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    OSS 117 : Rio ne répond plus
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    1 976 critiques spectateurs

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    Fabien S.
    Fabien S.

    548 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2020
    Une très suite très marrante du premier volet d'OSS 117 avec Jean Dujardin, Louise Monot et Alex Lutz .
    pfloyd1
    pfloyd1

    129 abonnés 2 109 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 décembre 2012
    Quand OSS 117 se rapproche d'Austin Power ,on rit vraiment! L'ambiance des année 60 est un délice,costumes,décors,bande son,le film est superbement réalisé.Humour potache,scenes à mourir de rire,on a droit à un super agent secret bete comme ses pieds qui a la manie d'installer de gros malaise par son inculture et ça c'est excellent!Rien n'est pris au serieux en dépit d'un Dujardin macho et maladroit,merci , dommage qu'il y en ai pas eu un troisieme !!
    Ricco92
    Ricco92

    225 abonnés 2 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 septembre 2021
    Trois ans après ses premières aventures, notre espion hexagonal est de retour ! Le récit ayant beau se dérouler douze ans après le premier film, le personnage incarné par Jean Dujardin n’a pas changé. Il est toujours aussi prétentieux, cocardier, raciste et sexiste : en résumé, toujours aussi stupide. spoiler: Il se fait d’ailleurs insulter en anglais par Bill et en hébreu par les agents du Mossad sans qu’il s’en rende compte. Un espion qui ne comprend même pas la langue de Shakespeare est donc loin de pouvoir rivaliser avec James Bond.

    Et pourtant, celui qui est appelé par les agents du Mossad Double 1 7 (en référence à Double 0 7) est capable, encore plus que son homologue anglais, d’éviter toutes les balles ! Effectivement, Michel Hazanavicius s’amuse à nouveau à multiplier les références au héros de Ian Fleming sans se limiter uniquement à celui-ci. Par exemple, le créateur de La Classe américaine enchaîne les références cinématographiques comme celles à Alfred Hitchcock spoiler: (la scène de la poursuite dans l’escalier pastiche clairement celle de Sueurs froides, le nazi suspendu dans le vide depuis une statue gigantesque renvoie directement à Cinquième Colonne et le raccord entre la remontée de celui-ci et celle de Dolorès reproduit nettement ce même effet dans La Mort aux trousses)
    , aux films de catcheurs mexicains ou plus littéraires spoiler: (Von Zimmel reproduit en version nazie le célèbre monologue concernant l’humanité des juifs du Marchand de Venise de Shakespeare)
    .
    OSS 117 : Rio ne répond plus prolonge donc l’ambiance parodique de Le Caire, nid d’espion mais le cinéaste a l’intelligence de ne pas faire une simple redite de sa mise en scène du premier film. Le nouveau long-métrage se déroulant dans une autre époque, il adapte donc, en bon cinéphile qu’il est, celle-ci aux codes cinématographiques de la période qu’il retranscrit. On y retrouve donc une ambiance plus pop multipliant les split-screens et confronte notre héros aux évolutions sociétales d’alors spoiler: (il y découvre les hippies et l’amour libre !)
    , ce qui amène de nombreuses séquences très amusantes.
    En effet, Hazanavicius réussit à signer une œuvre n’ayant pas à rougir face à son premier volet et pouvant même être considérée comme étant encore plus drôle que celui-ci. Les gags réussis s’enchaînent et on sent que Jean Dujardin (accompagné dans des rôles secondaires par d’autres visages connus tels qu’Alex Lutz et Pierre Bellemare) s’amuse toujours autant dans son rôle d’agent secret totalement crétin au service d’un régime qu’il présente involontairement comme dictatorial spoiler: (quand il compare la dictature militaire brésilienne à la France du Général de Gaulle en réponse à Dolorès)
    .
    OSS 117 : Rio ne répond plus devrait donc une fois de plus plaire à tous les amateurs de comédies parodiques et est une bonne représentation de ce que le cinéma français peut faire de mieux dans le genre.
    hpjvswzm5
    hpjvswzm5

