Star Wars - Les Derniers Jedi de Rian Johnson
Avec Daisy Ridley, John Boyega, Oscar Isaac...
Le saviez-vous ? Avec 2H30 au compteur, Les Derniers Jedi est le film le plus long de la saga Star Wars devant L'attaque des clones (2H22) et La Revanche des Sith (2H20) !
Le Crime de l'Orient-Express de Kenneth Branagh
Avec Kenneth Branagh, Johnny Depp, Michelle Pfeiffer...
Le saviez-vous ? Ce n'est pas la première fois que le célèbre roman d'Agatha Christie paru en 1934 est porté à l'écran. Il y eut une première adaptation par Sidney Lumet en 1974, un téléfilm en 2001 avec Alfred Molina et Leslie Caron et même une mini-série japonaise, Oriento kyuukou satsujin jiken.
La Deuxième étoile de Lucien Jean-Baptiste
Avec Lucien Jean-Baptiste, Firmine Richard, Anne Consigny...
Le saviez-vous ? Trois petits cochons ont dû être castés pour les besoins du tournage de La Deuxième étoile qui a duré environ deux mois. L'équipe a dû prendre des "bébés" sevrés mais pas trop lourds, pour que Firmine Richard puisse les prendre dans ses bras, et surtout des "bébés" dressés qui soient capables de faire les choses précises comme courir, détaler dans une certaine direction, se laisser câliner, etc. Chaque séquence avec l’un d’entre eux exigeait la présence de trois ou quatre dresseurs.
Mariana (Los Perros) de Marcela Said
Avec Antonia Zegers, Alfredo Castro, Rafael Spregelburd...
Le saviez-vous ? En espagnol, "Perro" signifie "Chien". Le titre du film signifie donc les vrais chiens de Mariana, mais aussi les hommes qui l’entourent, son père, son mari, le policier… Des personnages très macho. Par ailleurs, Los Perros évoque aussi les militaires qui ont été "utilisés comme des chiens" pour faire le sale boulot pendant la dictature. "Il y a également cette expression que la bourgeoisie chilienne employait afin de définir les "gens d’en bas", ceux qui n’étaient pas comme eux : “el perraje”, qui vient du mot perro, chien en espagnol. Et puis pour finir, au Chili, nous avons beaucoup de chiens errants...", termine Marcela Said.
Avec Regina Hall, Queen Latifah, Jada Pinkett Smith...
Le saviez-vous ? C'est la troisième fois que Jada Pinkett Smith et Larenz Tate se donnent la réplique au cinéma. On a déjà pu les voir dans Menace II Society (1993) et The Inkwell (1994).
Drôles de petites bêtes de Arnaud Bouron, Antoon Krings
Avec Kev Adams, Virginie Efira, Emmanuel Curtil...
Le saviez-vous ? Le réalisateur Arnaud Bouron et l'auteur/réalisateur Antoon Krings possèdent un parcours assez proche, puisque tous deux ont fait leurs études à l’ESAG Penninghen, et le premier a illustré plusieurs livres pour enfants de la série Peurs bêtes.
Avec Maria Callas, Fanny Ardant...
Le saviez-vous ? Avant 2013, Tom Volf ne savait pas qui était Maria Callas. Le metteur en scène l'a découverte par hasard, alors qu'il habitait à New-York et venait d'assister à une représentation de Maria Stuarda de Donizetti.
Soleil battant de Clara Laperrousaz, Laura Laperrousaz
Avec Ana Girardot, Clément Roussier, Océane...
Le saviez-vous ? Soleil battant se déroule dans un cadre en apparence idyllique afin de mieux exacerber la chute qui attend la famille. La chaleur et le soleil qui écrasent les personnages les poussent à entretenir un rapport très sensoriel à leurs corps et aux éléments, comme l'expliquent les deux réalisatrices : "La langueur et la joie alternent quand la blessure se rouvre, infuse et vient hanter chacun des personnages. Les symptômes, les tensions et le malaise s’installent jusqu’à ce qu’ils éclatent dans l’ardeur de l’été portugais."
