Quiz Les Affranchis : 7 questions pour tester si vous êtes un caïd ou une balance
mercredi 13 juin 2012 - 05h00
Mad Movies, magazine incontournable du cinéma fantastique et horrifique, fête ses 40 ans cette semaine. L'occasion de célébrer cet anniversaire à travers quatre décennies de films de genres que vous avez plébiscités à travers vos critiques.
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*Classement des films SF/Fantastique/Horreur les mieux notés par les spectateurs arrêté au 11 juin 2012
N°10 - Aliens le retour (1986)
Après 57 ans de dérive dans l'espace, Ellen Ripley est secourue par la corporation Weyland-Yutani. Après la disparition de colons sur la planète LV-426, elle décide d'accompagner une escouade de marines dans leur mission de sauvetage...
La critique de LeRégicide - "Alien devient Aliens, un formidable blockbuster signé James Cameron dont on reconnait bien la patte. Encore une fois, énorme maitrise narrative, c'est long et prenant avec une fluidité sans pareille. L'atmosphère si particulière du premier est renouvelée ici en accord avec la tendance de cette suite beaucoup plus portée sur l'action. Evidemment, on perd ici en finesse par rapport au premier épisode, notamment du côté des personnages, bien typés blockbuster dans leur profil et leurs relations (hormis Ripley). Différent donc, mais toujours une référence."
La bande-annonce originale
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N°9 - E.T. l'extra-terrestre (1982)
E.T., un extraterrestre, débarque en pleine nuit sur Terre et s'aventure vers Los Angeles. Traqué par des militaires, il se réfugie dans un pavillon de banlieue. Elliot, un jeune garçon, le découvre et va tenter de garder sa présence secrète.
La critique de Reymi586 - "Un film éternel et profondément humaniste. Spielberg fait là une véritable ode à la vie. Il réussit aussi à réaliser un film grand public mêlant film pour enfant et science fiction. Il y a plusieurs scènes mythique comme le vélo qui s'envole au dessus de la Lune, la fleur ou la course poursuite finale. Magique. Le jeune Henry Thomas réalise une sacrée performance, tout comme la petite Drew Barrymore. Bref, un grand classique de Spielberg indémodable."
La bande-annonce originale
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N°8 - Blade Runner (1982)
An 2019. Los Angeles, ville décadente, emploie des humanoïdes baptisés "répliquants", dont la durée de vie est très brêve. Révoltés contre ce triste destin, quatre d'entre eux s'enfuient. Ils sont alors traqués par un blade-runner, un policier d'élite.
La critique de JeffPage - "Un chef d'oeuvre de Science Fiction ! La rencontre entre 2001 (pour le questionnement sur l'humanité), Metropolis (pour cette ville tentaculaire) et le film noir (pour cette ambiance) le tout dirigé par Ridley Scott au sommet de son art. Tout dans ce film touche à la merveille : mise en scène, interprétation, scénario,... Un film qu'il FAUT avoir vu pour ne pas passer pour une tache en société."
La bande-annonce originale
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N°7 - Brazil (1985)
Dans un monde sous haute surveillance, Sam, employé fidèle mais peu ambitieux du ministère de l'Information, se refugie dans ses rêves, seule parade autorisée car invérifiable...
La critique de ledpacks - "Une oeuvre d'art, aussi étrange qu’irréelle. Le film impressionne encore plus par son style visuel que par son histoire. Chaque plan, chaque instant renvoie à une référence culturelle, du futurisme rappelant le Metropolis de Fritz Lang à l'oppressante société que décrit George Orwell dans 1984. C'est donc surtout visuellement que ce film est extraordinaire, aussi virtuose que Blade Runner. Il semble être tantôt un rêve, tantôt un cauchemar, tantôt les deux à la fois. Durant la première partie du film, on pourra être un peu dérouté par le manque de fil conducteur et d'évolution du personnage, mais l'univers que nous montre Terry Gilliam est si recherché, stylisé qu'au final on se laisse bercer par les images. C'est un mindfuck incroyablement réussi et hyper maîtrisé où on retrouve toute l'inventivité de l'ex Monty Python. Bien qu'il abandonne l'humour anglais, il garde une certaine ironie sur le monde réel qui donne un coté visionnaire à l'oeuvre.La deuxième moitié est encore meilleure, passant la vitesse supérieure au niveau du scénario, et toujours aussi merveilleux graphiquement. Le tout agrémenté des musiques brésilienne paradisiaques en total décalage avec la vision totalitaire du film, ce qui renforce encore son aspect irréel. Bien qu'un peu spécial, ce film est une pure merveille."
