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    "On défie quiconque de ne pas être ému" : noté 3,7 sur 5, c'est le film à voir absolument cette semaine !
    Laurent Schenck
    Laurent Schenck
    -Journaliste rédacteur base de données
    Passionné par les films qui traitent de la criminalité au sens large, Laurent Schenck travaille sur la base de données cinéma du site. Ses missions sont les suivantes : la rédaction de biographies et secrets de tournage, l'enrichissement de castings/fiches techniques et la revue de presse.

    Sorti cette semaine, la comédie "Septembre sans attendre" de Jonás Trueba affiche une moyenne presse de 3,7 sur 5.

    Après avoir été présenté à la Quinzaine des Réalisateurs au dernier festival de Cannes, le nouveau film de Jonas Trueba, Septembre sans attendre, est sorti dans nos salles obscures. Cette comédie décalée autour de la séparation, emmenée par Itsaso Arana et Vito Sanz, a été très bien accueillie par la presse française, puisque sa moyenne est de 3.7 sur 5 (sur AlloCiné, à la date du 30 août 2024).

    De quoi ça parle ?

    Après 14 ans de vie commune, Ale et Alex ont une idée un peu folle : organiser une fête pour célébrer leur séparation. Si cette annonce laisse leurs proches perplexes, le couple semble certain de sa décision. Mais l’est-il vraiment ?

    Septembre sans attendre
    Septembre sans attendre
    Sortie : 28 août 2024 | 1h 54min
    De Jonás Trueba
    Avec Itsaso Arana, Vito Sanz, Andrés Gertrudix
    Presse
    3,7
    Spectateurs
    3,1
    Séances (425)

    Ce qu'en pense la presse :

    Selon Les Inrockuptibles :

    "Jonás Trueba compose une comédie de (peut-être) remariage absolument enchanteresse, aussi retorse que limpide en apparence, agissant comme un courant profond qui vous emporte sans crier gare au large." Par Jacky Goldberg - 5/5

    Selon Cahiers du Cinéma :

    "Ainsi Trueba réussit-il à tresser à même le quotidien un state of the union (film de Capra que Cavell aurait pu inclure dans son corpus) à la fois doublé et réversible : le remariage affleure sous les préparatifs de séparation, mais la joie de ces préparatifs se teinte à son tour d’un sentiment de perte assumé." Par Charlotte Garson - 4/5

    Selon Dernières Nouvelles d'Alsace :

    "Une anti-romance irrésistible." Par Nathalie Chifflet - 4/5

    Selon Libération :

    "Retrouvant ses acteurs fétiches, le cinéaste espagnol signe une comédie douce-amère sur la fin d’un couple qui décide de célébrer sa rupture, jouant de la répétition des dialogues et des situations jusqu’au vertige." Par Sandra Onana - 4/5

    Septembre sans attendre : cette pépite présentée à Cannes met en lumière la nouvelle coqueluche du cinéma espagnol

    Selon Paris Match :

    "Sommes-nous devant la recréation d’un épisode de la vie sentimentale de Jonas Trueba ? Devant une rêverie nostalgique d’un amour défunt mal cicatrisé ? Le film est aussi beau que le chant du kora - le morceau Izao du groupe Les Egarés." Par Yannick Vely - 4/5

    Selon Le Parisien :

    "On ne sait rien du passé d’Ale et Alex et on reste à la surface de cette romance (ou ex-romance ?)… Ces deux artistes qui citent Nietzsche, Kierkegaard et Liv Ullman sont charmants, mais on a l’impression de rester du côté théorique de leur histoire." Par Catherine Balle - 3/5

    Selon Première :

    "Surprenant et mélancolique, Septembre sans attendre clôturera l’été en douceur." Par Lucie Chiquer - 3/5

    Selon L'Obs :

    "D’abord stimulante, la mise en abyme (...) pèche par autosatisfaction et se mord la queue. "C’est intéressant, mais très long et répétitif", va jusqu’à commenter un des amis d’Ale en découvrant le montage de son nouveau film. En considérant ce niveau de lucidité, et au regard du beau générique de fin, on regrette que le vertige ne soit pas au rendez-vous." Par Nicolas Schaller - 3/5

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