Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Maxime P.
66 abonnés
226 critiques
Suivre son activité
0,5
Publiée le 21 mai 2007
Le dernier film de Pascal Thomas aurait plutôt du s'appelé "Le grand n'importe quoi". En effet ce film est désarmant de bêtise , de mise en scène foireuse , d'interprétation inégale , et d'humour lourdingue , d'accumulation de scènes sans lien entre elles voire inutiles. L'idée semblait au départ amusante : un couple profite d'une loi plafonnand les loyers d'immeubles anciens est menacé d'expulsion , cette trame est à peine exploitée et le réalisateur passe son temps a décrire la vie bohême et pépère de cette bande d'allumé dans leur appartement , à savoir Mathieu Amalric en réalisateur volage au look très Sartrien(incarnation de Pascal Thomas soi-disant) , Leatitia Casta , épouse énervé disant bonjour chaque matin à ses aisselles bien garnies et le meilleur pour Pierre Arditi , réalisateur-squatteur qui ramène chaque soir une nouvelle conquête qui pourrait être sa fille. Au départ ça peut faire rire , mais après ça devient ennuyeux , et Thomas brasse dans le vide. Si ce qui devait être une comédie matinée de chronique sociale n'est qu'une comédie rarement drôle et très bancale bénéficiant d'une des plus mauvaises idée de mise en scène , des apartés des comédiens s'adressant au spectateur , chose ultra prétentieuse et inutile. Une étoile pour la scène de tournage dans l'appartement , bien bordellique mais assez bien croqué pour une fois. Le reste n'est guère intéressant. Dommage.
Peut-on tout pardonner à un réalisateur qui a signé des films cultes il y a trente ans? C’est encore une fois la question que l’on est en droit de se poser à la vue de cette comédie de Pascal Thomas dénuée d’efficacité. Rien n’est drôle, tout est brouillon dans ce semblant de scénario aux inspirations autobiographiques où, à partir d’un point de départ déjà traité mille fois dans ce genre de film, celui d’une cohabitation entre personnages caricaturaux, une mise en scène incohérente n’arrive à aucun moment à capter ce qu’il peut y avoir de plaisant. Ces monologues face caméra et ces situations absurdes font passer le film à côté de son sujet (encore faudrait-il pour ça que Thomas ait eu quelque chose de concret à raconter) et semble n’amuser que ses acteurs, laissant le public ahuri devant un tel étalage d’autosatisfaction.
Ce téléfilm est tellement naze (scénario inexistant, vitesse confondue avec ryhtme, jeu calamiteux des comédiens, esprit bobo-bourgeois-libertaire à la ramasse) que seule la présence de Laetitia Cata (vraiment cata !) a permis de sortir en salle. Par ailleurs, tous les critiques professionnels dont Première qui ont apprécié ce machin sont désormais triquards question crédibilité.
c'est frais,c'est vraiment original,genre peu habituel ou les acteurs jouent juste j'ai vraiment pris beaucoup de plaisir à découvrir ce film. des seconds rôles aux premiers tout le monde prend du plaisir et ça se voit à l'image.
Un véritable fouttoire ce film! Un grand bordel monstre.... Malgré de bons acteurs et une délicieuse Laetitia Casta, le film ne décolle jamais et même nous endort!
Un SCANDALE! C'est de loin le pire film que j'ai vu depuis au moins un an! Je ne m'étais pas autant ennuyé depuis...les Bronzés 3! Et encore, ils m'ont (un peu) fait rire...Alors que là, c'est CREUX! Il n'y a rien. Le film démarre au quart de tour : Vespa facon "dolce vita", appart où se mêle un joyeux bazar,... mais il n'y a plus de scénario passée la 20ème minute. Laetitia Casta aurait mieux fait de rester mannequin. Nul.
"Le grand appartement" est un lamentable navet, prétentieux et insupportable. Cette chose épouvantable nous fait vivre un véritable calvaire. Tout y est mauvais: les acteurs, la réalisation, l'histoire... C'est honteux de réaliser une immondice pareille. Je plains les acteurs d'avoir une telle casserole dans leur filmographie. Ce film est une torture que l'on aimerait ne jamais avoir vu... 0/5
Une comédie (sic!) pseudo-intello (ça cite à guise des grandes références cinématographiques ou littéraires et ça multiplie les grandes envolées lyriques ou philosophiques sans motif apparent ) peu inspirée et pas drôle qui se révèle surtoût vulgaire et ridicule en dépeignant les malheurs (sic!) d'une sacrée brochette de jeanfoutres tous aussi bons à rien les uns que les autres. Et pour finir, le coup de grâce : on nous assène une leçon de morale sur les bienfaits de la loi de 1948. J'ai beau être un socialiste convaincu, quand je vois ce film, je ne vois que des méfaits à cette loi qui bénéficie ici à une belle bande de parasites plus bobeaufs que bobos!
L'academie revelee de Laetitia, plus le cabotinage d'Arditti ajoute a un pseudo discours contestataire... quelques ingredients qui ne suffisent pas pour une soi disant comedie dejantee !!! Affligeante est helas le mot plutot approprie
Certains critiquent le côté brouillon qui est effectivement une composante du film dans la mesure où c'est une espèce de répétition. L'appartement est le lieu de tous les possibles, tous les styles, tous les personnages. Cela dit on tourne en rond et on s'ennuie vite
Comédie rondement menée par un Pascal Thomas en verve. Un film plein de fantaisie, de rythme, de loufoquerie, mais aussi de chaleur humaine et d’idéalisme. Mais c’est dommage que la réalisation soit un peu paresseuse et que certains gags finissent en queue de poisson. Ça part un peu dans tous les sens mais ne boudons pas notre plaisir, la distraction intelligente est là. Une mention à Laetitia Casta qui crève l’écran, bien sûr par sa beauté, mais aussi par son jeu très naturel qui est au niveau de celui d’Arditi ou d’Almaric. Encore meilleure actrice que mannequin !
Une joyeuse farce de Pascal Thomas comme il aime à en faire régulièrement, remplie de tendresse et de convivialité. Les acteurs s’amusent dans cette fable déjantée où les bons finissent toujours par l’emporter sur les méchants… Pierre Arditi, Mathieu Alméric et Laetitia Casta ressortent de la distribution. C’est parfois un peu lourd, parfois un peu longuet mais c’est la loi du genre et on passe finalement un bon moment.