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rayonvert
22 abonnés
253 critiques
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2,5
Publiée le 18 avril 2009
Suite réussie mais inférieure car l'histoire et les seconds rôles sont moins intéressants que dans le premier opus. Ici, le déroulé de l'histoire importe peu, on est plus en attente des dialogues que de la progression scénaristique. Enfin la partenaire de OSS est vraiment inintéressante ce qui affaiblit le film car elle doit être le contre point à la bêtise de l'espion français. Malheureusement on s'intéresse peu à elle car le personnage n'a pas été assez travaillé. Cela dit, l'on passe un bon moment.
Cette suite de parodie de films d'espionnage, aussi désopilante et minutieusement écrite que le précédent opus, reste fidèle aux décors de l'époque et est interprétée par un Jean Dujardin au meilleur de sa forme. Une réussite !
Ce deuxième OSS 117 est plus léger que le premier, les blagues sont moins lourdes, il y a plus plus d'humour. Jean Dujardin incarne encore mieux l'agent imbus de sa personne avec des quiproquos énorme sur des propos racistes. En bref, un film français bien sympas !
J'ai du mal a rentrer dans ce genre de film, c'est décalé mais moi ça ne me fait pas rire !!! Je trouve que dujardin surjoue mais bon encore on va me dire que c'est fait exprès...ce qui est sur c'est que c'est pas pour moi !!!
2e épisode de la série des OSS 117. Le film reste dans la continuité de l'épisode précédent, l'effet de surprise en moins mais les adeptes de Jean Dujardin y trouveront leur compte. La parodie reste toujours efficace, les clins d’œil sont nombreux et c'est avec plaisir qu'on retrouve ce personnage caricatural. Le scénario s'oublie vite à mais les répliques font mouche.
Etrange...l'humour lourdingue élevé au rang d'institution. Film gras s'adressant de toute évidence à une certaine catégorie de spectateurs, lesquels trouvant ça très drôle... Même au nième degré, il parait très difficile d'apprécier ce pastiche. Mais plus c'est gras, plus ça marche. Décidément, l'humour potache (cf Monthy Python Le Graal) semble apprécié. Amateurs de finesse et de subtilité, fuyez, sauf si vous voulez voyager au Brésil, seul point, avec tout de même quelques moments drôles, qui vaut ma note.
Trois ans après la première aventure d’OSS 117 (qui était en fait un reboot faisant fi de la demi-douzaine de films qui avaient mis en scène l’agent secret dans les années 50) qui avait connu un franc succès, Michel Hazanavicius lui donne logiquement suite en situant son scénario douze ans après le précédent. Afin de toujours plus loin l’aspect politiquement incorrect que peut procurer cette caricature de la mentalité arriérée propre à une époque où tout sembler justement extrêmement caricaturé, l’auteur s’amuse à revenir sur le sujet pour le moins sensible de l’holocauste en envoyant son antihéros sur les traces d’anciens nazis en fuite au Brésil. Cependant, si "Le Caire : Nid d’espions" avait déjà l’allure d’un sketch étiré dans lequel les répliques cinglantes étaient trop dilués, ce second opus, en plus de ne plus avoir d’effet de surprise à nous offrir, continue à enchainer les gags et les dialogues les plus mémorables sur un rythme bien trop mou, d'autant que, entre chacun d'eux, le fait de voir Jean Dujardin surjouer de façon risible et de recycler les traits de caractère outranciers de son personnage n'ont plus tellement de quoi continuer à faire rire. On peut toutefois féliciter la volonté du réalisateur de s'inspirer des films de genre de l’époque dans la mise en scène et certains aspects visuels de son long-métrage.
Si le 1er OSS 117 n'était pas si remarquable que cela il avait au moins le mérite de faire rire par contre Rio ne répond plus peine à nous amuser ; tout cela manque de rythme et le scénario plutôt alléchant au départ passe à côté de beaucoup d'occasion de créer un récit d'aventures comiques. Ca manque de délire aussi et le final est plat heureusement que Jean Dujardin est là car son jeu assure et il est à peu près le seul intérêt du film. Sinon Louise Monot est charmante à souhait mais son personnage manque d'humour. Mais surtout on regrette de ne pas voir notre cher Hubert Bonisseur de la Bath emporté par une samba endiablée lors du carnaval de Rio.
Dans la parfaite lignée du précédent opus, sinon mieux ! L'agent secret maladroit, inculte, débile, raciste, misogyne, mais classe, réitère dans une mission délirante pour notre plus grand plaisir. Cet humour décalé, propre à ce personnage désormais culte, continuera de se faire pleinement apprécier dans ce second volet où les traits d'humour bien savoureux seront décuplés. "Habile !"
Le duo Hazanavicius-Dujardin fait écho au premier opus de cette franchise détournée, par un joli come back à première vue. Venu de la télé (époque les Nuls Canal plus) avec à son effigie La classe américaine (chef d'oeuvre d'idées qui fusent et d'écriture il y a quelques années) Hazanavicius a donc un bagage de qualité, dans un certain genre. Le premier chapitre OSS fonctionnait allègrement de part la finesse de détournement dudit genre (réalisation, clins d'oeil et décor) et par la prestation correcte de son comédien principal. L'effet était là mais il manquait un certain panache, un réel relief, une continuité dynamique de l'ensemble. Nous retrouvons donc tout ce petit monde à Rio quelques années plus tard. Quelle énergie va donc déployer Hubert Bonisseur ? On peut déjà affirmer la constance de ce qui a fait le charme du premier et ce dès le générique. Parodie des films de ce genre et d'époque, détournements classieux. Dès les premières minutes (malgré une insistance des split screens totalement inutiles et lourde) nous sommes pris dans les saveurs du film, données par une écriture judicieuse et subtile et une interprétation de Jean Dujardin, plus savoureux que jamais. On évite ainsi l'humour gras et facile ce qui en fera tout le charme. L'intrigue est correcte et très bien amenée. Les comédiens sont tous parfaits (pas trop de guests inutiles chargeant le film inutilement comme presque toutes les comédies du genre made in France, ces derniers temps). Le rythme est soutenu et l'humour est toujours de qualité, oscillant du subtil potache au tellement lourd tellement bon. Alors où le bas blesse ? Passé les trois premiers quart d'heure le château de carte s'écroule. Tout fait volte face en même temps, Jean Dujardin restant cependant constant et affirmant un peu plus son statu de réel comédien, comédie ou non; l'intrigue devient poussive, les scènes se rallongent sur un tempo indigeste (3 séquences consécutives d'une longueur interminable), les dialogues perdent du rép
La collaboration et succès entre Hazanavicius et Dujardin a été assurée par le premier film OSS 117, et sévit avec une suite qui déroule l'action en pays exotique pour poursuivre des anciens nazis. L'objectif est encore de parodier les James Bond des années 60, mais avec la French Touch : les calembours stupides, situations absurdes que le réalisateur agrémente d'éléments de mise en scène, comme le split-screen, qui sert aussi d'élément comique, comme les multiples conversations téléphoniques. Notons la séquence de poursuite dans l'hôpital, qui relève de l'épique. Les films de l'époque étant parodiés, on remarquera que Hazanavicius reprend le style de réalisation, comme le cadrage classique des plans, ou les séquences intérieurs de voiture, bien que trop poussés avec le mouvement exagéré des mains sur le volant. On essaiera d'oublier les moments gratuits, comme la nuit des hippies et les blagues d'en dessous de la ceinture. Du film, il faut retenir le jeu d'acteur de Dujardin et les dialogues.