3 ans après Alyah, Elie Wajeman revient à Cannes avec son second long métrage, Les Anarchistes, choisi pour faire l'Ouverture de la Semaine de la critique.
Pour ce film en costume, dont l'intrigue se déroule à Paris, à la fin du XiXe siècle, le cinéaste a eu la bonne idée de réunir quelques uns des meilleurs acteurs d'une même génération, parmi lesquels Adèle Exarchopoulos et Tahar Rahim. Un couple de cinéma enthousiasmant, se donnant la réplique pour la première fois. Heureux de partager un même projet ? Nous leur avons posé la question.
Outre cet aspect générationnel, "Les Anarchistes" se présente aussi comme un film d'infiltré à l'atmosphère saisissante. Elie Wajeman revient, à notre micro, sur cette idée très cinématographique d'infiltration...