C'est ça l'amour de Claire Burger
Avec Bouli Lanners, Justine Lacroix, Sarah Henochsberg...
Le saviez-vous ? Claire Burger a tourné C'est ça l'amour dans la maison de son enfance et a écrit le scénario en pensant à la maison de son père où elle a grandi. La cinéaste se rappelle : "Je pouvais facilement imaginer le découpage, faire évoluer les personnages dans ce décor que je visualisais parfaitement. Comme pour mes précédents films j'ai tenu à tourner dans ma ville natale, Forbach. C'est un territoire singulier que je voulais continuer à explorer. Lors des repérages nous avons cherché des maisons plus spacieuses qui auraient facilité le travail de l'équipe, mais je n’ai pas réussi à me résoudre à tourner ailleurs. Il y avait quelque chose d'émouvant et de réparateur pour moi dans le fait de filmer cet espace lié à mon enfance, d'y faire évoluer les acteurs. Je voulais parler avec le plus de sincérité et d'intimité possible d'une situation qu'on peut considérer comme banale, mais qui est dramatique pour beaucoup de famille au moment où elle survient."
Let’s Dance de Ladislas Chollat
Avec Rayane Bensetti, Alexia Giordano, Guillaume De Tonquédec...
Le saviez-vous ? Le réalisateur a bien sûr (re)vu des films comme Sexy Dance, Shall We Dance, Dirty Dancing ou encore Grease pour la préparation de Let's Dance. Quelques-uns ont tout particulièrement retenu son attention : Billy Elliot, Black Swan, Girl et Rize, un documentaire consacré à la naissance du krumping, une danse dérivée du hip hop.
Avec Tom Mercier, Quentin Dolmaire, Louise Chevillotte...
Le saviez-vous ? Synonymes s'inspire du parcours de son réalisateur lorsqu'il vivait à Paris au début des années 2000 après avoir subitement quitté Israël : "c’est comme si j’avais entendu une voix surgie de nulle part, comme Jeanne D’arc ou Abraham le patriarche – j’ai compris que je devais quitter Israël. Quitter maintenant, tout de suite et pour toujours, m’arracher de ce pays, fuir, me sauver moi-même du destin israélien". Admiratif de Napoléon, Zidane et Godard, il pose donc ses valises en France sans visa ni papiers et avec une connaissance limitée de la langue de Molière. Décidé à couper tout lien avec son pays d'origine, il s'est lancé dans la lecture d'un dictionnaire français tout en enchaînant des petits boulots alimentaires et précaires.
D’Agata - Limite(s) de Franck Landron
De quoi ça parle ? Franck Landron suit le photographe Antoine d’Agata là où il va, jusqu’aux bords du monde, dans une présence discrète, caméra à la main. Ce sont des heures et des heures de rushes qu’il enchaîne, patiemment, sans rien hâter ni bâcler, il veut ce film au plus juste, au plus honnête, il mettra le temps qu’il faudra : cela a duré six ans.