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Votre avis sur OSS 117 : Rio ne répond plus ?
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tony-76
Jean Dujardin devient plus déjanté dans ce film grace à son humour et plus débile.
benoitG80
Pas mal trouvé du tout!!! Il fallait le faire... Drôle, frais, impertinent, une bonne soirée passée avec Dujardin qui cumule et qui en rajoute à n'en plus pouvoir!
Des fois on se demande si Dujardin n'était pas fait pour jouer le rôle de l'agent beauf. Et puis on se souvient qu'il était aussi fait pour jouer le surfeur niais, le mari à la *** d'Alexandra Lamy ... et d'autres. (Non, pas Lucky Luke non plus ! faut pas déconner.) Bref le mec a un talent pour interpréter tout et n'importe quoi, on lui doit bien ça. Mais faut pas oublier le réalisateur qui est derrière et qui a réussi à mettre en boite OSS 117. Belle parodie de James Bond, avec les mêmes outils de base : Les femmes séduisantes (charmante Louise Monot, qui ne se contente pas seulement d'être là mais de jouer avec brio), l'ambiance de l'époque, les paysages merveilleux, les chinois, les nazis .... Bon OK, y'a aussi des petits trucs en plus. Mais la puissance du film réside surtout dans le paquet de répliques cultes : Blindées d'humour noir, parfois très absurdes, des fois extrêmement subtiles et riches, .. mais rarement sans conséquences ; et les détraqueurs qui vous diront que le film est débile n'en auront hélas saisi qu'une partie (celle que les enfants de 5 ans pouvaient percevoir, en fait). Le résultat est simplement hilarant et jubilatoire, même si la dernière demi-heure est moins puissante que le reste.
Second opus, OSS 117 : Rio ne répond plus nous présente un Hubert toujours en grande forme, qui se joue chasseur de nazis.
Le monde, il n'attend pas. Il va chez le coiffeur, premièrement, mais surtout il ne traîne pas pour faire de ce OSS un film aussi culte que le premier.
Toujours aussi sûr de lui, toujours aussi ignorant du monde qui l'entoure, toujours aussi français, et c'est pour ça qu'on l'aime.
Le triplet d'acteurs formé par Jean Dujardin, Alex Lutz et Louise Monot est brillant, l'écriture magistrale. Les décors, costumes et couleurs viennent embellir cette réalisation et la rendre encore plus exceptionnelle.
Impossible à dissocier du premier, il l'égale et le complète en tout point pour notre plus grand plaisir.
La balance entre lourdeur et finesse est parfaitement équilibrée, tout semble maîtrisé pour nous procurer 100 minutes d'esclaffement intensif.
A l'image du 1er, c'est un chef d'œuvre de comédie : 5/5.
Le monde, il n'attend pas. Il va chez le coiffeur, premièrement, mais surtout il ne traîne pas pour faire de ce OSS un film aussi culte que le premier.
Toujours aussi sûr de lui, toujours aussi ignorant du monde qui l'entoure, toujours aussi français, et c'est pour ça qu'on l'aime.
Le triplet d'acteurs formé par Jean Dujardin, Alex Lutz et Louise Monot est brillant, l'écriture magistrale. Les décors, costumes et couleurs viennent embellir cette réalisation et la rendre encore plus exceptionnelle.
Impossible à dissocier du premier, il l'égale et le complète en tout point pour notre plus grand plaisir.
La balance entre lourdeur et finesse est parfaitement équilibrée, tout semble maîtrisé pour nous procurer 100 minutes d'esclaffement intensif.
A l'image du 1er, c'est un chef d'œuvre de comédie : 5/5.
La surprise en moins, cette deuxième cuvée OSS 117 se révèle tout aussi jouissive. Pour tous ceux partant pour un barbecue de crocodile dans la jungle.
Une scène :
Oss 117 : Une dictature, comme vous y allez ! Vous êtes bien sympathique, Dolorès, mais épargnez moi vos analyses politiques... (Temps.)
