Une photo d'Oppenheimer sur le bureau de Dennis Nedry dans Jurassic Park, une double référence à Star Wars sur l'hydravion d'Indiana Jones, un sosie de John McClane dans Pearl Harbor ou encore un emplacement secret sur le bâton de Gandalf dans Le Seigneur des Anneaux...
Depuis de nombreuses années, les longs métrages de la pop culture sont devenus de véritables mines d'or pour tous les amateurs d'easter eggs, ces petits détails plus ou moins bien cachés dans les films à l'attention des spectateurs les plus observateurs.
A 46 minutes et 47 secondes
Initiée en 2001, la très populaire saga Fast & Furious (qui compte aujourd'hui 10 longs métrages) n'est pas en reste question clins d'œil et références. Dans Tokyo Drift, le troisième opus de la saga réalisé par Justin Lin en 2006, on vous conseille par exemple d'appuyer sur "pause" à 46 minutes et 47 secondes du film pour apercevoir un caméo particulier.
La légende du drift
Dans cette scène où Lucas Black s'entraîne à faire des drifts sur le port de Tokyo, observez bien les deux pêcheurs à la ligne qui tournent la tête d'un air dépité après son passage.
Sachez tout d'abord que celui de gauche se nomme Kazutoshi Wakakura et que c'est le producteur de la saga Fast & Furious. Mais c'est à celui de droite que l'on va plus particulièrement s'intéresser.
Car en effet, cet homme tout de bleu vêtu n'est autre que le dénommé Keiichi Tsuchiya, surnommé le "Drift King". Mondialement célèbre pour sa maîtrise exceptionnelle des dérapages contrôlés, il est donc le champion incontesté dans cette discipline qui a donné son nom au troisième opus de la saga, et dans lequel il officie en tant que coordinateur des cascades.
Dans la scène, on peut d'ailleurs l'entendre lancer nonchalamment au protagoniste : "T'appelles ça du drift ?"
Avez-vous remarqué d'autres détails cachés dans Fast & Furious : Tokyo Drift ?
(Re)découvrez notre émission dédiée au film...