Quiz Les Affranchis : 7 questions pour tester si vous êtes un caïd ou une balance
lundi 26 avril 2010 - 00h00
La comtesse Elizabeth Bathory; Vlad Tepes qui a inspiré le personnage de Dracula; Caligula l'empereur romain fou; Gilles de Rais, compagnon d'arme de Jeanne d'Arc assassinant les enfants dans son château...Retour sur quelques uns de ces personnages tordus de l'Histoire au cinéma.Dossier réalisé par Olivier Pallaruelo
3 / 8
Nom : de Montmorency-Laval, plus connu sous le nom de Gilles de Rais.
Prénom : Gilles
Surnom connu : pas de surnom connu, mais il aurait inspiré le personnage de "barbe-bleu", le célèbre tueur de femmes de Charles Perrault.
Date & lieu de naissance : septembre (octobre ?) 1404 à Machecoul ou au château de Champtocé.
Vu à l’écran dans : Gilles Rais n’a été présent au cinéma qu’à trois reprises. Une première fois en 1928 dans la merveilleuse vie de Jeanne d’Arc ; puis dans le film Jeanne d'Arc de Victor Fleming en 1948. Et enfin en 1999, sous les traits de Vincent Cassel, dans le film de Luc Besson. Cassel y campe un personnage non dénué d'humour, loin de l'image de débauché et meurtrier sadique que laissa a posteriori le personnage...
Chef(s) d’inculpation : Gilles de Rais fut d'abord un héros de la guerre de Cent Ans, compagnon d'arme de Jeanne d'Arc. Immensément riche, il dépensait sans compter, au point que, ses ressources ne lui suffisant pas, il chercha d'autres moyens de s'en procurer. Il eut recours à l'alchimie. De prétendus adeptes lui apprirent le secret de fixer les métaux, puis se jeta dans la magie. Un Anglais, nommé messire Jean, et un prêtre Florentin, François Prelati, furent successivement ses maîtres et l'aidèrent dans ses conjurations. On dit qu'il promettait tout au diable, excepté son âme et sa vie.
Aux alentours de 1430, il aurait commencé à immoler des enfants, soit pour mettre plus de raffinement dans ses plaisirs abominables, soit pour employer leurs sangs, leurs cœurs ou quelques autres parties de leurs corps dans ses charmes diaboliques. Dans les souterrains du château de La Suze-sur-Sarthe, lequel lui a appartenu, quelques 49 crânes humains auraient été découverts ultérieurement, et 80 à Machecoul. Pour éliminer les traces de ses forfaits, il faisait précipiter les cadavres dans les fosses d'aisances quand il était en voyage ; mais dans ses châteaux, il les brûlait et en jetait les cendres au vent. À l'époque, l'accusation lui a reproché cent quarante meurtres. Gilles de Rais disposait de ses hommes de main, qui auraient été parfois des anciennes victimes, et auraient servi de rabatteurs. Ils auraient cherché dans un premier temps les enfants livrés à eux-mêmes, sinon ils auraient engagé des enfants à travailler au château, puis, si les parents demandaient des nouvelles, on leur aurait rétorqué souvent que leur enfant indigne s'était enfui.
Sentence : condamné à être pendu puis brûlé pour sorcellerie, sodomie et meurtres d’enfants le 26 octobre 1440. À sa demande, le tribunal lui accorde trois faveurs : le jour de l'exécution, les familles des victimes pourront organiser une procession, il sera exécuté avant ses complices et son corps ne sera pas entièrement brûlé pour être inhumé. Avant d’être trop abîmé par les flammes, son corps est retiré du bûcher pour être enseveli dans l’église du monastère des Carmes, à Nantes. Ce monastère et le monument funéraire dédié à sa mémoire furent dévastés pendant la Révolution Française.
Prénom : Gilles
Surnom connu : pas de surnom connu, mais il aurait inspiré le personnage de "barbe-bleu", le célèbre tueur de femmes de Charles Perrault.
Date & lieu de naissance : septembre (octobre ?) 1404 à Machecoul ou au château de Champtocé.
Vu à l’écran dans : Gilles Rais n’a été présent au cinéma qu’à trois reprises. Une première fois en 1928 dans la merveilleuse vie de Jeanne d’Arc ; puis dans le film Jeanne d'Arc de Victor Fleming en 1948. Et enfin en 1999, sous les traits de Vincent Cassel, dans le film de Luc Besson. Cassel y campe un personnage non dénué d'humour, loin de l'image de débauché et meurtrier sadique que laissa a posteriori le personnage...
Chef(s) d’inculpation : Gilles de Rais fut d'abord un héros de la guerre de Cent Ans, compagnon d'arme de Jeanne d'Arc. Immensément riche, il dépensait sans compter, au point que, ses ressources ne lui suffisant pas, il chercha d'autres moyens de s'en procurer. Il eut recours à l'alchimie. De prétendus adeptes lui apprirent le secret de fixer les métaux, puis se jeta dans la magie. Un Anglais, nommé messire Jean, et un prêtre Florentin, François Prelati, furent successivement ses maîtres et l'aidèrent dans ses conjurations. On dit qu'il promettait tout au diable, excepté son âme et sa vie.
Aux alentours de 1430, il aurait commencé à immoler des enfants, soit pour mettre plus de raffinement dans ses plaisirs abominables, soit pour employer leurs sangs, leurs cœurs ou quelques autres parties de leurs corps dans ses charmes diaboliques. Dans les souterrains du château de La Suze-sur-Sarthe, lequel lui a appartenu, quelques 49 crânes humains auraient été découverts ultérieurement, et 80 à Machecoul. Pour éliminer les traces de ses forfaits, il faisait précipiter les cadavres dans les fosses d'aisances quand il était en voyage ; mais dans ses châteaux, il les brûlait et en jetait les cendres au vent. À l'époque, l'accusation lui a reproché cent quarante meurtres. Gilles de Rais disposait de ses hommes de main, qui auraient été parfois des anciennes victimes, et auraient servi de rabatteurs. Ils auraient cherché dans un premier temps les enfants livrés à eux-mêmes, sinon ils auraient engagé des enfants à travailler au château, puis, si les parents demandaient des nouvelles, on leur aurait rétorqué souvent que leur enfant indigne s'était enfui.
Sentence : condamné à être pendu puis brûlé pour sorcellerie, sodomie et meurtres d’enfants le 26 octobre 1440. À sa demande, le tribunal lui accorde trois faveurs : le jour de l'exécution, les familles des victimes pourront organiser une procession, il sera exécuté avant ses complices et son corps ne sera pas entièrement brûlé pour être inhumé. Avant d’être trop abîmé par les flammes, son corps est retiré du bûcher pour être enseveli dans l’église du monastère des Carmes, à Nantes. Ce monastère et le monument funéraire dédié à sa mémoire furent dévastés pendant la Révolution Française.
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