Attention, spoilers. Il est conseillé d’avoir vu la partie A de la saison 5 de La Casa de Papel avant de poursuivre la lecture de cet article.
C’est l’évènement choc de la partie A de la saison 5 de La Casa de Papel : la mort redoutée d’un personnage majeur de la série espagnole d'Álex Pina. Après avoir perdu Nairobi (Alba Flores) dans la saison 4, c’est désormais Tokyo (Úrsula Corberó) que les fans doivent pleurer.
Avec cette grande galerie de personnages et les multiples dangers encourus, il était logique que la bande de braqueurs menée par le Professeur (Álvaro Morte) subisse de lourdes pertes dans cette ultime saison. Et c’est dans le dernier épisode de la partie A de la saison 5 que Tokyo se sacrifie pour sauver sa bande.
Blessée par balles et immobilisée, Tokyo reste dans une des pièces de la Banque d’Espagne et attend Gandia (José Manuel Poga) et ses hommes. Elle les repousse au maximum et tire à tout va afin que ses compagnons s’échappent et ce jusqu’à épuisement et jusqu’à ce que Gandia et son groupe n’arrivent à l’atteindre.
Capture d'écran / Netflix
Avant de lâcher son dernier souffle, Tokyo a dégoupillé plusieurs grenades afin d’emmener Gandia et ses hommes avec elle pour embrasser la mort. Ce décès a choqué les fans de La Casa de Papel, étant donné que Tokyo était l’un des personnages majeurs, présents depuis le début, et adorés des fans.
Son interprète était très touchée par la disparition de son personnage et son départ de la série. L’actrice a fait part de son émotion dans le documentaire La Casa de Papel : De Tokyo à Berlin, disponible sur Netflix et qui revient sur les coulisses de la partie A de la saison 5 de la série espagnole :
"Cette série est une drogue. Je me suis plainte, j’ai souffert,... Mais au final... Ce qui me touche dans cette série, ce sont les gens. [...] Ils se sont donnés corps et âme. Et c’est typique. Ça fait aussi partie de notre culture. Ça vient de notre passion. On fait les choses avec passion. Tout ce groupe est tellement dévoué. C’est ce qui a fait le succès de la série. Je crois que ça n’a pas de prix.
La fin de Tokyo est très symbolique. Il y a aussi une morale sous-jacente. Profiter de la vie. Je trouve ça intéressant. Et ça se ressent dans l’épisode. Et c’est là qu’on voit toutes les vies dont elle a parlé s’assembler. Les vies qu’elle a vécues. Car Le Professeur lui a donné une seconde vie. C’est très beau."
Alors comment les braqueurs vont-ils finir leur chemin sans Tokyo ? Il faudra attendre le 3 décembre sur Netflix pour le savoir avec la partie B de l’ultime saison de La Casa de Papel.