Savez-vous seulement ce qu'est une dictature ? (Temps.)
Une dictature c'est quand les gens sont communistes, déjà. Qu'ils ont froid, avec des chapeaux gris et des chaussures à fermeture éclair. C'est ça, une dictature, Dolorès.
Dolorès : D'accord. Et comment vous appelez un pays qui a comme président un militaire avec les pleins pouvoirs, une police secrète et une seule chaîne de télévision dont toute l'information est contrôlée par l'État ?
Oss 117 : J'appelle ça la France, mademoiselle. Et pas n'importe laquelle ; la France du général de Gaulle.
Février 2024: Revu avec plaisir
Une scène :
Oss 117 : Une dictature, comme vous y allez ! Vous êtes bien sympathique, Dolorès, mais épargnez moi vos analyses politiques... (Temps.)
Savez-vous seulement ce qu'est une dictature ? (Temps.)
Une dictature c'est quand les gens sont communistes, déjà. Qu'ils ont froid, avec des chapeaux gris et des chaussures à fermeture éclair. C'est ça, une dictature, Dolorès.
Dolorès : D'accord. Et comment vous appelez un pays qui a comme président un militaire avec les pleins pouvoirs, une police secrète et une seule chaîne de télévision dont toute l'information est contrôlée par l'État ?
Oss 117 : J'appelle ça la France, mademoiselle. Et pas n'importe laquelle ; la France du général de Gaulle.
Février 2024: Revu avec plaisir
Une comédie de Michel Hazanavicius qui nous propose cette fois-ci de suivre les mésaventures hilarantes d'Hubert Bonisseur de la Bath, alias OSS 117, à Rio de Janeiro. Le film est drôle, frais, impertinent, aux répliques savoureuses et insolentes. La photographie, très colorisée, est belle et Jean Dujardin incarne avec classe et fougue son personnage d'espion français. La réalisation s'inspire de nombre de films des années 1950-1960, et plus largement de tout l'univers de cette période ; les clins d’œil et hommages cinématographiques sont variés allant de James Bond ("Goldinger", "Au Service secret de sa Majesté") à Indiana Jones ("Indiana Jones et la Dernière Croisade") en passant par les films d'Alfred Hitchcock ("Sueurs froides", "La Mort aux trousses", "La Main au collet"). Un deuxième opus plus fin et mature que "OSS 117 : Le Caire, nid d'espions" !
Film culte ! Un chef-d’œuvre humoristique, c'est la parodie parfaite du film d'espionnage.
Attention, cet humour est clivant. Ceux qui n'ont pas aimé le premier film ont très peu de chance d'aimé celui-ci ; en revanche ceux qui ont bien aimé OSS 117 : Le Caire, nid d'espions adoreront OSS 117 : Rio ne répond plus. Tout est culte dans ce film, chaque scène, chaque ligne de dialogue, chaque personnage. Jean Dujardin incarne à la perfection son personnage d'espion franchouillard beauf.
Même la musique de Ludovic Bourse, imitant celle des films des années 50 est très classe.
J'ai du voir le film dix fois, et je me lasse toujours pas de certaines scènes : Bill Tremendous dans la voiture, le père charron, la scène au Service de Documentation Extérieur et de Contre-Espionnage, la rencontre avec le Mossad, l'ambassade allemande, la définition d'une dictature … pour ne citer que celles-ci. Je pleure de rire rien qu'en me les remémorant.
Film génialissime. À voir, revoir, re-revoir !
Attention, cet humour est clivant. Ceux qui n'ont pas aimé le premier film ont très peu de chance d'aimé celui-ci ; en revanche ceux qui ont bien aimé OSS 117 : Le Caire, nid d'espions adoreront OSS 117 : Rio ne répond plus. Tout est culte dans ce film, chaque scène, chaque ligne de dialogue, chaque personnage. Jean Dujardin incarne à la perfection son personnage d'espion franchouillard beauf.
