Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l’épisode d’Un Si Grand Soleil diffusé demain soir sur France 2 ! Si vous ne voulez rien savoir, ne lisez pas ce qui suit !
Vendredi 15 septembre dans Un Si Grand Soleil...
Virgile tente de sauver Tom des flammes
Manu rend visite à la mère de Yannis, il cherche à savoir où se trouve son fils. Celle-ci ne sait pas où est Yannis, elle avoue qu’il va et vient et ne reste jamais longtemps. La mère de Yannis ne comprend pas pourquoi la police continue de s’intéresser à son fils. Elle explique en effet à Manu qu’un de ses collègues est déjà venu la voir pour récolter des informations. Manu est surpris, il n’a pas de collègue sur l’affaire. Grâce à la description que lui fait la mère de Yannis, il comprend qu’il s’agit de Virgile qui s’est fait passer pour un policier.
À la marina, Alix fait son plan de table et est toute excitée à l’approche du mariage. Elle voit bien que Virgile est ailleurs et lui demande s’il se fait du souci pour Tom. Virgile assure que ce n’est pas le cas et prétend qu’il est simplement fatigué. Il reçoit ensuite un appel de Manu qui souhaite le voir au plus vite.
Manu retrouve Virgile et lui demande pourquoi il enquête sur Yannis. Virgile prétend qu’il n’enquête sur personne et qu’il ne voit pas de quoi son ami lui parle, ce qui a le don d’énerver Manu qui lui fait comprendre qu’il risque gros à se faire passer pour un flic. Il ajoute qu’il ne pourra pas le couvrir longtemps, mais Virgile insiste. Il n’a rien à voir avec toute cette histoire et ne lui demande rien.
Plus tard, Virgile s’entretient avec Emma au sujet de Tom. Ne pouvant pas lui mentir plus longtemps, il finit par lui avouer que Tom a de gros ennuis. Il rassure cependant Emma en lui expliquant qu’il lui a trouvé une planque, qu’il gère la situation et qu’il fera le nécessaire pour que cela ne prenne pas trop de temps. Emma le remercie pour ce qu’il fait pour lui. Virgile demande ensuite à la jeune femme de récupérer des vêtements de Tom chez leur mère et ajoute qu’il viendra les chercher plus tard.
Virgile est pisté par Yannis via le traceur GPS. Virgile se rend à la planque et apporte les vêtements en question à Tom. Virgile dit à Tom qu’il a parlé à sa sœur et lui a dit le minimum pour ne pas l’impliquer. Il lui explique ensuite qu'il est allé chez Yannis et qu’il n'a rien trouvé. Tom comprend donc qu’il va devoir rester caché un peu plus longtemps que prévu et ne cache pas sa déception. Virgile lui demande de tenir le coup et de rester tranquille, même si les journées sont longues.
À la nuit tombée, Virgile quitte la planque. Yannis, qui a suivi le véhicule de Virgile, arrive et tire sur la serrure. Tom l’entend et se cache. Il panique et appelle Virgile sur son portable. Il lui dit que Yannis l’a trouvé et va le tuer. Virgile le rassure, il fait demi-tour immédiatement. Virgile prend ensuite son arme.
Yannis hurle sur Tom et lui demande de sortir. Il asperge le lieu d’essence et met le feu à la planque. Tandis que Tom panique, Virgile entre dans la planque et fait face à Yannis qui tire dans sa direction. Pendant ce temps, Tom étouffe et appelle Virgile à l’aide. Les tirs continuent. Virgile revoit sa fille Léa dans les flammes. Il panique, s’adosse à un mur en larmes. Le souvenir de sa fille le paralyse. Il voit Léa lui toucher le visage et lui dire qu’elle est avec lui. Virgile entend Tom l’appeler.
Enric refuse d'embaucher Carine chez L Cosmétiques
Carine, qui est tendue et stressée, avoue à Maéva qu’elle ne dort pas bien en ce moment et qu’elle ne se sent pas bien dans son travail qui lui fait beaucoup penser à son cousin. Elle a l’impression de le voir partout. Carine rassure cependant sa fille : elle est certaine que ça va finir par passer.
Maéva raconte à Robin et Louis que sa mère ne va pas bien. Robin suggère qu'elle change de travail. D’ailleurs, Louis avait donné le CV de Carine à sa mère mais n’a pas eu de nouvelles depuis. Il décide de la relancer. Maéva le remercie.
Alertée par son fils, Léonor va voir Enric et lui demande s'il a pu jeter un oeil au CV qu'elle lui a fait passer pour le poste de magasinier. Enric lui répond que la candidate ne correspond pas du tout au profil. Pour lui, le travail de magasinier est physique et ne correspond pas à une femme de 40 ans. Il préfère embaucher quelqu’un de plus jeune, avec de l’expérience dans ce domaine.
Léonor insiste et demande à Enric de recevoir Carine en entretien. Elle lui explique que c’est la mère d'une copine de son fils, qui a vécu des choses très difficiles et a vraiment besoin de changer de travail. Enric estime que s'il la fait venir, il la fera déplacer pour rien. Il ne veut pas lui donner de faux espoirs puisqu’il sait très bien qu’il ne l’embauchera pas.
Plus tard, Berthier et Léonor montrent à Élisabeth les bons résultats de L Cosmétiques. Passant outre l’avis d’Enric, Léonor parle de la candidature de Carine à Elisabeth. Lorsqu’elle comprend qu’il s’agit de la mère de famille qui a été expulsée par la foncière, Elisabeth semble rattrapée par sa culpabilité. Elle sourit et avoue que ce serait une bonne idée d’engager Carine et de féminiser le poste. Elle propose même d’en parler à Enric et de bousculer leurs habitudes. Léonor, ravie, la remercie.
Sans attendre, Elisabeth appelle Enric et lui impose le recrutement de Carine. Enric est agacé par la façon dont tout cela s’est fait. Il se confie à Gary qui lui fait remarquer qu’il a certainement encore le béguin pour Léonor et qu’il n’apprécie pas qu’elle soit passée par Elisabeth pour arriver à ses fins.
En parallèle, Berthier confie à Léonor qu’il trouve qu’elle y est allée un peu fort en s’adressant directement à Elisabeth pour le recrutement de Carine. Il craint qu'Enric le prenne mal. Léonor assume sa démarche : Enric n'a pas voulu voir sa candidate par pur sexisme, elle est donc passée par Elisabeth. Elle espère cependant que cela n’entachera pas ses relations avec Enric, car elle l’aime bien. Berthier lui avoue qu'il pensait qu’il allait se passer quelque chose entre Enric et elle lorsqu’elle est arrivée dans l’entreprise. Léonor est surprise, mais finit par répondre qu’elle y a cru elle aussi à l’époque, mais que cela ne s’est pas fait.