De J.J. Abrams avec Chris Pine, Zachary Quinto, Benedict Cumberbatch
Alors qu’il rentre à sa base, l’équipage de l’Enterprise doit faire face à des forces terroristes implacables au sein même de son organisation. L’ennemi a fait exploser la flotte et tout ce qu’elle représentait, plongeant notre monde dans le chaos… Dans un monde en guerre, le Capitaine Kirk, animé par la vengeance, se lance dans une véritable chasse à l’homme, pour neutraliser celui qui représente à lui seul une arme de destruction massive. Nos héros entrent dans un jeu d’échecs mortel. L’amour sera menacé, des amitiés seront brisées et des sacrifices devront être faits dans la seule famille qu’il reste à Kirk : son équipe.
1. Le dernier rôle de Leonard Nimoy
Star Trek Into Darkness, sorti en 2013, marque la dernière apparition de Leonard Nimoy au cinéma. Le mythique Spock de la première série télévisée est décédé le 27 avril 2015 à l’âge de 83 ans. L’acteur avait accepté de reprendre son rôle dans le reboot de la célèbre franchise pour jouer une version plus âgée du Vulcain. Mais à une condition : qu’un distributeur de café glacé soit mis à sa disposition sur les plateaux de tournage ! L'acteur en raffolait.
2. Un script placé sous haute surveillance
Mystère et buzz sont les maîtres mots de J.J. Abrams, et Star Trek Into Darkness n’a pas dérogé à la règle. Durant la promotion de son film, le réalisateur n’a pas révélé la véritable identité du personnage joué par Benedict Cumberbatch (seulement nommé John Harrison). Le secret était si bien gardé que l’acteur britannique lui-même n’a eu vent de l’information qu’une semaine après avoir signé pour le rôle : un représentant de la Paramount s’est même rendu de Los Angeles à Londres pour lui remettre le scénario en mains propres.
3. Benedict Cumberbatch, la voix du succès
L’acteur anglais vu dans Sherlock a ainsi accepté un rôle dont il ne savait rien. Le choix de casting de Cumberbatch s'est également déroulé de manière atypique ; J.J. Abrams, qui l'a contacté par téléphone, a tout de suite été convaincu en entendant le timbre de voix si particulier de l'acteur. C'est Steven Spielberg lui-même qui a soufflé le nom de Cumberbatch au réalisateur, après l'avoir dirigé dans Cheval de guerre.
4. Les excuses de J.J. Abrams
Si vous regardez Star Trek Into Darkness pour la première fois, attention les yeux ! En plus de plans vertigineux, le film se caractérise par ses nombreux lens flare, une technique dont raffole le réalisateur. Il s’agit plus précisément d’effets de lumière esthétiques particulièrement éblouissants. Quelques mois après la sortie du film, Abrams a avoué en avoir abusé et s’en est même excusé publiquement, dans une interview accordée à Crave Online.
5. De Star Trek à Star Wars
De Star Trek à Star Wars, il n’y a qu’un pas. En 2013, J.J. Abrams prenait les rênes du film le plus attendu de la décennie : Star Wars 7. Un univers cher au réalisateur, qui n’a pas manqué de cacher un easter egg dans Star Trek Into Darkness. Certains fans de la franchise SF ont en effet remarqué un petit R2D2 voler parmi les débris de l’Enterprise.