La bande-annonce originale
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N°6 - Terminator 2 : le Jugement Dernier (1991)
En 2029, après leur échec pour éliminer Sarah Connor, les robots de Skynet programment un nouveau Terminator, le T-1000, pour retourner dans le passé et éliminer son fils John Connor, futur leader de la résistance humaine. Ce dernier programme un autre cyborg, le T-800, et l'envoie également en 1995, pour le protéger. Une seule question déterminera le sort de l'humanité : laquelle des deux machines trouvera John la première ?
La critique de Plouz - "Sept ans après l'enorme succès de son "Terminator", James Cameron décide de reprendre les commandes et de lui faire une suite. Sept ans après, les effets spéciaux ont évolué vers des incrustations de plus en olys fines mais sans vraiment révolutionné le genre (éclairs et autre "ustensiles") Sept ans après, James Cameron a entre-temps réalisé deux autres films, tous deux reconnus e au succès indiscutable, et son soucis de la perfection s'est accru. Souhaitant non seulement donner une suite, James Cameron a décidé de faire fort. Si la recette du récit est reconduite et continue d'alterner les scènes d'actions et les scènes plus calmes ponctuées de rebondissements, le film ne représente pas une énième séquelle qui se repose uniquement sur ses acquis. Le réalisateur s'est attaqué à trois éléments qui ont fait de T2 l'une des rares suites à egaler, voire dépasser son prédécesseur. Tout d'abord, au lieu de poursuivre à nouveau Sarah, les robots s'attaquent à leur futur ennemi dans sa jeunesse : John Connor. C'est ainsi l'occasion d'asseoir le contexte et de renforcer la saga. Ensuitr, notoriété oblige, le scénariste à renverser complètement le rôle tenu par Schwarzy, devenu star internationale du film d'action, dans le premier opus. Ainsi au lieu de traquer le sauveur de l'humanite, le robot est programmé pour le protéger. Enfin, et c'est la contribution la plus forte, l'artiste à décide de révolutionner les effets spéciaux en utilisant le numérique non pas pour ajouter des artifices, mais pour en faire un cyborg, multipliant ainsi les prouesses techniques par associations entre numérique et maquillage. T2 se dresse ainsi au rang de film culte, tout comme son prédécesseur., et constitue un chef d'œuvre qui ne laisse jamais poindre la lassitude malgré à chaque visionnages. Petite precisiin : la version Director's cut est savoureuse et apporte un vrai plus au film."
La bande-annonce originale
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N°5 - Retour vers le futur II (1989)
Lors de son premier voyage en 1985, Marty a commis quelques erreurs. L'avenir qu'il s'était tracé n'est pas si rose, et son rejeton est tombé sous la coupe du voyou Griff Tannen, qui veut régner sur la ville. En compagnie de son ami Emmett "Doc" Brown et de sa fiancée Jennifer, Marty va devoir entreprendre un voyage vers le futur, pour tenter de donner un peu plus de moralité à son héritier.
La critique de X-Vibe94 - "Ayant posé les bases et expliqué les différents concepts, dans cet opus Zemeckis se permet de jouer d'avantage avec les aller-retours dans le temps et leur conséquences, les anachronismes, etc... Le scénario est béton et les acteurs toujours aussi bons. Rien n'est perdu, ni l'humour, ni l'atmosphère, ni l'aventure... Et les scènes cultes sont toujours au rendez-vous! Tout est fait intelligence, et les opus sont reliés l'un à l'autre avec subtilité. Bref, une suite toute aussi excellente pour cette saga d'anticipation datant des 80's! Culte."
La bande-annonce originale
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N°4 - Retour vers le futur (1985)
1985. Le jeune Marty McFly mène une existence anonyme auprès de sa petite amie Jennifer, seulement troublée par sa famille en crise et un proviseur qui serait ravi de l'expulser du lycée. Ami de l'excentrique professeur Emmett Brown, il l'accompagne un soir tester sa nouvelle expérience : le voyage dans le temps via une DeLorean modifiée. La démonstration tourne mal : des trafiquants d'armes débarquent et assassinent le scientifique. Marty se réfugie dans la voiture et se retrouve transporté en 1955.
La critique de dinonico - "Retour vers le futur, film culte de Robert Zemeckis qui signe ici sont meilleurs film le plus originale, film produit par Steven Spielberg avec de très bon acteurs. Touts est bon dans ce film, le scénario est très originale, ce qui est la cause de sont succès. Ont ne s’ennuie pas une secondes, l'intrigue fonctionne super bien, les scènes défile, s'enchaîne et ce superpose, aucun temps mort. Le duo Michael J.Fox et Christopher Lloyd fonctionne super bien, deux acteurs talentueux, les décors sont parfait (la reconstitution de la ville en 1955), les effets spéciaux beau pour sont époque, la réalisation parfaite et la bande son énorme. Un film qui a ça dose d'humour qui fonctionne très bien, le film ne vieillit pas et est toujours aussi passionnant, bref un film à voir et à revoir sans exception."
