Avec Jean Dujardin, Louis Garrel, Emmanuelle Seigner...
Le saviez-vous ? Pour se glisser dans la peau de son personnage, Jean Dujardin a perdu (à la demande de Polanski) du poids pour se dessiner une silhouette plus martiale. Le metteur en scène lui a d'ailleurs prescrit un régime drastique : dîner frugal le soir à 19h et déjeuner le lendemain à 13h. Grâce à ces jeûnes de quinze heures, le comédien a perdu sept kilos en deux mois.
Avec Matt Damon, Christian Bale, Caitriona Balfe...
Le saviez-vous ? Avant le tournage, Christian Bale s’est entraîné avec Robert Nagle, coordinateur des cascades et pilote chevronné. À l’écran, l’acteur conduit une Shelby Cobra et une Ford GT40. Le coordinateur des cascades et l’acteur ont passé une semaine à la Bob Bondurant School of High Performance Driving à Phoenix, en Arizona, spécialisée dans les courses.
Avec Emily Beecham, Ben Whishaw, Kerry Fox...
Le saviez-vous ? Avec la co-scénariste Géraldine Bajard, Jessica Hausner voulait créer une ambiguïté par rapport aux comportements des personnages : changent-ils en raison de leur état psychologique, du pollen inhalé ou sont-ils le fruit de l'imagination de Bella ou Alice ? "Notre souci était de créer une atmosphère au sein des scènes qui permettrait au public de s‘interroger sur l‘intégrité des personnages impliqués" explique la réalisatrice.
Avec Hend Sabri, Lotfi Abdelli, Hakim Boumsaoudi...
Le saviez-vous ? Noura rêve se déroule dans le sud du centre-ville de Tunis où l'on aperçoit d’ailleurs le lac de Tunis. Il s’agit d’un quartier très populaire. "Nous n’avons rencontré aucun problème pour les autorisations de tournage et le film va sortir là-bas. La scène du commissariat a été tournée dans une ancienne église, en plein centre-ville. Sous Ben Ali, elles ont été transformées en commissariats ou en centres pour dépister les toxicomanes", note la réalisatrice Hinde Boujemaa.
Avec Elizabeth Lail, Anne Winters, Jordan Calloway...
Le saviez-vous ? Justin Dec a commencé à économiser alors qu'il était assistant de production afin de faire le court-métrage Countdown. Réalisé en deux nuits, le film est envoyé à plusieurs festivals et aux producteurs Sean Anders et John Morris. Ces derniers sont si séduits par le concept qu'ils veulent en faire un long-métrage. Ils font appel au producteur John Rickard, avec lequel ils avaient travaillé sur Comment tuer son boss 2, pour boucler le budget.
Rendre la justice de Robert Salis
Le saviez-vous ? Le tournage de Rendre la justice s’est déroulé pendant deux ans avec des périodes d’interruption en fonction de la disponibilité des magistrats qui ont des agendas très chargés. Robert Salis voulait avoir du temps pour filmer leurs entretiens dans les meilleures conditions et faire en sorte qu’une proximité s’installe. "Ce qui a été souvent le cas et a permis d’obtenir des témoignages d’une grande sincérité et sans « langue de bois » pour des femmes et des hommes qui sont astreints pourtant à un devoir de réserve. Nous les avons conduits ensemble, Jean-Christophe Hullin et moi-même, et quand il n’était pas disponible, car lui aussi a un emploi du temps chargé, je les ai conduits seul. D’emblée s’est posée la question de comment filmer", se rappelle le metteur en scène.
Avec Océan
De quoi ça parle ? Autoportrait intime, sur toute une année, d’un homme transgenre que les gens connaissaient jusque-là sous le nom d’Océanerosemarie. Enfin prêt à affronter le regard social, Océan décide de faire son coming out, de changer de genre et de s’affirmer tel qu’il est : un homme trans. Drôles, sincères, bouleversants, comment Océan et son entourage vont-ils traverser chacune des étapes physiques, psychologiques et sentimentales de cette transition " Femme vers Homme " ?
L'Âme du vin de Marie-Ange Gorbanevsky
Le saviez-vous ? Après des études d’Histoire de l’art, Marie-Ange Gorbanevsky a suivi une formation en audiovisuel (IIIS). À travers l’art du documentaire, elle cherche à capter la richesse, la poésie et la vérité de la « mise en scène de la vie ». Elle a toujours filmé des lieux et des gens un peu à part, révélant des choses impalpables et pourtant essentielles telles que : la poésie du temps qui passe au Jardin du Luxembourg ; l’âme du marché de Rungis ; l’humilité des dentellières face à la délicatesse de leur ouvrage ; le cœur et l’esprit d’un enfant qui s’ouvre à la musique...
Zibilla ou la vie zébrée de Martina Svojikova, Marjolaine Perreten, Isabelle Favez
Avec Lily Demuynck-Deydier, Arthur Ponsot, Christian Leonard...
Le saviez-vous ? Isabelle Favez est née en 1974 à Berne. En 1994, elle s’installe à Zürich et étudie au département film et vidéo de la Haute École des arts de Zürich (Zürcher Hochschule der Künste, ZHdK). Son film de fin d’études, Replay (1999), circule dans de nombreux festivals. Elle réalise ensuite plusieurs courts métrages pour enfants notamment Circuit marine en 2003, réalisé au studio Folimage à Valence dans le cadre d’Artistes en Résidence, et Tarte aux pommes (2006), primé dans plusieurs festivals internationaux.
Koko-di Koko-da de Johannes Nyholm
Avec Leif Edlund, Ylva Gallon, Peter Belli...
De quoi ça parle ? Pour surmonter les problèmes que traverse leur couple, Elin et Tobias partent camper au coeur de la forêt suédoise. Mais des fantômes de leur passé resurgissent et, plus que jamais, les mettent à l'épreuve.
Avec Gaston Ouedraogo, Sophie Lebel, Yves Edouard...
Le saviez-vous ? Le réel des rencontres s’impose dans les films de Pierre Creton. Ce sont des rencontres près de chez lui, à Vattetot-sur-Mer. Le sujet du Bel Eté est lié à une actualité politique, mais n’implique aucunement un changement de méthode. Il se construit avec des rencontres et l’arrivée des trois garçons : Amed, Mohamed et Wally, réfugiés de Guinée et du Mali.