Le 28 août, vous avez pu découvrir dans les salles obscures un thriller palpitant avec un jeune confronté au milieu du grand banditisme (La Nuit se traîne), une intelligence artificielle au comportement inquiétant au sein d’une famille (L’IA du mal), ou encore le retour de Pierre Richard sur grand écran (Fêlés), acteur auquel nous avons d’ailleurs consacré notre avant-dernier quiz.
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Et parmi ces nombreuses sorties, un film franco-espagnol plus discret signé Jonás Trueba : Septembre sans attendre, l’histoire d’Ale et Alex qui après 14 ans de vie commune ont une idée un peu folle : organiser une fête pour célébrer leur séparation. Si cette annonce laisse leurs proches perplexes, le couple semble certain de sa décision. Mais l’est-il vraiment ?
Ce titre nous a donné l’envie de vous proposer d’essayer de retrouver dix mois de l’année ayant disparu de leurs affiches. Pensez-vous pouvoir réussir le 10/10 ? Avant de le savoir, voici quelques secrets de tournage sur le film sorti mercredi dernier.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Fidèle troupe
Le duo de comédiens apparaît déjà ensemble dans les deux précédents longs-métrages du réalisateur, Eva en août (qu’Itsaso Arana avait déjà co-scénarisé) et Venez voir. Par ailleurs, c’est la quatrième collaboration du réalisateur avec l’actrice espagnole.
Mise en abyme
Au moment du tournage de Septembre sans attendre, Itsaso Arana venait de réaliser son premier film, Les Filles vont bien, en 2023. Son expérience a donc nourri son personnage de Ale, qui, dans une belle mise en abyme, monte le film que le spectateur est en train de regarder.
En famille
Le rôle du père, d’où arrive l’idée initiale, est interprété par le propre père de Jonas Trueba, Fernando Trueba. C’est un réalisateur espagnol très célèbre, qui a notamment signé Chico & Rita (2010) ou They Shot the piano player (2022).
Septembre sans attendre est à découvrir au cinéma.