De quoi ça parle ?
L'histoire de Coral, Wendy et Gina qui tentent de fuir Moisés et Christian, hommes de main de Romeo, proxénète et propriétaire du club Las Novias. Ensemble, elles se lancent dans une redoutable course contre la montre au cours de laquelle elles devront affronter toutes sortes de dangers. Leur seul objectif : rester en vie cinq minutes de plus…
Sky Rojo, une série créée par Álex Pina et Esther Martínez Lobato.
Disponible en intégralité sur Netflix.
Qu'en pense la presse ?
GQ Magazine : "Ce sera souvent violent, parfois drôle, toujours tendu et tout à fait captivant avec des scènes de poursuite, des face-à-face angoissants, des rebondissements. Le tout dans un décor entre carte postale baignée de soleil et trou à rat que l'on ne conseillerait pas de fréquenter, même à notre plus grand ennemi."
4/5
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Ecran Large : "Sky Rojo a clairement pour but de divertir et d’en mettre plein la vue, avec un état d’esprit bien plus bourrin que La Casa de papel, comme le laisse deviner sa bande-annonce. Elle marche dans les pas de films mettant en scène des personnages de femmes fortes et indépendantes, et n’hésitant pas à défoncer le patriarcat à coups d'armes à feu, et parfois à se montrer déjantées, à la manière de Birds of Prey par exemple."
3.5/5
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Le Parisien : "Le challenge était de captiver l'attention du public avec une intrigue bien ficelée et des personnages entourés de mystère. Le tout avec des épisodes courts, de 25 minutes chacun. (...) Progressivement, pourtant, on plonge tête la première dans les huit épisodes de la première saison de ce road-movie et son ambiance électrique. C'est fascinant et dérangeant à la fois. Diablement efficace. On attend la deuxième saison, déjà tournée."
3.5/5
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Les Echos : "Portée par une bande-son éclectique, qui va du chanteur gitan Camarón au groupe de rock britannique Primal Scream, la série déroule ses multiples rebondissements dans ce décor aride et intimidant de western spaghetti. Moins consensuelle que La Casa de Papel, Sky Rojo a le charme d'un cactus au milieu du désert, bourré de piquants mais plein de sucs. Un pari osé."
3.5/5
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Première : "D'abord un peu racoleuse dans sa mise en scène et son approche tape-à-l'oeil d'un style ostensiblement référencé, la série finit par trouver son ton et surtout son rythme. La course-poursuite mise tout sur une fièvre rageuse communicative, qui se dégage de ces anti-héroïnes qui n'ont plus grand chose à perdre. A tel point que Sky Rojo ne rechigne pas à basculer dans une tragi-comédie absurde, à l'audace indéniable."
3.5/5
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Le Figaro : "Avec leur nouvelle série Netflix intitulée Sky Rojo , les scénaristes poussent loin le curseur de l’adrénaline en imaginant un road-trip pulp qui combine une problématique sociale et une approche psychlogique à un déluge de sensations fortes et d’humour sardonique. (...) Osée, la prise de risques n’évite pas toujours, dans les quatre épisodes mis à notre disposition, la surenchère de violences ou d’ébats. Mais la série roule à un tel train d’enfer qu’il est impossible de ne pas se laisser entraîner."
3/5
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Vanity Fair : "Cette tentative de mettre en exergue la traite des femmes est toutefois parasitée par le voyeurisme de la série, où cette exploitation du corps devient un spectacle éclairé aux néons, riche en gros plans de seins et de fesses."
2.5/5
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Télérama : "Personnages féminins constamment ramenées à leur statut d’objets sexuels, mis en scène graveleuse, dialogues très explicites, pour ne pas dire vulgaires, antagonistes tout en muscles et en tatouages… La traversée du désert de Ténérife, où se déroule Sky Rojo, n’a jamais été aussi pénible."
2/5
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