Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l'épisode de Demain nous appartient diffusé demain soir sur TF1 ! Si vous ne voulez rien savoir, ne lisez pas ce qui suit !
Vendredi 14 avril dans Demain nous appartient…
JULES PREND MANON EN OTAGE
Au commissariat, Georges informe le commandant Constant qu’un numéro inconnu a appelé Virginie Corkas hier après-midi. Il s’agit d’un appel effectué depuis un téléphone prépayé au niveau du vieux dépôt de bus désaffecté. Les deux policiers comprennent alors que le train pour Perpignan n’était qu’un leurre et que Jules est toujours à Sète.
Pendant ce temps, Myriam souhaite faire un cadeau à Manon afin de la remercier d’avoir pris soin de Nordine. C’est pourquoi, elle décide de l’emmener à Montpellier pour lui offrir une jolie paire de baskets. Au moment où elles s’apprêtent à prendre la voiture, Jules, cagoulé et armé, débarque et pointe son arme sur elles. Il ordonne ensuite à Myriam de monter dans le véhicule mais Manon s’interpose puis prend la place de sa belle-mère. Avant de partir, Jules prévient Myriam que si elle veut revoir Manon vivante, elle va devoir faire ce qu’il lui dit et payer.
De son côté, Aurore est de retour à Sète après avoir suivi une formation. Si la policière est heureuse de retrouver son mari, son bonheur est malheureusement de courte durée puisqu’elle reçoit un appel de Martin qui lui apprend que Manon a été kidnappée.
Non loin de là, Nordine débarque au commissariat et se jette dans les bras de sa mère. Après s’être assuré que tout allait bien, le policier demande à son père de le remettre sur l’enquête pour arrêter Jules une bonne fois pour toute. Le commandant Constant rétorque alors que ce n’est pas possible mais jure de le tenir informé dès qu’il a du nouveau.
A plusieurs kilomètres, Jules et Manon sont sur la route. L’occasion pour le fils Corkas de se confier sur ce qu’il traverse actuellement. Les larmes aux yeux, il parle de la maladie de sa mère mais également de leur situation financière critique. Bien que compréhensive, Manon souligne toutefois qu’il est en train de braquer une amie. En colère, Jules pointe son arme sur sa tête puis la somme de se taire.
En parallèle, Martin et Karim découvrent la voiture de Myriam ainsi que le téléphone de Manon dans une zone industrielle. Convaincu que Jules et Manon ne sont pas bien loin, le commandant Constant ordonne que l’on ratisse la zone.
Chez les Daunier, Myriam reçoit un message de Jules dans lequel il réclame 150 000 euros en cash en échange de la libération de Manon. Face à la pression, Myriam et William décident de s’organiser pour réunir la somme au plus vite mais Martin exclut de céder au chantage. Etant certain que Jules ne fera jamais de mal à Manon, le policier préfère monter une souricière pour le coincer. Pour sa part, Nordine n’est pas d’accord avec son père et lui rappelle qu’il a failli mourir par sa faute. Jules étant suicidaire mais surtout désespéré, Nordine n’entend pas attendre qu’il fasse du mal à Manon.
Dans le même temps, Jules et Manon se sont arrêtés en plein milieu de la nature pour passer la nuit. Lorsque la fille Daunier demande des nouvelles de Virginie, Jules refuse d’abord d’en parler mais finit par raconter que sa vie est devenue un véritable enfer depuis la mort de son père. Selon lui, ils n’en seraient pas là aujourd’hui s’il était encore parmi eux. Même si elle est touchée par son histoire, Manon lui fait cependant remarquer qu’il n’aurait rien pu faire contre la maladie de sa mère. Pour Jules, Virginie ne serait pas tombée malade si elle n’avait pas été seule. En pleurs, il lui fait ensuite part de sa crainte de perdre sa mère.
AUDREY ET DAMIEN VONT SE MARIER
Au petit matin Audrey et Damien rentrent à la maison après une nuit passée à l’hôtel. La mère de famille attend alors que son compagnon file sous la douche pour détruire toutes les poules en chocolat dans l’espoir de retrouver la bague de fiançailles qu’elle avait cachée. En vain.
Plus tard, Jack et Rayane passent du temps chez les Roussel. Après avoir échangé un baiser passionné, Jack propose à son petit-ami de manger une poule en chocolat qu’il a mis de côté pour lui. En croquant dedans, le fils Saeed tombe sur la fameuse bague. Si cela lui fait plaisir de voir Jack aussi investi dans leur histoire, Rayane précise avec humour qu’ils ne sont pas encore majeurs. Jack certifie alors qu’il ne le demande pas en mariage.