Même la musique de Ludovic Bourse, imitant celle des films des années 50 est très classe.
J'ai du voir le film dix fois, et je me lasse toujours pas de certaines scènes : Bill Tremendous dans la voiture, le père charron, la scène au Service de Documentation Extérieur et de Contre-Espionnage, la rencontre avec le Mossad, l'ambassade allemande, la définition d'une dictature … pour ne citer que celles-ci. Je pleure de rire rien qu'en me les remémorant.
Film génialissime. À voir, revoir, re-revoir !
Ti Nou
Malgré l'effet de surprise passé, ce nouvel épisode est tout aussi jouissif que le précédent. Il évite le réchauffé et va encore plus loin dans le politiquement incorrect. Le sommet de la comédie française actuelle.
" OSS 117 , Rio ne répond plus " très bonne suite de " OSS 117 , Le Caire nid d’espion " .
Dans ce deuxième volet l'agent secret français OSS 117 ( Jean Dujardin ) a pour nouvelle mission de se rendre au Brésil à Rio pour récupérer un micro film compromettant pour l'état français détenu par un ancien Nazi qui veut faire chanter l’ État Français . Il fera équipe avec Dolores ( Louise Monot ) un lieutenant colonel du Mossad qui l'aidera dans sa mission . Sa mission va le conduire dans de nouvelles mésaventures hilarantes ...
Le réalisateur Michel Hazanavicius signe avec " OSS 117 , Rio ne répond plus " une très bonne suite du film " OSS 117 , Le Caire nid d’espions " .
Le casting est toujour au top avec a sa tête Jean Dujardin qui est toujours aussi excellent et hilarant dans le rôle de Hubert Bonisseur de la Bath alias OSS 117 cette espion français maladroit , ignorant , mysogyne et légèrement raciste . Ce coup ci il va partir au Brésil sur les trace d’un ancien Nazi qui a voler un microfilm compromettant pour l’Etat Français en compagnie d’une juive du Mossad ( agence de renseignements d’israël ) qui va l’aider dans sa mission . Et forcément son ignorance totale en matière de culture , de religion et de l’histoire nottament concernant les juifs et les nazis pendant la seconde guerre mondiale vont encore une fois lui jouer des tours qui va le mener à faire gaffe sur gaffe et c’est toujour aussi drôle à voir . Il fera donc équipe dans sa mission avec la charmante Louise Monot dans le rôle de Dolorès un lieutenant colonel du Mossad qui va l'aider dans sa mission et qui va s’arracher les cheveux devant les nombreux défauts de notre espion préférer comme sa totale ignorance et sa mysoginie et c’est drôle à voir . Une suite toujour aussi drôle grâce à des scènes cocasses
spoiler: ( OSS 117 qui fait cuire le crocodile , OSS 117 avec les Hippies , la course poursuite dans l’hôpital ... )
et des répliques hilarantes .
La reconstitution des années 60 , l’époque dans lequel se déroule l’action du film , est toujours réussit grâce a de bons décors et costumes . Le dépaysement est garantit grâce à de bons paysages Brésilien où se déroule une grande partie de l’intrigue du film .
Le film parodie toujours à merveille les anciens films d'espionages et nottament les films de la saga " James Bond " et en particulier ceux avec Sean Connery . On retrouve avec plaisir une réalisation à l’ancienne pour se rapprocher au plus près des anciens films d'espionnage des années 60 nottament grâce a une image désuète et des trucages à l’ancienne .
La musique est top et colle bien a l'ambiance du film .
Pour résumer " OSS 117 , Rio ne répond plus " est une très bonne suite de " OSS 117 , Le Caire nid d’espions " toujours aussi drôle , délirante et divertissante . Un troisième volet est en préparation on l’attend avec impatience .
