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    Cannes 2015 : Les Anarchistes, "intense" et "brûlant" selon la presse

    Trois ans après "Alyah", présenté à la Quinzaine des réalisateurs, Elie Wajeman dévoile "Les Anarchistes" en ouverture de la Semaine de la critique. Un second long métrage plutôt bien accueilli par la presse française.

    Mars Distribution

    En bref

    De quoi ça parle ?

    Paris 1899. Le brigadier Jean Albertini, pauvre et orphelin, est choisi pour infiltrer un groupe d’anarchistes. Pour lui, c’est l’occasion de monter en grade. Mais, obligé de composer sans relâche, Jean est de plus en plus divisé. D’un côté, il livre les rapports de police à Gaspard, son supérieur, de l’autre, il développe pour le groupe des sentiments de plus en plus profonds.

    La revue de presse

    •  Olivier de Bruyn / Les Echos : "Aux antipodes de la reconstitution académique, le cinéaste privilégie un intimisme brûlant et met en scène avec une belle intensité les contradictions et désirs incertains de ses jeunes personnages, entraînés par leurs convictions dans des surenchères violentes et incontrôlables." Voir la critique complète 

    • Jacques Morice / Télérama : "Au début impassible, le film gagne en émotion, à mesure que la lutte s'intensifie, que le danger grandit, qu'un certain goût de la fatalité transparaît [...] On ressort de ce film, non pas avec l'envie d'aller foutre le feu à la banque du coin (encore que...), mais plutôt avec celle d'aimer passionnément quelqu'un. A la vie, à la mort !" Voir la critique complète
    • Franck Nouchi / Le Monde : "Un titre qui claque comme une chanson de Léo Ferré, une idée scénaristique formidable [...], un casting étonnant (Tahar Rahim, Adèle Exarchopoulos, Cédric Kahn) : les ingrédients étaient réunis pour faire du deuxième film d’Elie Wajeman une réussite. Las. Programmés en ouverture de la Semaine de la critique, ces Anarchistes ne convainquent pas." Voir la critique complète 

    Les bonnes raisons de voir le film selon la Rédac'

    • Pour ce couple de cinéma qu'on rêvait de voir réuni : Adèle Exarchopoulos et Tahar Rahim. 
    • Après le très réussi Alyah, Elie Wajeman signe un second long métrage élégant et maitrisé
    • Un sujet passionnant et très cinématographique
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