Avec Charlize Theron, James McAvoy, Sofia Boutella...
Le saviez-vous ? Charlize Theron a bénéficié de l'aide de 8 coachs personnels afin de se préparer physiquement au rôle de l'espionne Lorraine Broughton. L'actrice s'est également entraîné avec Keanu Reeves, rompu au combat grâce à son travail dans Matrix et la saga John Wick. Par ailleurs, le réalisateur d'Atomic Blonde, David Leitch, est aussi le metteur en scène du premier John Wick. En plus de son entraînement physique, il a fallu que l'actrice travaille avec un orthophoniste pour raffiner son accent anglais ainsi que les différentes langues que son personnage est censé maîtriser, y compris le russe.
Bigfoot Junior de Ben Stassen, Jérémie Degruson
Avec Christopher L. Parson, Lukas Rieger, Cinda Adams...
Le saviez-vous ? Jeremy Degruson et Ben Stassen sont deux grands spécialistes de l'animation en Europe. Les deux hommes ont déjà collaboré par le passé : sur Thrill Ride: The Science of Fun, Rencontre dans la 3e dimension, Fly Me to the Moon, Haunted Castle et Le voyage extraordinaire de Samy qui marque le début de leur collaboration.
Avec Scott Eastwood, Freddie Thorp, Ana de Armas...
Le saviez-vous ? Lorsque le projet en était à ses débuts en 2011, les deux acteurs principaux du film étaient Matthew Goode et Alex Pettyfer, puis Karl Urban et Ben Barnes, qui ont tous les quatre quitté le navire. Finalement, ce sont Scott Eastwood et Freddie Thorp qui ont obtenu les deux rôles.
Summertime de Gabriele Muccino
Avec Matilda Lutz, Brando Pacitto, Joseph Haro...
Le saviez-vous ? Matilda Lutz (Maria dans Summertime) s’est fait connaître sur la scène internationale grâce à Le Cercle - Rings. Elle est devenue très populaire en Italie avec Il Castello di Azzurrina (2012) de Giacomo Franciosa et la série Fuoriclasse de Riccardo Donna où elle donne la réplique à Luciana Litizzetto. Elle a récemment joué le rôle principal dans Mi chiamo Maya de Tommaso Agnese et Lo mi fermo qui de Federico Micali.
Une Femme douce de Sergei Loznitsa
Avec Vasilina Makovtseva, Marina Kleshcheva, Lia Akhedzhakova...
Le saviez-vous ? Sergei Loznitsa développe cette histoire depuis longtemps en ayant commencé à réfléchir au destin d’une femme dont le mari est en prison et à qui elle envoie un colis qui finit par lui revenir. Le cinéaste confie : "Le développement de cette histoire se compte en années, et ce qui est resté de l’idée initiale, c’est le stoïcisme et l’impassibilité du visage de l’héroïne, qui ne sourit pas une seule fois dans le film. C’est extrêmement difficile de rester éternellement impassible."
Avec Woody Harrelson, Laura Dern, Judy Greer...
Le saviez-vous ? Alexander Payne (The Descendants) était envisagé pour réaliser le long-métrage. Il a finalement annoncé qu'il se retirait du projet, cédant sa place à Craig Johnson, tout en figurant toujours parmi les producteurs du film. Derek Cianfrance a également été attaché au projet, avant de le quitter pour réaliser Une vie entre deux océans.
Avec Noah Saavedra, Maresi Riegner, Valerie Pachner...
Le saviez-vous ? Egon Schiele est un artiste-peintre, dessinateur et poète autrichien né le 12 juin 1890 et mort le 31 octobre 1918. Egon Schiele n’avait pas peur de poser derrière un objectif. Il a volontiers servi de modèle aux photographes Anton Josef Trčka et Johannes Fischer. La courte mais intense vie d’Egon Schiele (décédé à seulement 28 ans de la grippe espagnole) a alimenté les mémoires de plusieurs de ses compagnons ainsi qu’une profusion de livres d’art et d’expositions. Par ailleurs, cette vie marquée par l’érotisme, la tragédie et les scandales a également inspiré plusieurs cinéastes. Ils ont voulu mettre en scène cet homme qui, avec Gustav Klimt et Oskar Kokoschka, représente l’un des plus grands artistes que l’Autriche ait connu.
Lumières d'été de Jean-Gabriel Périot
Avec Hiroto Ogi, Akane Tatsukawa, Yuzu Hori...
Le saviez-vous ? Lumières d'été s'ouvre sur une séquence d’interview pour un documentaire. Jean-Gabriel Périot a voulu procéder de la sorte parce qu'il a éprouvé le besoin de commencer le film sur quelque chose de sombre, de pesant et de concret. "C’était important pour moi que l’on ressente une certaine libération une fois la séquence terminée mais aussi que l’effet de cette séquence perdure. Le poids de ce témoignage était nécessaire pour que l’on puisse ressentir le détachement progressif du personnage."