et les films de Veber. Après Boudu qui nous avait laissé un peu perplexe mais qui ne vaut pas (tout comme Rose et noir) un Pinot simple flic, Monsieur Batignole…qui étaient de simple comédies qui sans prétention arrivaient à nous faire convaincre de leur bonne foi en exposant des histoire de personnes touchantes, attachantes et c’est vrai qu’à l’annonce de Rose et noir qui se devait être un film d’époque, parlant des déviances extrémistes qui fait un parallèle avec la période de l’inquisition espagnole, on ne pouvait espérer qu’un bon film dans la même lignée que ces précédents films, au grand dame des spectateurs, dès les premières minutes du film, on déchante rapidement. Non pas que le fait de nous raconter la vie d’un couturier dans le même genre que Lagerfeld à un siècle passé nous suffit, avec les anachronismes à ce sujet passe encore, mais on n’a du mal à accepté l’humour d’un autre âge, car les vannes, blagues, calembours donnent l’impression de dater de la préhistoire tant on est déçu par la qualité de ces derniers : vannes habituelles sur les juifs et leur nez, comédiens espagnoles horriblement doublé et les homosexuels qui jouent comme des grandes folles, rien ne permet de nous aider à rentrer dans le film ....critique sur:cthiboy.blogs.allocine.fr
Une comédie un peu amusante qui n'est pas vide en étant contre l'intolérance mais qualitativement elle ne vole pas haut et elle ne laisse pas un grand souvenir.