Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l'épisode de Demain nous appartient diffusé demain soir sur TF1 ! Si vous ne voulez rien savoir, ne lisez pas ce qui suit !
Mardi 9 février dans Demain nous appartient…
ROZLO FAIT UNE RÉVÉLATIONS À MARTIN
Comme son indic n’a rien voulu lâcher, Martin, qui estime lui en avoir déjà beaucoup demandé, insiste pour que Jules rentre se mettre en sécurité à la maison. L’instant d’après, les deux hommes se prennent dans les bras chaleureusement. Pendant ce temps, Chloé reçoit la visite de Virginie qui la sollicite pour prendre le relais de Jules afin d’aider Martin. Bien qu’elle ait conscience des risques qu’elle encourt, la fille Delcourt accepte. Virginie la remercie alors et promet de tout mettre en œuvre pour qu’elle ne soit jamais séparée de ses enfants. Plus tard, l’avocate confie à Jules s’être souvenue que Danielli l’avait attrapée violement par le bras. Tandis que son fils se demande si Martin aurait pu le tuer pour la protéger, Virginie reste convaincue de son innocence. Non loin de là, les policiers se sont aperçus que Virginie a rendu visite à Chloé dans la journée. Afin d’en apprendre davantage, Karim rencontre Chloé au Spoon. Cette dernière prétend qu’elles avaient rendez-vous pour évoquer la scolarité de son fils. Certaine que Virginie a été suivie, Chloé prévient Jules. Après qu’il en a parlé à sa mère, Virginie retrouve le mouchard sur sa voiture et indique vouloir l’utiliser à son avantage. A la nuit tombée, le commandant Constant se rend au port et apprend de la bouche de Rozlo qu’il est responsable de la mort de Danielli.
MORGANE EST PLACÉE À L’ISOLEMENT
En prenant son petit déjeuner, Morgane aperçoit un cafard dans son café et fait tomber son bol au sol. Alors que la gardienne lui ordonne de nettoyer immédiatement et lui propose de garder un bout de verre pour se tailler les veines, Morgane la pousse violement. Furieuse de s’être foulée le poignet, la gardienne lui fait comprendre qu’elle dormira au mitard dès ce soir. Même si elle est consciente du pétrin dans lequel elle s’est mise, la mère de Gabriel n’a aucune intention de continuer à se faire humilier. Par la suite, Justine est avec Tristan au parloir. Après que son compagnon lui a offert des billets pour Cadaqués, Justine lui parle des problèmes rencontrés par Morgane avec leur gardienne. Conscient de la situation compliquée que cette dernière traverse, Tristan lui rappelle toutefois qu’elle risque de compromettre sa remise en liberté si elle prend sa défense. Dans l’après-midi, la gardienne amène Morgane à l’isolement en l’appelant Alain, son prénom de naissance. Au moment où Justine s’interpose en implorant la policière de passer l’éponge pour cette fois, Morgane jure que tout ira bien. En fin de journée, Sandrine attend Morgane au parloir et la gardienne se montre particulièrement froide avec elle tout en faisant de nombreuses remarques homophobes et transphobes. Sandrine a beau menacer d’en parler à son avocate, la surveillante s’en moque.
MONA ET JEANNE FONT LA PAIX
Chloé se rend au mas et fait part à son ex-mari des tensions qui existent entre Mona et sa mère. Dans la mesure la mère de ses enfants ne veut pas perdre sa nounou, Alex demande à Jeanne de faire des efforts pour le bien-être de tous. Malheureusement, elle est déterminée à mener la vie dure à sa rivale et profite que cette dernière change la couche de Celeste pour glisser un tee-shirt rouge dans une lessive de linge blanc. Lorsque Chloé constate que son chemisier préféré a viré au rose, Mona lui présente ses excuses. Voyant la nourrice craindre pour son travail, Jeanne finit par admettre sa responsabilité. Et d’ajouter qu’elle a agi par colère car elle n’arrive pas à trouver sa place auprès de sa petite fille. Bien que Mona estime qu’il lui reste encore de belles années pour en profiter, Jeanne, qui sait que sa maladie gagne du terrain, aimerait passer un maximum de temps avec Céleste tant qu’elle a toute sa tête. Touchée, Mona répond alors qu’elle peut venir quand elle le souhaite pour chouchouter la petite. Jeanne s’engage quant à elle à ne plus faire de commentaires sur sa façon de travailler.