    43 abonnés 459 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 avril 2014
    Peut-être que c’est moi, mais si j’avais trouvé le premier sympathique, je trouve ce second film carrément pas mal du tout. J’avais quelque peu de mal avec certains gimmicks du premier, qui faisait que, malgré que ça m’avais fait marrer, je trouvais qu’il manquait quelque chose pour que j’adhère vraiment. Mais avec cette suite je me suis régalé. Quel dommage qu’Hazanavicius ne reste pas dans la comédie parodique à la con et qu’il veuille s’attaquer à des sujets « sérieux », je pense qu’il est plus doué pour ça.
    La principale qualité du film c’est son écriture, ses dialogues, qui donnent lieu à des scènes justes démentes. J’aime lorsque les films se vautrent dans la connerie tout en restant suffisamment de bon goût pour ne pas tomber dans la lourdeur. Dujardin est bon dans son surjeu parce qu’il est censé être un abruti, crâneur, débile, macho et raciste, et sérieux que c’est bon. Sa répartie sur les femmes est juste tordante, et franchement vraie. Il y a des scènes vraiment jouissives, comme celle dans l’ascenseur avec les chinois, ou la poursuite dans l’hôpital, ça pourrait difficilement être plus con. Aussi, j’ai trouvé que le côté parodique fonctionnait mieux que dans le premier, on joue vraiment avec les clichés, le méchant qui révèle son plan, la névrose à la con du héros, le rôle féminin, tout ça est passé à la moulinette pour donner un résultat réjouissant. La connerie de ce type est sans limite et c’est ça qui est bon. Après à la longue on pourrait trouver ça un peu long, il y a un léger ventre mou vers la fin mais rien de bien grave, le rythme du film est suffisamment bien géré pour qu’on n’ait pas le temps de s’emmerder.
    Bon après il ne faut pas forcément le porter aux nues en tant que chef-d’œuvre, il y a quelques gags qui fonctionnent moins, mais rien que pour OSS et son pote amerloque qui rient comme des cons (euphémisme) ça vaut au moins le coup de s’y pencher. Franchement je n’ai pas boudé mon plaisir et j’ai bien ri. Alors qu’Hazanavicius arrête avec ses conneries et qu’il nous fasse une suite maintenant, histoire de faire des trucs qu’il sait faire !
    Flow43
    Flow43

    16 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 octobre 2009
    Trés mauvais, le un était mieux, quelques rares sènes droles, a éviter.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    156 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 novembre 2020
    OSS 117 : Rio ne répond plus, la suite d'OSS 117, le Caire, nid d'espions réalisée en 2009 par Michel Hazanavicius.
    Une excellente comédie d'espionnage, en droite ligne du premier opus de 2006 qui parodie le cinéma du genre des années 50/60. Nous retrouvons Jean-François Halin à l'écriture. .
    Nous retrouvons à nouveau Jean Dujardin, qui apporte toujours son petit côté "Brice"au personnage d' OSS 117, et qui se lâche encore plus que dans le précédent film.
    Jean Dujardin incarne l'agent OSS 117 le James Bond français crée en 1949 par l'écrivain français Jean Bruce, quelques années avant que Ian Fleming ne crée James Bond en 1953.Des romans à sucés naîtrons les adaptations cinématographiques et la célèbre quadrilogie réalisée par André Hunebelle dans les années 1960.
    Oss 117, ou Hubert Bonisseur de La Bath est, au départ, un agent américain d'origine française,devient ici encore une fois la géniale caricature du héros français.
    Excellente comédie, qui joue sur les codes cinématographique et culturels de la fin des années 60, malgré un abus d'inserts un peu partout, mais cet abus est certainement volontaire.
    De l'action, de l'aventure, des voyages, du décalage et un très beau travail visuel, musical.
    Précision des costumes, décors, superbe travail de la couleur, une bonne documentation et un humour encore plus transgressif. J’attends avec impatience la suite tournée en 2019 : OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire.
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    109 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 novembre 2014
    Pris séparément, OSS 117 Rio ne répond plus est sans doute aussi exaltant, donc réussi, que le précédent Le Caire nid d’espions. Pour autant, en comparaison, ce deuxième périple de l’agent secret français le plus imbattable dans l’ignorance et dans la maladresse ne possède pas l’atout si rafraîchissant de son aïeux. Alors que Jean Dujardin et Michel Hazanavicius avaient surpris tout le monde avec leur excellente collaboration, quelques années plus tôt, ici, ils sont attendus au tournant. Sans décevoir le moins du monde, oh combien non, le duo reprend les choses là où elles avaient été laissées, repartant sur les mêmes bases solides, pour envoyer cette fois-ci le dénommé Hubert, avec toute sa bêtise hilarantes, en mission au Brésil. Parti pour un simple échange, voilà notre agent embarqué dans une chasse au nazi en plein pays en développement.

    OSS 117 commet toujours les mêmes impairs, s’enorgueillis toujours de sa médiocrité, pour notre plus grand plaisir. Usant toujours aussi bien du comique de situation que du ton diablement efficace des séquences de dialogues inimitables, Michel Hazanavicius n’aura pêché ici que de vouloir en faire trop. Oui, si le scénario n’est certes pas le moteur unique d’une production telle que celle-ci, il apparaît pourtant, dans Rio ne répond plus, malgré une bonne idée de base, que les choses s’éparpillent très rapidement. A l’inverse du premier volet, qui soulevait tout de même un certain mystère devant mériter conclusion, ici le script n’est que prétexte à aligner séquences de rires et dialogues ambigus. Si, dans le fond, cela n’est pas foncièrement préjudiciable au film, dans sa globalité, un scénario un tant soit peu intéressant n’aurait pas dépareillé dans un film par ailleurs aussi drôle qu’escompter.

