Comment je suis devenu super-héros (le 9 juillet)
De quoi ça parle ? Paris 2020. Dans une société où les surhommes sont banalisés et parfaitement intégrés, une mystérieuse substance procurant des super-pouvoirs à ceux qui n’en ont pas se répand. Face aux incidents qui se multiplient, les lieutenants Moreau et Schaltzmann sont chargés de l’enquête. Avec l’aide de Monté Carlo et Callista, deux anciens justiciers, ils feront tout pour démanteler le trafic. Mais le passé de Moreau ressurgit, et l’enquête se complique...
Privé d’une sortie salle à cause de la situation sanitaire, Comment je suis devenu super-héros a fini sa route sur Netflix. Une petite déception pour les fans qui attendaient avec impatience le nouveau film de Douglas Attal, annoncé en grande pompe lors du Comic Con parisien de 2015. L’équipe était même venue présenter les premières images à l’édition de 2019.
Ce blockbuster de 15 millions d’euros a toutes ses chances d’être le film incontournable de l’été sur la plateforme. Outre un casting alléchant - Pio Marmaï, Leïla Bekhti et Benoît Poelvoorde pour ne citer qu’eux - Comment je suis devenu super-héros est l’un des rares films français à s’essayer au genre.
La trilogie Fear Street (2/9/16 juillet)
De quoi ça parle ? À la suite d'une tragédie brutale à Shadyside, dans l'Ohio, un groupe d'adolescents rencontre accidentellement le mal ancien responsable d'une série de meurtres brutaux qui sévissent dans leur ville depuis plus de 300 ans.
On triche un peu puisqu’il ne s’agit pas d’un film mais d'une trilogie d’horreur que nous propose Netflix avec Fear Street. Un triptyque qui se déroule à trois époques : 1994, 1978 et 1666. Il s’agit, pour les connaisseurs, de l’adaptation cinématographique des romans éponymes de R. L. Stine (Chair de Poule), vendus à 80 millions d’exemplaires dans le monde.
Le casting reste le même à chaque film mais le pitch évolue légèrement pour s’adapter à l’époque : meurtres brutaux et mystérieux, chasse aux sorcières, tueurs en série… un beau programme en perspective ! Là encore, Netflix mise sur des acteurs de son écurie : on reconnaîtra Sadie Sink et Maya Hawke de Stranger Things, Kiana Madeira (Trinkets) ou encore Gillian Jacobs (Love).
Le Dernier Mercenaire (le 30 juillet)
De quoi ça parle ? Un ancien et mystérieux agent des services secrets est de retour en France pour sauver son fils qu’il n’a jamais rencontré. Ce dernier est recherché par le gouvernement qui projette de l’arrêter pour trafic d'armes et de drogue à la suite d’une boulette d’un bureaucrate zélé et d’une opération mafieuse.
JCVD à la sauce Netflix, ça donne Le Dernier Mercenaire, une production 100% française et 100% castagne dans lequel l’acteur belge casse du méchant. Attendez-vous à une bonne dose d’action, des gags à gogo, quelques grands écarts, des perruques de toutes les tailles et formes, ainsi qu’un casting hétéroclite.
Car outre Jean-Claude Van Damme, on retrouve à l’affiche de cette comédie réalisée par David Charhon (De l'autre côté du périph') Alban Ivanov, Samir Decazza, l'humoriste Djimo, Patrick Timsit, Eric Judor, Nassim Lyes (toujours aussi déchaîné), Fatsah Bouyahmed ou encore Miou-Miou.
Beckett (le 13 août)
De quoi ça parle ? Un touriste américain en vacances en Grèce devient la cible d'une chasse à l'homme après un accident dévastateur…
Quelques mois après Malcolm & Marie, film dramatique en noir et blanc où il donnait la réplique à Zendaya, John David Washington revient dans un film Netflix. Changement de registre puisqu’il s’agit d’un thriller policier, réalisé par Ferdinando Cito Filomarino et produit par Luca Guadagnino (Call Me By Your Name).
Côté casting, on retrouve aussi Alicia Vikander et Boyd Holbrook. La plateforme américaine, qui a acheté les droits de diffusion du film, n’a pas encore dévoilé de bande-annonce. Mais si vous avez aimé le comédien dans Tenet, alors vous ne voudrez probablement pas manquer Beckett.
Sweet Girl (le 20 août)
De quoi ça parle ? Un homme anéanti par le chagrin se promet de punir les auteurs de la mort de sa femme, tout en protégeant la seule famille qu’il lui reste : sa fille.
Un revenge movie porté par Jason "Aquaman" Momoa ? On signe ! Si sur le papier Sweet Girl n’a rien d’original, il s’annonce comme un film sombre et explosif, si l’on en croit les rares images dévoilées par Netflix dans cette vidéo.
Mais on en voit assez pour dire qu’il y aura une bonne dose d’action et de baston. Isabela Merced (Dora), Marisa Tomei (Spider-Man) et Manuel Garcia-Rulfo (Les 7 Mercenaires) viennent compléter la distribution.