Dans ce deuxième volet l'agent secret français OSS 117 ( Jean Dujardin ) a pour nouvelle mission de se rendre au Brésil à Rio pour récupérer un micro film compromettant pour l'état français détenu par un ancien Nazi qui veut faire chanter l’ État Français . Il fera équipe avec Dolores ( Louise Monot ) un lieutenant colonel du Mossad qui l'aidera dans sa mission . Sa mission va le conduire dans de nouvelles mésaventures hilarantes ...
Le réalisateur Michel Hazanavicius signe avec " OSS 117 , Rio ne répond plus " une très bonne suite du film " OSS 117 , Le Caire nid d’espions " .
Le casting est toujour au top avec a sa tête Jean Dujardin qui est toujours aussi excellent et hilarant dans le rôle de Hubert Bonisseur de la Bath alias OSS 117 cette espion français maladroit , ignorant , mysogyne et légèrement raciste . Ce coup ci il va partir au Brésil sur les trace d’un ancien Nazi qui a voler un microfilm compromettant pour l’Etat Français en compagnie d’une juive du Mossad ( agence de renseignements d’israël ) qui va l’aider dans sa mission . Et forcément son ignorance totale en matière de culture , de religion et de l’histoire nottament concernant les juifs et les nazis pendant la seconde guerre mondiale vont encore une fois lui jouer des tours qui va le mener à faire gaffe sur gaffe et c’est toujour aussi drôle à voir . Il fera donc équipe dans sa mission avec la charmante Louise Monot dans le rôle de Dolorès un lieutenant colonel du Mossad qui va l'aider dans sa mission et qui va s’arracher les cheveux devant les nombreux défauts de notre espion préférer comme sa totale ignorance et sa mysoginie et c’est drôle à voir . Une suite toujour aussi drôle grâce à des scènes cocasses
spoiler: ( OSS 117 qui fait cuire le crocodile , OSS 117 avec les Hippies , la course poursuite dans l’hôpital ... )
et des répliques hilarantes .
La reconstitution des années 60 , l’époque dans lequel se déroule l’action du film , est toujours réussit grâce a de bons décors et costumes . Le dépaysement est garantit grâce à de bons paysages Brésilien où se déroule une grande partie de l’intrigue du film .
Le film parodie toujours à merveille les anciens films d'espionages et nottament les films de la saga " James Bond " et en particulier ceux avec Sean Connery . On retrouve avec plaisir une réalisation à l’ancienne pour se rapprocher au plus près des anciens films d'espionnage des années 60 nottament grâce a une image désuète et des trucages à l’ancienne .
La musique est top et colle bien a l'ambiance du film .
Pour résumer " OSS 117 , Rio ne répond plus " est une très bonne suite de " OSS 117 , Le Caire nid d’espions " toujours aussi drôle , délirante et divertissante . Un troisième volet est en préparation on l’attend avec impatience .
Alain D.
Une bonne comédie, réalisée et coécrite par Michel Hazanavicius qui met en scène ce second volet de la saga OSS 117 / Jean Dujardin. Très semblable au premier épisode, le ton décalé de l'anti héros fait encore mouche sans toutefois créer de surprise. Humour, action, dérision et dépaysement sont encore au rendez-vous. Bourré d'idées originales, le scénario nous délivre bon nombre de gags désopilants donnant lieu à des scènes mémorables : la séquence avec le crocodile est sublime. Coté casting, Jean Dujardin, réalise encore une fois une belle démonstration d'acteur.
Le pitch : 1967, Hubert de la Bath part pour une nouvelle mission au Brésil ; il va devoir travailler avec Dolorès, agent israélienne du Mossad, joué par la charmante Louise Monot.
