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Un film d'une longueur inimaginable car une fois que l'on a compris l'intrigue on devine sans problème la fin et donc on peut dormir.
Comment peut-on produire une telle chose?
Le scénario laisse à désirer, et comporte moult rebondissements aussi inutiles que ridicules. De plus, les acteurs (surtout Pascal Elbé) jouent mal, et du coup, on s'ennuie vite. Je ne sais par quel miracle j'ai réussi à tenir 1h33 de "comédie" mielleuse et bourrée de préjugés à deux francs sur l'homoparentalité. J'ai encore perdu 5 euros et 95 centimes.
Le scénario laisse à désirer, et comporte moult rebondissements aussi inutiles que ridicules. De plus, les acteurs (surtout Pascal Elbé) jouent mal, et du coup, on s'ennuie vite. Je ne sais par quel miracle j'ai réussi à tenir 1h33 de "comédie" mielleuse et bourrée de préjugés à deux francs sur l'homoparentalité. J'ai encore perdu 5 euros et 95 centimes.
Un long, pénible et laborieux téléfilm à la con qui a malheureusement atteri dans une salle de cinéma...
Très mauvais (télé)film, un sujet moderne traité d'une manière ultraconventionnelle (le film avance mollement au gré d'épisodes pas toujours crédibles) et finalement on reste perplexe devant cette quête du bébé à tout prix (la réussite du couple et le bonheur passeraient impérativement par la paternité ?). Le cinéma américain aurait fait du même sujet un film probablement plus inspiré et aurait davantage soigné le langage cinématographique.
Le plaisir éprouvé en voyant ce film tient en deux éléments principaux : les acteurs et le scénario. Côté acteurs, la star espagnole Pilar Lopez de Ayala est une vraie découverte pour moi. Quel talent ! Quelle justesse dans les scènes d'amour, de jalousie et de déception ! Quant au reste du casting, c'est là aussi un sans faute : Anne Brochet, Pascal Elbé et Lambert Wilson sont parfaits. Côté scénario, il y a des scènes très drôles, des émotions bien palpables,
spoiler:
on évite le happy-end irréaliste de l'homo retrouvant la voie de l'hétérosexualité mais
on est surtout en face d'un film bien pensé car construit autour de situations qui ne sont pas spécifiquement celles des homosexuels et parlent tout à fait aux hétérosexuels. Ainsi, on y voit, loin des clichés habituels du genre, des gays vivants, comme les autres, spoiler: des séparations de couple, des divergences de vue sur l'avenir, des démarches administratives d'adoption ou la naissance de leur progéniture
... Un grand bravo au réalisateur-scénariste Vincent Garenq pour ce très beau premier film.
on est surtout en face d'un film bien pensé car construit autour de situations qui ne sont pas spécifiquement celles des homosexuels et parlent tout à fait aux hétérosexuels. Ainsi, on y voit, loin des clichés habituels du genre, des gays vivants, comme les autres, spoiler: des séparations de couple, des divergences de vue sur l'avenir, des démarches administratives d'adoption ou la naissance de leur progéniture
... Un grand bravo au réalisateur-scénariste Vincent Garenq pour ce très beau premier film.
Caine78
On ne peut être que surpris par le début de ce "Comme les autres", tant le film surprend par sa fraicheur et sa jolie écriture, le sujet du film étant alors traité de manière pertinente et convaincante. Hélas, l'ensemble retombe vite dans les travers de son sujet, à savoir un parti pris évident et une position qui manque singulièrement de recul. En effet, Vincent Garenq ne semble alors plus du tout avoir les armes pour nous convaincre de ce qu'il pense, d'autant plus que l'oeuvre a une nette tendance à tomber dans le pathos. On se contente alors d'une comédie dramatique assez facile et prévisible, "happy-end" oblige et les personnages perdant ainsi de leurs crédibilités et certains rebondissements apparaissant peu convaincants. Cela dit, certaines scènes réussissent à se faire convaincante et assez sensible, notamment lorsque Garenq s'appuie plus sur une étude de caractères et se dévouant alors intégralement à ses personnages. Le drame se fait alors plus convaincant que la comédie et sauvre quelque peu le film de la platitude et de la facilité. Notons enfin la très belle performance de Lambert Wilson, déconcertant de naturel et celle tout en fraicheur de Pilar Lopez de Ayala. Le film pourra donc satisfaire les spectateurs les plus fleurs bleues et bon public, les autres regarderont eux sans déplaisir un téléfilm propret mais sans envergure et respirant tout de même quelque peu la facilité. A vous de voir!
