La trilogie Da Vinci Code, c'est près d'1,5 milliard de dollars de recettes dans le monde. Un gros succès public, donc, mais qui n'empêche toutefois pas son acteur principal, Tom Hanks, de jeter un regard critique sur les adaptations cinématographiques des romans de Dan Brown.
"Oh, mon Dieu, c'était comme une entreprise commerciale. Les deux suites sont des foutaises. Da Vinci Code, c'était des foutaises", déclare l'Américain au micro du New York Times. "Ce sont de délicieuses chasses au trésor qui sont à peu près aussi historiquement crédibles que ce que les films James Bond le sont pour l'espionnage. Mais ces films sont aussi cyniques qu'un jeu de mots croisés. Tout ce que nous faisions, c'était promettre une diversion."
Et Tom Hanks, que l'on verra en septembre prochain dans le Pinocchio de Robert Zemeckis, de conclure : "Il n'y a rien de mal à faire du bon commerce, tant que c'est du bon commerce. Mais quand on a fait le troisième film, on a prouvé que ce n'était pas un si bon commerce."
Après les longs métrages Da Vinci Code, Anges et démons et Inferno, qui ont donc cumulé à eux trois près d'1,5 milliard de billets verts, Dan Brown a été adapté sur petit écran. Dans la série The Lost Symbol, disponible sur la plateforme Salto, c'est désormais l'acteur australien Ashley Zukerman qui prête ses traits à Robert Langdon.
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