Persuadé que la bague appartient à Damien, Jack, Jordan et Lizzie tentent de faire comprendre à leur beau-père que ce n’est pas une bonne idée de redemander Audrey en mariage. Comme il ne comprend pas à quoi ils font allusion, Jack lui montre la bague qu’ils ont retrouvée. Néanmoins, Damien rétorque qu’elle n’est pas à lui. Ils comprennent donc que ce n’est pas lui qui voulait faire sa demande mais Audrey.
Le soir venu, Audrey, qui a récupéré la bague, attend que Damien rentre à la maison pour poser un genou à terre et faire sa demande. Ému, Damien accepte et l’embrasse passionnément. Jack, Lizzie, Léo et Jordan, qui écoutaient à la porte de leur chambre, s’empressent de les rejoindre pour les féliciter. A son tour, Damien sort une bague de fiançailles de sa poche qu’il offre à sa future femme.
BENOÎT PASSE AUX AVEUX
Amel et Lisa regardent avec nostalgie un album de photos de famille lorsqu’un cliché retient particulièrement l’attention de la policière. Sans attendre, elle se rend à l’endroit où elle cache Benoît puis lui montre un cliché de ses parents pris douze ans plus tôt. En arrière-plan, on peut voir le professeur de SVT en train de les épier. Tandis que Benoît lui rappelle qu’ils habitaient dans la même ville, Lisa rétorque que la photo n’a pas été prise à Argenteuil mais dans un parc à plus de 20 km de chez eux.
Cela a beau être une preuve irréfutable de son obsession à l’égard de la famille Hassan, Benoît nie cependant tout en bloc. Certaine qu’il est le monstre d’Argenteuil, la policière déclare qu’il doit payer pour ce qu’il a fait. Elle le pousse alors dans ses retranchements en lui disant qu’il n’a pas agi en tant que justicier et encore moins dans le but protéger des enfants de parents maltraitants.
Elle lui explique également combien elle et sa sœur ont souffert à la mort de leurs parents. Quand elle ajoute que ces derniers s’aimaient et aimaient leurs filles plus que tout, Benoît craque et montre son véritable visage. Il hurle alors à Lisa qu’elle ne comprend rien et qu’elle ne sait pas pourquoi il les a tous tués.
Dans une colère noire, Benoît lance qu’elle se trompe sur ses parents. Comme ils se disputaient constamment, ils allaient finir par les détruire elle et sa sœur. D’après lui, ils étaient comme toutes les personnes qu’il a tuées, c’est à dire toxiques pour leurs enfants. Et autant dire que Benoît n’éprouve aucun regret pour ce qu’il a fait car il voulait leur éviter à tout prix ce qu’il a vécu.
En effet, Benoît a été maltraité par ses parents. En 17 ans, personne ne l’a aidé. Il avoue ensuite s’être débarrassé d’eux pour mettre un terme à son calvaire. Après ça, Benoît a agi à chaque fois qu’il entendait un enfant menacé. Ce fut le cas pour Sara et Roxane qu’il a vues dans un parc en train de se disputer au lieu de s’occuper de leur fille. Pareil pour la fille Delcourt qui a failli mourir faute de soin. Et pour Alma et Benjamin, Benoît estime qu’ils ne méritaient pas d’avoir un enfant puisque la prof d’anglais allait faire un bébé uniquement pour faire plaisir à son compagnon. En réalité, Benoît regrette de ne pas avoir réussi à tuer les autres.
Bien que sous le choc de ces révélations, Lisa dit à Benoît qu’il ne les a pas sauvés mais bien détruits. Au moment où Lisa annonce qu’elle va l’emmener au commissariat pour qu’il répète tout ce qu’il vient de lui dire, Benoît se met à rire et refuse catégoriquement.
Afin de ne pas prendre le risque que Benoît tue à nouveau, Lisa indique que le seul moyen pour lui de sortir d’ici est d’avouer ce qu’il a fait. De son côté, Benoît voit une autre possibilité : que Lisa le tue. Bien évidement la policière n’en a pas l’intention car elle souhaite qu’il rende des comptes à la justice. Cependant, Benoît ne veut pas finir sa vie en prison. Aussi, il ne lui laisse pas le choix : soit il sort d’ici libre et il l’accusera de l’avoir séquestré, soit elle le tue en dissimulant son crime. Tout en parlant, Benoît tire de toutes ses forces sur ses chaînes et parvient à se libérer. Immédiatement, Lisa pointe son arme sur lui et le somme de reculer. En vain. Benoît approche jusqu’à sentir l’arme de Lisa sur son torse puis la pousse à en finir une bonne fois pour toute. Juste après, un coup de feu retentit...
