N°1 : "Il y a deux types de douleur" 

C’est par ce monologue face caméra que commence la série House Of Cards. Frank Underwood décide à ce moment de tuer un chien qui vient de se faire renverser, plutôt que de le sauver. Une entrée en matière surprenante mais qui donne le ton : le politicien "pragmatique" nous prévient qu’il n’a pas peur de se salir les mains. Et il nous le prouve rapidement.

N° 2 "Content de vous revoir"

Sans doute l’un des monologues les plus impressionnants de Kevin Spacey. Ce discours se déroule au début de la saison 2, juste après la mort de Zoe Barnes. Alors face à son miroir, Underwood s’adresse à nous, pour la première fois depuis l’épisode. Avec un ton qui se veut presque menaçant, il nous offre une leçon dont lui seul a le secret : "Il n’y a qu’une seule règle : être le chasseur ou la proie". C’est noté. 

N°3 "Etre bien placé"

Ce petit malin de Frank Underwood a tout compris. Dans ce discours, il nous révèle l’un de ses secrets pour réussir en politique : il faut savoir être bien placé. Et si ce monologue est ingénieux, c’est aussi pour le dernier plan où l'on aperçoit le whip nous faire coucou à la caméra. Sacré Francis. 

N°4 "Les doutes"

Ce monologue qui se déroule à l’épisode 12 de la saison 1 est remarquable parce qu’il diffère des autres. Kevin Spacey ne regarde qu’à la toute fin de sa réplique la caméra qui opère alors un travelling. Cet effet permet d’accentuer la confession et de montrer Underwood sous un autre jour. Le politicien semble à ce moment-là las et désabusé.

N°5 "L’art de convaincre" 

Si la saison 3 de House Of Cards est avare en monologue, celui-ci vaut le coup d’œil. Underwood, alors Président par intérim, se bute au dirigeant russe joué par Lars Mikkelsen. Ce dernier lui refuse son accord pour faire passer un projet. Mais notre politicien véreux préféré a plus d’un tour dans son sac… 

Quels seront les monologues les plus marquants de la saison 4 ? La réponse sur Netflix