Avec Michael B. Jordan, Sylvester Stallone, Tessa Thompson...
Le saviez-vous ? Sylvester Stallone et Dolph Lundgren se sont entrainés comme des forcenés pour les besoins du tournage de Creed II. Ces derniers ont posté sur les réseaux sociaux des vidéos d'eux se préparant physiquement comme s'ils avaient encore trente ans. Le moins qu'on puisse dire, c'est que ça force le respect, car le premier est âgé de 72 ans et le second de 61 ans. Sur une vidéo postée sur Instagram, on peut voir Stallone faire des tractions avec 45 kg de poids supplémentaires attachés autour de son bassin. De son côté, Dolph Lundgren a publié une vidéo de six minutes le montrant à l'entraînement.
Border de Ali Abbasi
Avec Eva Melander, Eero Milonoff, Jörgen Thorsson...
Le saviez-vous ? Né en Iran, Ali Abbasi a publié plusieurs nouvelles dans son pays avant de s'installer en Suède pour étudier l'architecture. Une fois diplômé, il s'intéresse à la mise en scène et s'inscrit à la National Film School of Denmark. Son premier long-métrage, Shelley, sort en 2016.
Avec Thomas Solivérès, Olivier Gourmet, Mathilde Seigner...
Le saviez-vous ? Edmond a été tourné en République Tchèque et notamment à Prague, où Alexis Michalik et son équipe ont déguisé les rues pour recréer celles du Paris de la fin du XIXème. "Architecture, brasseries, immeubles… Prague était parfaite pour ce que je voulais faire : sortir d’un Paris réaliste pour entrer dans un Paris un peu idéalisé. En cette « Belle Époque », qui est aussi celle du début de l’électricité, Paris avait quelque chose de merveilleux. Je souhaitais rendre compte de sa magie, un peu comme Jean-Pierre Jeunet avait su le faire avec le Montmartre de son Amélie Poulain. Pour cela, on a utilisé pas mal d’effets spéciaux. On a aussi trouvé à Prague le théâtre où nous avons tourné tout ce qui concerne les répétitions et les représentations de Cyrano", se rappelle Michalik.
Les Invisibles de Louis-Julien Petit
Avec Audrey Lamy, Corinne Masiero, Noémie Lvovsky...
Le saviez-vous ? Louis-Julien Petit s'est inspiré du livre de Claire Lajeunie intitulé Sur la route des Invisibles. C'est elle-même qui lui a offert cet ouvrage qu'elle a écrit en complément de son documentaire réalisé en 2014 pour France 5, Femmes invisibles, survivre dans la rue. Immédiatement séduit par le livre qu'il dévore en deux heures, le metteur en scène en parle à sa productrice, Liza Benguigui, qui en acquiert les droits.
Avec Forest Whitaker, Eric Bana, Jeff Gum...
Le saviez-vous ? Vince Vaughn devait à l'origine incarner Piet Blomfeld avant d'être remplacé par Eric Bana.
L'Heure de la sortie de Sébastien Marnier
Avec Laurent Lafitte, Emmanuelle Bercot, Pascal Greggory...
Le saviez-vous ? Sébastien Marnier a voulu situer l’histoire de L'Heure de la sortie en pleine canicule pour prendre le contrepied de l’imagerie glauque habituelle du film de genre : la nuit, le brouillard et les teintes froides. Il raconte : "Je voulais qu’on s’installe dans le film comme dans une étuve, que la sensation de cloisonnement, de chaleur, d’étouffement empoisonne progressivement l’esprit du spectateur. Cela tombait d’ailleurs bien, puisque la météo nous a réellement offert des journées de tournage caniculaires. Surtout dans la salle de classe, où il devait faire plus de 40 degrés. L’objectif était que l’on ressente l’affaissement physique et la lourdeur occasionnés par cette chaleur chronique qui agit comme une camisole, au point de rendre fous ceux qui la subissent."
Avec Lorenzo Ferro, Chino Darín, Daniel Fanego...
Le saviez-vous ? Luis Ortega a toujours été attiré par les histoires criminelles. Beaucoup de personnages de films ont nourri cette fascination. Au départ esthétique, cette attirance a ensuite été dominée par un besoin d'adrénaline. Le metteur en scène confie : "Adolescent, la réalité écrasante de la violence était trop délirante pour moi. Du coup, quand j'ai décidé de raconter l'histoire d'un jeune voleur devenu assassin, je me suis dit qu'il ne fallait pas faire un film féroce, mais empreint de beauté – comme un cadeau au spectateur."
An Elephant Sitting Still de Hu Bo
Avec Yu Zhang, Yuchang Peng, Uvin Wang...
Le saviez-vous ? À propos de son film, le réalisateur déclare : "À notre époque, il est de plus en plus difficile d’avoir foi ne serait-ce que dans la plus infime chose qui soit, et la frustration qui en découle est devenue caractéristique de nos sociétés. Le film transforme des vies engluées dans la routine quotidienne en mythes individuels. À la fin, chacun devra faire le deuil de ce qu’il ou elle estime le plus".
Avec Hans Löw, Elena Radonicich, Michael Wittenborn...
Le saviez-vous ? Malgré son point de départ, In My Room n’est pas un film dystopique, comme le précise son réalisateur : "le désastre et la destruction de l’humanité ne sont pas le sujet principal du film – c’est une histoire 'réaliste' dans un cadre irréaliste, l’histoire d’amour des derniers humains sur terre". Il se défend d'avoir signé un film d'anticipation car il ne s'agit pas de lancer une alerte sur des effets indésirables futurs et leur cause : "Le monde déserté est un concept expérimental qui pose la question de la libération des contraintes sociales et la possibilité d’un nouveau départ".
Les Révoltés de Michel Andrieu, Jacques Kebadian
Le saviez-vous ? Michel Andrieu et Jacques Kebadian expliquent pourquoi ils ont choisi de ne raconter Mai 68 uniquement à partir d’extraits de films et sans commentaires. "Notre idée était de composer un récit sans d’autres mots que ceux que nous avions choisis dans les extraits de nos films de Mai 68 : sept films dont certains sont sortis en salle en 1978 sous le titre Mai 68 par lui-même . On y retrouve également des extraits du film de Jean-Pierre Thorn : Oser lutter, oser vaincre, et de William Klein : Grands soirs et petits matins."
Comme elle vient de Swen de Pauw
Le saviez-vous ? Comme elle vient a été tourné en une nuit dans la cuisine de Georges Federmann, en 16mm. "Les enfants dorment chez les voisins, sa femme est avec nous. Elle écoute. Le temps passe, la fatigue gagne un peu tout le monde, il fait chaud, ça fait plus d’un an que nous travaillons sur le projet. Nous savons que nous n’avons qu’une seule chance, une seule tentative, cette énergie guide le film", se rappelle Swen de Pauw.