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    "Le meilleur James Bond depuis Casino Royale", "le film 007 le plus émouvant" : les premières critiques de Mourir peut attendre sont tombées (sans spoilers)

    Les premières critiques de "Mourir peut attendre", 25e épisode de la franchise 007 et dernière apparition de Daniel Craig sous le smoking de l'agent secret, sont disponibles. #SpoilerDoitAttendre

    Son nom était Craig, Daniel Craig. Le comédien rend son smoking de 007 avec Mourir peut attendre, dont l'avant-première mondiale et les projections-presse se sont tenues ce mardi 28 septembre dans la soirée à travers le monde.

    Attendue le 6 octobre prochain sur les écrans français, cette cinquième et dernière mission de James Bond / Daniel Craig a t-elle convaincu la presse ? Voici les premières critiques, garanties sans spoilers. #SpoilerDoitAttendre

    Mourir peut attendre
    Mourir peut attendre
    Sortie : 6 octobre 2021 | 2h 43min
    De Cary Joji Fukunaga
    Avec Daniel Craig, Léa Seydoux, Rami Malek
    Presse
    3,1
    Spectateurs
    3,7
    louer ou acheter

    IndieWire - David Ehrlich

    "Daniel Craig dit au revoir à Bond avec le film 007 le plus émouvant de tous les temps."

    Variety - Owen Gleiberman

    "Le Bond de Daniel Craig obtient la sortie qu'il mérite dans le meilleur film de la franchise depuis Casino Royale. (...) Le réalisateur Cary Joji Fukunaga y injecte tous les éléments d'une bonne aventure 007, y compris cette touche d'âme ineffable."

    TimeOut - Phil de Semlyen

    "Daniel Craig tire sa révérence en tant que 007 avec un festin d'émotion et de spectacle – et clairement le meilleur film de Bond depuis Casino Royale. (...) La dernière apparition de Craig est couronnée de succès. #CraigNotBond semble appartenir à un lointain passé, dans tous les sens du terme."

    The Guardian - Peter Bradshaw

    "La très attendue 25e aventure du super-espion de Ian Fleming est une épopée étrange et méta avec des surprises audacieuses dans sa manche. (...) Il se pourrait que le monde de Bond ait pris quelque chose des univers Marvel et DC, avec leur propre sens de grandeur et de mystère caricaturaux."

    BBC - Nicholas Barber

    "Mourir peut attendre fait exactement ce qu'il était censé faire, c'est-à-dire terminer l'ère Craig avec une ambition et un aplomb énormes. Au-delà de cela, il réussit à prendre quelque chose de tous les autres films de Bond et à les mélanger tous ensemble."

    Le Parisien - Renaud Baronian

    "Alors, que vaut ce film tant attendu ? Il nous a laissé une impression partagée entre plaisir et déception. (...) Dans ce Bond aux deux parties très distinctes, chacun pourra choisir son camp, la première montrant un agent 007 classique, la seconde nous le faisant découvrir sous un jour inédit, presque tendre - ce qui fera certainement hurler les puristes de la première heure."

    Total Film - Matt Maytum

    "Craig reçoit exactement ce dont il a besoin, avec une performance qui offre une fin appropriée à son mandat, lui garantissant une place au sommet des meilleurs Bond."

    Empire - John Nugent

    "Le réalisateur trouve et pointe la vulnérabilité de ce héros invulnérable. (...) Levez un martini - cela valait la peine d'attendre."

    The Hollywood Reporter - David Rooney

    "Il ne se classe peut-être pas là-haut avec Skyfall, mais c'est un adieu émouvant à l'acteur qui a sans doute laissé la marque la plus indélébile sur le personnage depuis Connery."

    Le Point - Philippe Guedj

    "Après le médiocre 007 Spectre, l’ultime mission du mythique agent sous les traits de Daniel Craig corrige un peu le tir, mais rate quand même sa cible."

    ScreenRant - Mae Abdulbaki

    "En tant que chant du cygne de Craig, Mourir peut attendre est tout ce que l'on peut demander à un final, fermant toutes les intrigues ouvertes des films précédents et rendant hommage à ceux qui ont eu un impact sur la vie de Bond en cours de route. (...) Une lettre d'amour à l'itération de Craig de 007".

    Ecran Large - Geoffrey Crété

    "Pour la première fois de son histoire, James Bond affronte sa propre réalité, son propre mythe. Et la saga ose enfin quelque chose. (...) Ce bouquet final emporte tout comme une vague, avec une déflagration qui écrase les défauts du film."

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