    Jean Dujardin, éprouvant visiblement un plaisir authentique à incarner cette quintessence du chauvinisme ignorant d’autrui, démontre une nouvelle fois son talent comique, indiscutablement son atout majeur. Chaque apparition, et elles sont nombreuses, du bonhomme amènent rire et moquerie, le tout à un rythme diablement soutenu. En gros, OSS 117 n’en manque pas une et encore une fois, il s’avère aussi constant dans la bêtise que peut l’être son modèle, James Bond, dans la stature et l’élégance. L’acteur possède non seulement la tête de l’emploi mais excelle dans toute ses démarches, toujours aux aguets pour sortir une bêtise, toujours alerte pour se rendre ridicule mais attachant. Rio ne répond plus, en ce sens, est l’égal de son grand frère, une très belle référence au genre de l’espionnage, en mode année 60, ainsi qu’une comédie délirante qui remplit honorablement son cahier des charges.

    Plus encore que dans Le Caire nid d’espions, c’est ici la différence des cultures qui amènent souvent à rire bien fort. L’homme s’attaque cette fois-ci aux israéliens et leur sens de la justice, aux allemands et à leur histoire honteuse ainsi qu’aux asiatiques, à leur culture dont le héros ne saisit rien et dont il se moque généreusement. Les barrières de la langue sont-elles-aussi mises en avant, aux travers de séquences certes grossières mais hilarantes avec un agent américain en poste à Rio. En gros, ce second volet de OSS 117 par le remarquable metteur en scène qu’est Michel Hazanavicius est une seconde réussite, certes amoindrie par quelques errements narratifs. 16/20
    Scorcm83
    Scorcm83

    102 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mai 2016
    Aussi bon, fun et décalé que le premier, avec quelques effets de montage en plus très bien sentis, ce second opus d'*Oss 117* prend maintenant place au Brésil. Au programme, dialogues aux petits oignons, Jean Dujardin toujours aussi excellent et le reste du casting parfaitement assorti. J'ai beaucoup aimé le comique de répétition concernant les maladresses politiques d'Hubert vis à vis des Juifs, Nazis et français. Parce que ce que j'adore avec Oss 117, c'est que le film se révèle beaucoup plus fin et subtil qu'il n'y parait, et lorsqu'il parle de politique, c'est bien meilleur que la plupart des comédies françaises soit disant spécialisées sur le sujet. Hazanavicius nous prouve donc qu'il ne s'agit pas d'en faire des tonnes mais de savoir doser pour faire un cocktail explosif, sans oublier l'ingrédient le plus important : le langage cinématographique.

    Bref, à voir, une suite utilise et complémentaire au premier.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    693 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 septembre 2022
    Profondément drôle, OSS 117 joue avec le racisme, la misogynie, grâce à un personnage principal totalement stupide. Dujardin excelle, avec son rire et son sourire prétentieux, tandis que l'écriture fuse, offrant une pelleté de répliques cultes et de situations cocasses.

    https://www.cineserie.com/tv-vod/programme-tv/oss-117-le-caire-nid-despions-sur-m6-les-romans-qui-ont-inspire-le-film-4449626/
    dougray
    dougray

    238 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juillet 2010
    Après un 1er épisode génial, OSS 117 revient dans un épisode un brin inférieur mais qui repousse les limites du politiquement correct. Dans le contexte actuel, faire dire au héros que les Juifs sont reconnaissables à leur nez ou qu’il a déjà entendu parler de la théorie selon laquelle tous les Allemands n’étaient pas Nazis relève du miracle ! Car s’il y a une chose à retenir de ce film, outre le travail phénoménal de mise en scène qui épinglent les défauts de réalisation de l’époque (la façon de conduire des personnage, les coups de feu qui ne touchent jamais le héros…) et les multiples hommages (à Hitchcock, à Belmondo…), ce sont les dialogues tout simplement ahurissants (après les Arabes dans le 1er opus, c’est au tour des Chinois, des Hippies et des Juifs d’être la cible des remarques de l’espion français) qui nous offrent quelques pépites telles que l’énorme "Pourquoi ne pas rêver un jour à une réconciliation entre Juifs et Nazis ?". Quant aux gags, ils brillent par leur originalité en refusant le vulgaire facile (le crocodile qui ne cuit pas, le gag des boules de Noël, le pédalo à tête de canard, le running gag des Chinois…). Mais que serait le film sans Jean Dujardin ? A mi-chemin entre George Lazenby et Paul Newman, il éclabousse le film de son génie comique grâce à son rire improbable et son regard dépassé et réussit, une fois encore, à faire aimer un personnage aux tendances machistes et racistes. Un tour de force qui se fait un peu au détriment des autres personnages, très réussis mais peu mis en valeur (la belle Louise Monnot, Rüdiger Vogler cabotin, Pierre Bellemare excellent…). Autre défaut : quelques scènes sont un peu poussives comme la partouze ou le flash-back de l’accident de trapèze. Mais, "OSS 117" reste malgré tout ce qui se fait de mieux en comédie française depuis "La Cité de la peur" même s'il en laissera certains sur la touche...
    D. Dream
    D. Dream