Le pitch : 1967, Hubert de la Bath part pour une nouvelle mission au Brésil ; il va devoir travailler avec Dolorès, agent israélienne du Mossad, joué par la charmante Louise Monot.
lhomme-grenouille
Elles sont rares ces suites que l'on attend en étant persuadé que la qualité du spectacle est garantie par avance. Or, cette suite du risible "Le Caire, niid d'espions" en fait plus ou moins partie. Et les premières minutes viennent grandement confirmer notre foi en ce bon vieil Hubert... En effet, ce nouvel épisode brésilien a su conserver l'état d'esprit, la créativité et la minutie qui ont été à l'origine du succès du premier. S'appuyant essentiellement sur ce personnage désopilant qu'est OSS (incarné par un Dujardin de compétition), ainsi que sur un univers rétro-kitsch toujours aussi séduisant et désopilant, ce "Rio ne réponds plus" sait rempiler sans se répéter pour autant, évitant ainsi le piège ennuyeux du copier-coller... A cela s'ajoute un durcissement du regard espiègle portée par la saga sur une certaine idée de la France, bref que du bonheur... Il n'y aurait presque rien à redire : c'est à la fois subtil et magistralement mis en scène et en image, si bien qu'humour s'associe aisément avec plaisir des yeux et rythme enivrant. Dommage presque que le dernier tiers perde un petit peu de son punch car ce "Rio ne réponds plus" avait de quoi surpasser l'original. Mais ne faisons pas là la fine bouche, ce spectacle est quand même largement à la hauteur des attentes (énormes) qu'on avait mis dessus sur ce film... Par conséquent, on ne peut donc que s'écrier : " mission accomplie, 117 ! "
Ambiance rétro, humour, action et ton toujours aussi décalé, cette escapade brésilienne fait une fois de plus mouche, Michel Hazanavicius appliquant la même recette que l’épisode précédent. Délicieusement divertissant, cet « OSS 117 » est moins surprenant pour le coup bien que Jean Dujardin soit une nouvelle fois au top. A quand un troisième ?
Ce deuxième épisode est une très bonne surprise, et un bon film.
Plus inspiré que le premier, j'ai passé un agréable moment devant ce film.
Dujardin est toujours aussi brillant dans l'interprétation de ce personnage et, je dirais même , améliore sa prestation par rapport au premier épisode.
Le scénario tient la route, pas de temps mort, et des dialogues percutants (les vannes de OSS 117 sont excellentes)
Plus inspiré que le premier, j'ai passé un agréable moment devant ce film.
Dujardin est toujours aussi brillant dans l'interprétation de ce personnage et, je dirais même , améliore sa prestation par rapport au premier épisode.
Le scénario tient la route, pas de temps mort, et des dialogues percutants (les vannes de OSS 117 sont excellentes)
Un film très marrant et sympa à regarder. Encore une fois Jean Dujardin a très bien joué son rôle d'agent comique.Le film est très divertissant; un bon moment de cinéma.
Après un premier volet parfaitement réussi, Michel Hazanavicius parvient à se renouveler tout en conservant l’essence de ce qui faisait le succès d’OSS 117. Mieux encore, il se repose encore plus sur l’humour caustique et la critique de la société française réactionnaire, aboutissant à d’exquis dialogues dignes de Jacques Audiard. Il faut dire que le caractère de l’agent secret, peu contesté dans les années 50, paraît tout à fait incongru quand il est confronté aux hippies, magnifiant encore plus sa crétinerie butée. Mais ce qui fait la qualité de ce film, c’est aussi la façon qu’il a de rendre hommage au genre étudié sans sombrer dans la parodie. Le réalisateur fait ainsi intervenir une infinité de procédés typiques du cinéma français populaire des années 60, que ce soit au niveau de la mise en scène, des costumes, des éclairages ou des rebondissements scénaristiques, à tel point qu’on croirait sans problème avoir affaire à un de ses représentants, et l’un des plus réussis qui plus est. Là est le grand talent de Hazanavicius, cet œil et cette cinéphilie qui, associées, l’autorisent à recréer à la perfection des univers chers au septième art mais qui se sont effacés suite à sa fatale évolution. De "Le grand détournement – La classe américaine" à "The Artist", sa filmographie est un témoin de cet amour éprouvé pour le cinéma.
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