De quoi ça parle ?
Dans une Amérique profondément sauvage, Hugh Glass, un trappeur, est attaqué par un ours et grièvement blessé. Abandonné par ses équipiers, il est laissé pour mort. Mais Glass refuse de mourir. Seul, armé de sa volonté et porté par l’amour qu’il voue à sa femme et à leur fils, Glass entreprend un voyage de plus de 300 km dans un environnement hostile, sur la piste de l’homme qui l’a trahi. Sa soif de vengeance va se transformer en une lutte héroïque pour braver tous les obstacles, revenir chez lui et trouver la rédemption.
Ça sort quand ?
Le 24 février 2016
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Les Ecrans de Claire - Jacques FayauLe reste de la réalisation est une réussite, notamment la photographie. Qu’il s’agisse de la gestion des couleurs (avec les teintes sépia à plusieurs reprises) ou de la mise-au-point. Le flou des autres films que l’on remarque au second ou premier plan (selon l’action que l’on souhaite mettre en avant) est absent, favorisant ainsi cette immersion et donnant l’impression d’être avec les personnages, grâce à cette netteté très pure.
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LT Paterson - Julien AssoulineL'ambiance est plantée directement par une scène d'intro d'une rare intensité. Les trappeurs américains sont très vite confrontés aux Indiens de différentes tribus. La mise en scène de Alejandro González Iñárritu est particulièrement brutale. Mais ce n'est pas gratuit, c'est fait dans un esprit d'authenticité. La photographie est magnifique et nous offre des panoramas à couper le souffle ! On ne peut rester que scotcher face à ce mélange de violence et de beauté.
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Julsa - JulSa_Je ne vais pas tourner autour du pot plus longtemps, The Revenant est un véritable chef d’œuvre pour plusieurs raisons. La première vient de sa réalisation maîtrisée à l’extrême, comme si Inarritu avait encore besoin de prouver sa valeur et son talent. Les plans sont justes, équilibrés, parfaits, la lumière, souvent faible et douce renforce la beauté de cet ensemble.
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Ciné-Toile - Delf16The Revenant est un grand moment de cinéma comme on en voit (trop) rarement qui ne vous laissera pas indifférent, je n’aurais que des superlatifs pour résumer le film : magistral, époustouflant, magnifique, incroyable !
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Au Café des Loisirs
Côté mise en scène, le réalisateur de Birdman nous livre une nouvelle prouesse technique. Grâce au matériel utilisé et aux prises de vues, le spectateur se retrouve plongé au cœur de cette histoire. Le fait d’avoir également pris le risque de tourner en décors naturels renforce l’ambiance pesante qui règne.
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Requie Movies - RequiemoviesSi « The Revenant » réussi autant à absorber le spectateur c’est par son intensité, sa véracité et ce réalisme qu’Alejandro González Iñárritu met en place. Un ensemble dans lequel les détails participent à un tout, du réalisme du maquillage, à la précision des costumes et la saleté ambiante, le tout ramène le spectateur aux premières heures de l’époque des pionniers.
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Screen Review - tdeleauThe Revenant offre aux spectateurs des plans dont la beauté frappe tout autant que la cruauté. On est tout bonnement sidéré par la maîtrise du réalisateur Alejandro González Iñárritu ainsi que celle du directeur de la photographie Emmanuel Lubezki*.
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Silence Action
The Revenant marie la beauté spectaculaire d’étendues enneigées à une violence qui dépasse les frontières du possible. Dans un certain sens, Iñárritu exploite à contre-pied la figure du super-héros qui habitait son précédent film : le pouvoir d’Hugh Glass serait de tromper la mort, quelles que soient les souffrances endurées.
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