La bande-annonce originale
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N°3 - Le Silence des agneaux (1991)
Un serial-killer connu sous le nom de Buffalo Bill sème la terreur dans le Middle West en kidnappant et en assassinant de jeunes femmes. Clarice Starling, une jeune agent du FBI, est chargée d'interroger l'ex-psychiatre Hannibal Lecter, un psychopathe redoutablement intelligent et porté sur le cannibalisme.
La critique de AlexDelarge - "Un très grand chef d'oeuvre. Le Silence des agneaux est tout d'abord le meilleur de la trilogie des Hannibal Lecter et de très loin. Un film très obscure et profond avec des personnages à la personnalité poussée, riche et sombre. Le "couple" Lecter/Starling est fascinant, leur relation étant très compliquée, passionnée en plusieurs sens et toujours avec une certaine tension entre eux. Le personnage de Lecter est passionnant tant il est intelligent et angoissant; Clarice est également un personnage magnifique avec un lourd passé et Buffalo Bill un personnage bien étoffé, un tueur tout en profondeur, troublé et tourmenté. Les scènes entre Hannibal et Clarice sont toutes aussi prenantes les unes que les autres bien qu'elles soient limitées (ce qui est tout aussi bien car du coup cela leur donne une certaine rareté et une beauté toute spéciale), j'ai aussi adoré les scènes chez Buffalo Bill avec sa victime où l'on découvre toute la profondeur et la tourmente, la démence du tueur. A part cela l'histoire est très bien ficelée, un excellent thriller obscure avec un scénario en béton sans aucune longueur, un vrai régal à chaque minute. le casting est étincelant avec un Anthony Hopkins splendide dans son plus grand rôle et Jodie Foster tout simplement bluffante, ainsi que d'excellents second rôles. Rien à redire sur la musique également excellente, composée par le grand Howard Shore. Bref, le Silence des agneaux est un film d'angoisse autant qu'un thriller vraiment unique, très profond, très compliqué et un mot revient dans ma critique: excellent, et le mot est faible. Du très grand cinéma à voir et revoir."
La bande-annonce originale
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N°2 - Edward aux mains d'argent (1991)
Edward Scissorhands n'est pas un garçon ordinaire. Création d'un inventeur, il a reçu un cœur pour aimer, un cerveau pour comprendre. Mais son concepteur est mort avant d'avoir pu terminer son œuvre et Edward se retrouve avec des lames de métal et des instruments tranchants en guise de doigts.
La critique de HeavySpades - "Tim Burton dit de ce film qu'il est celui qui lui est le plus personnel. Et de fait, ce chef-d'oeuvre est sans doute celui qui représente le mieux son univers à l'esthétique décalée et étrange, poétique et sombre, parfaitement assumée. Ce conte à l'esthétique fantastique est dans la lignée des contes traditionnels mais est sublimé par la touche "Burton" qui en fait une oeuvre d'art culte. L'atmosphère générale est magnifiquement sublimée par la bande originale de Danny Elfman, qui épouse à merveille l'univers "burtonien" pour e magnifer les moindres aspects. La beauté de ce film réside essentellement dans la performance de Johnny Depp qui donne véritablement vie au personnage d'Edward. Plus encore, il lui donne une âme; car plus que les mots (plutôt rare) qu'il prononce, ce sont véritablement ses yeux qui expriment le plus d'émotions ! Et c'est bien là toute la beauté de ce personnage, qui fit qu'on l'aime, réellement. Sans doute l'une des meilleures performances de Johnny Depp !"
La bande-annonce originale
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N°1 - Star Wars : Episode VI - Le Retour du Jedi (1983)
L'Empire galactique est plus puissant que jamais : la construction de la nouvelle arme, l'Etoile de la Mort, menace l'univers tout entier...
La critique de Cylon86 - "Mon épisode favori de toute la trilogie même s'il est beaucoup décrié à cause des Ewoks (alors qu'ils apportent une bonne dose d'humour sans foutre en l'air la gravité de l'histoire). La première partie est excellente nous faisant découvrir un véritable bestiaire chez Jabba le Hutt et la deuxième résout admirablement bien toutes les intrigues tissées depuis le premier opus. Le combat final entre Vador et Luke est un moment d'anthologie et la fin est toujours aussi bouleversante car on voit s'achever la plus grande saga de science-fiction de tous les temps."
La bande-annonce originale
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