    49 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 septembre 2011
    Toujours aussi bon que le premier, peut être même plus.
    On ne s'en lasse pas !
    Nico2
    Nico2

    84 abonnés 939 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 avril 2009
    Une suite encore plus réussie que le premier volet, plus insolente, plus loufoque, plus outrancière, avec un Jean Dujardin formidable encore une fois dans le rôle d'Hubert Bonnisseur de la Bath, toujours aussi stupide et réac. Là encore, le film reprend un filmage à l'ancienne, avec une grande utilisation du split-screen très en vogue dans les années 1960 depuis L'Affaire Thomas Crown de Thomas Jewison, une photo et des truquages à l'ancienne. Tous les codes du genre sont parodiés: un scénario incohérent mais on s'en moque, un décor paradisiaque, de jolies filles et des méchants nombreux à savoir des nazis et des "Chinois de Chine" (Voyez le film, vous comprendrez). Certaines répliques sont promises à devenir cultes, le film contient de nombreux clins d'oeil (Robin des Bois de Michael Curtiz, Vertigo), le film n'est pas avare de situations comiques dont une scène de poursuite dans un hôpital promise à devenir une référence. Enfin, il y a OSS 117, plus odieux mysogine et raciste chaque jour avec cette fois une nouvelle facette: l'antisémitisme. Le film va très loin dans la crudité de ses dialogues pour mieux dénoncer la bêtise et l'arrogance d'un certain état d'esprit français que l'on peut espérer disparu. Les seconds rôles sont très bons et surjouent pour notre plus grand plaisir, Pierre Bellemarre succède au regretté Claude Brosset comme chef des services secrets et livre une bonne prestation, même si la filiation avec les films de Belmondo personnifiée par Brosset disparaît. Louise Monot, par contre, est peu crédible, elle peine à exister face à Jean Dujardin et lui manque de répondant, contrairement à Bérénice Bejo dans le précédent opus, et sa manière trop sérieuse d'appréhender le rôle la pose trop en décalage avec le reste de l'ensemble. A part cela, embarquez sans hésiter pour cette nouvelle mission avec OSS 117 Rio ne répond plus: "si vous aimez la danse et les Chinois, vous allez être servis".
    Flōrens PAB
    Flōrens PAB

    83 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mars 2020
    Une suite plus burlesque, donc meilleure que le premier opus pour moi. La mise en scène et les trucages "a l'ancienne" sont toujours aussi réussis, et même l'histoire est mieux écrite, plus stimulante. Hubert Bonisseur de La Bath (Jean Dujardin) est toujours aussi... français, donc forcément tous le monde en prend pour son grade a cause de sa vision étriquée du monde moderne. Le charme a la française.
    Kalie
    Kalie

    60 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 octobre 2012
    Ce OSS 117 est plus riche en action que le précédent. On retrouve un Hubert Bonisseur de La Bath avec toujours un métro de retard sur son époque. Raciste, misogyne et tout simplement bête, il fait rire ou exaspère, c’est selon. En tout cas, ses défauts sont le prétexte à des scènes marrantes/choquantes (la rencontre avec sa coéquipière, sa position sur l’Holocauste et son avis sur le mouvement hippie...). Avec ses jolies filles, ses méchants nazis, ses déguisements, le film est un hommage à un certain cinéma. L’utilisation du split screen, technique cinématographique à la mode dans les années 60, renforce le côté rétro du film. Les seconds rôles complètent efficacement le tableau (notamment Ken Samuels en espion de la CIA). Tout est réuni pour un divertissement de qualité.
    Louis Morel
    Louis Morel

    46 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 juin 2013
    Si le film débute très bien avec une ouverture burlesque hilarante, il se ralentie malheureusement et la durée entre les gags s'étire, jusqu'à détruire totalement le rythme de cette décevante comédie.
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