"Comme les autres" évite habilement les clichés habituels d'un film qui aborde un tel sujet, ceci notamment grâce à la qualité de son interprétation.
Pas exceptionnel mais pas déplaisant.
Pas exceptionnel mais pas déplaisant.
pathétique et profondément homophobe : les personnages des deux homos sont ridicules et caricaturaux entre le pédé qui trouve honteux et contre nature que deux homos soient parents (!!!) et l'autre, joué par un Lamber Wilson absolument pas convaincant dans un personnage pas fait pour lui, qui ne rêve que d'être papa au point qu'il finit presque par virer sa cuti... l'idée de fond étant que les homos ne peuvent être heureux que s'ils singent les hétéros, en adoptent tous les codes, jusqu'à la caricature, et deviennent eux-mêmes parents... un film d'hétéro fait pour des hétéros qui se moque ouvertement des homos, considérés comme immatures (wilson est complètement infantile) et égoïstes puisqu'ils traitent avec beaucoup de mépris cette pauvre fille qui leur fait un gosse, alors qu'il y avait là un sujet en or, qui aurait pu être traité avec finesse, délicatesse, intelligence, au lieu de qui on a une comédie poussive et pathétique, dans laquelle l'homosexualité des deux gays est complètement au second plan... j'ai détesté et em suis royalement ennuyé 0/20 (il va sans dire que je suis gay)
Scénario léger et convenu, direction artistique maladroite, acteurs perdus au milieu de scènes sans matières emmenant le spectateur vers l'apothéose du bon sentiment ridicule ...
Comme les autres avec L.Wilson & P.Elbé ? Et quant à l'originalité du sujet rebelle-parceque-gay; Il faudra revoir la copie, surtout depuis - visiblement - qu'on est + en 1966 : décidément le cinéma français n'arrête pas d'oser !
Parenté, n. f. : rapport entre personnes descendant les unes des autres, ou d'un ancêtre commun.
Plaidoyer pour une meilleure acceptation sociale de l'adoption par les couples gays.
Plaidoyer pour une meilleure acceptation sociale de l'adoption par les couples gays.
selenie
Bon film franças sur un sujet d'actualité . Les acteurs ont tous émouvants et touchants et c'est sans aucun doute la vraie force du film. Bon point à Anne Brochet. Le scénario est sans réelle surprise mais efficace et une jolie fin. Cependant on ne peut que remarquer la mise en scène sans relief. Le fait d'avoir écrit un rôle de gay qui affirme qu'un couple homo ne peut avoir d'enfant, que c'est contre nature est une idée d'une grande force. Dans le même temps une certaine morale, particulièrement gênante, se met en place : l'idée qu'un couple ou qu'un individu ne peut réussir sa vie ans avoir d'enfant.
Cependant c'est un joli film à voir où l'émotion tient une grande place.
Cependant c'est un joli film à voir où l'émotion tient une grande place.
defleppard
Comédie sur l'adoption par des homosexuels plaisante . Tourné dans un format court , 1H 30 , on va à l'éssentiel avec plaisir.
Un beau film à découvrir, avec de bons sujets comme l’homosexualité (pas facile à aborder), comment votre entourage peut réagir, le céliba et le désir d’avoir un enfant. C’est à fois sensible, touchant et bouleversant. Même si il y’a un peu d’humour, quelques clichés, le sujet principal est bien aborder. Lambert Wilson est excellent dans son rôle de gay prêt à tout pour être père, Pascal Elbé joue vraiment bien le rôle du gay bien viril et la belle Pilar Lopez de Alaya est touchante dans son rôle de mère porteuse.
La satisfaction d’avoir vu un bon film. Pour une fois, l’éternel placement de produits qui fait la partie intégrante des films français ne m’ont pas trop irrité (pas de lobby de tabac tout de même dans le film) car le film est tellement bien fait qu’on ne peut que lui pardonner des petites imperfections.
L’un des rares films français qui tourne autour d’homosexualité avec beaucoup de finesse et de tact à l’opposé des comédies (sic) grassouillets et lourdingues qu’on a habitude de nous servir.
L’un des rares films français qui tourne autour d’homosexualité avec beaucoup de finesse et de tact à l’opposé des comédies (sic) grassouillets et lourdingues qu’on a habitude de nous servir.
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