Les Bienheureux de Sofia Djama
Avec Sami Bouajila, Nadia Kaci, Faouzi Bensaïdi...
Le saviez-vous ? Lyna Khoudri a reçu pour Les Bienheureux le Prix de la Meilleure Actrice (Section Orizzonti) à la Mostra de Venise 2017. Sofia Djama explique : "Quand je l’ai vue arriver au casting, ce fut comme une évidence. Feriel, c’était elle ! Voluptueuse, frondeuse. Avec des blessures, elle aussi. Je suis particulièrement heureuse qu’elle ait eu ce prix : elle est jeune, elle porte le film, elle est l’avenir. Je suis déjà en train d’écrire un nouveau film pour elle."
Avec Harry Dean Stanton, David Lynch, Ron Livingston...
Le saviez-vous ? Lucky, qui est le premier long-métrage de John Carroll Lynch, a été écrit spécialement pour Harry Dean Stanton en s'inspirant de sa vie et de sa personnalité. Il s'agit à la fois d'un film quasi biographique et d'"une sorte de lettre d’amour pour l’acteur et pour l’homme" selon le réalisateur. Cela a été possible grâce au co-scénariste Logan Sparks, qui est un vieil ami du comédien.
L'Intrusa de Leonardo Di Costanzo
Avec Raffaella Giordano, Valentina Vannino, Martina Abbate...
Le saviez-vous ? Comme il l'a fait avec L'Intrusa, Leonardo Di Costanzo s'est souvent intéressé aux gens qui vouent leur vie à la médiation sociale, et qui, de par l’endroit où ils vivent, offrent un point de vue privilégié pour raconter un quartier, une ville ou une société dans un contexte historique particulier. Le metteur en scène avait ainsi déjà abordé cette thématique dans Un cas d'école avec un professeur travaillant dans une banlieue délabrée ou "En quête d'état" avec un maire qui veut rétablir l’état de droit dans une ville dominée par le trafic mafieux.
L'Usine de rien de Pedro Pinho
Avec José Smith Vargas, Carla Galvão, Njamy Uolo Sebastião...
Le saviez-vous ? L'usine que l'on voit dans le film a été difficile à trouver. Lorsque Pedro Pinho et son équipe présentaient l’idée et le scénario, leurs interlocuteurs répondaient être prêts à accueillir le tournage d'un film, mais pas sur un sujet abordant la prise de contrôle par les ouvriers de leur usine.
Closet Monster de Stephen Dunn
Avec Connor Jessup, Aaron Abrams, Joanne Kelly...
Le saviez-vous ? Stephen Dunn a trouvé l'idée de Closet Monster dans un événement tragique survenu dans son adolescence : un jeune gay avait été violemment empalé avec une barre de métal dans son voisinage. Ce fait divers a particulièrement marqué Dunn, lui-même homosexuel : "Même si à l’époque je ne réalisais pas que j’étais gay moi-même, j’ai commencé à réprimer ma féminité et refouler une partie de mes sentiments. Jusqu’à mes 18 ans j’étais dans une lutte permanente pour tenter de comprendre qui j’étais."
Pour quelques barres de chocolat de Vanessa Gauthier
Le saviez-vous ? La réalisatrice Vanessa Gauthier explique : "Gilles Deleuze disait que «la maladie est quelque chose qui aiguise le sentiment de la vie ». Alors forcément, lorsqu’on a 7 ans et que l’on sait que la maladie sera « pour toujours », l’existence est à jamais profondément bouleversée." Elle-même souffrant de diabète depuis son plus jeune âge, Gauthier a tenu à enfin donner la parole aux enfants, les grands oubliés de cette maladie chronique. C'est pourquoi ce film est à leur hauteur, donne à voir leur quotidien et "saisit avec humour et émotion l’enfance avec cette petite différence."