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    Robert Redford : "j'utilise mon art pour critiquer le système politique"
    Corentin Palanchini
    Passionné par le cinéma hollywoodien des années 10 à 70, il suit avec intérêt l’évolution actuelle de l’industrie du 7e Art, et regarde tout ce qui lui passe devant les yeux : comédie française, polar des années 90, Palme d’or oubliée ou films du moment. Et avec le temps qu’il lui reste, des séries.

    Ce samedi sur la chaîne Sundance Channel seront diffusés deux films présentés cette année au festival de Sundance. L'occasion pour AlloCiné de rencontrer Robert Redford, créateur du festival et de l'interroger sur sa carrière de cinéaste indépendant.

    La chaîne Sundance Channel fait une fois de plus la part belle au cinéma indépendant américain via une soirée thématique ce samedi 26 septembre à partir de 21 heures. L'événement était défendu à Paris par Robert Redford en personne, créateur du festival de Sundance, et cinéaste on ne peut plus indépendant.

    A cette occasion, Redford s'est confié sur les thèmes de son cinéma : la critique de la politique, de la famille américaine, des médias et sur ses engagements personnels et artistiques.

    Les deux films diffusés lors de la soirée Sundance Cannel ce samedi sont :

    => The Strongest Man du réalisateur Kenny Riches (2015)

    Un Cubain se vante d'être l'homme le plus fort du monde. En partant chercher son vélo volé, il va découvrir qu'il a bien plus à perdre qu'à gagner.

    => Christmas, Again de Charles Poekel (2014)

    Un vendeur d'arbres de Noël retourne à New York City en espérant laisser son passé derrière lui. Vivant dans une caravane et travaillant de nuit, il entame une descente aux enfers jusqu'à ce qu'une mystérieuse femme et quelques clients un peu particuliers ne le sauvent de sa spirale d'auto-destructrice.

    Toujours inédit en France, "A Walk in the Woods", la randonnée entre Redford et Nick Nolte :

     

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