Quiz Les Affranchis : 7 questions pour tester si vous êtes un caïd ou une balance
lundi 17 décembre 2007 - 05h00
Films mutilés, remontés, version courte, version longue, version censurée, éditions spéciales...La vie d'un film, souvent intimement liée à leurs créateurs, n'est pas de tout repos ! Mais ces derniers disposent parfois de l'arme absolue : le director's cut. Pour peu que l'on accepte de la leur donner... Démonstration. -Dossier réalisé par Olivier Pallaruelo-
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Pour la petite histoire
Western crépusculaire célébrant les valeurs de l'amitié dans un Ouest américain agonisant, La Horde sauvage a fait l'effet d'une bombe lors de sa sortie en 1969. Souvent considéré comme la réponse définitive d'Hollywood au Western Spaghetti, le film de Sam Peckinpah souleva le dégoût de nombreux spectateurs en raison de ses effusions de sang filmées au ralenti, et du massacre final, devenu depuis un morceau légendaire du 7e Art. Un procédé qui cela dit n'était pas en lui même totalement révolutionnaire, puisque déjà expérimenté quinze ans auparavant dans Les Sept samouraïs d'Akira Kurosawa, ou encore, plus proche, dans Bonnie and Clyde d'Arthur Penn et sa terrible séquence finale. La virtuosité technique de Sam Peckinpah a d'ailleurs influencée plusieurs générations de cinéastes (Martin Scorsese, John Woo ou Quentin Tarantino). Ironie de l'Histoire : alors que les censeurs de l'époque se sont régulièrement acharnés sur le sort du cinéaste et que l'on s'élevait contre la (fausse) fascination de la violence dans ses films, la Bibliothèque du Congrès américain a estimé en 1999 que l'importance culturelle du film était telle qu'elle le séléctionna pour figurer au catalogue de la National Film Registry, l'équivalent de la Cinémathèque française.
Quoi de neuf sur la table de montage ?
La version européenne du film, sortie en 1969, propose un montage de 145 min, tandis que la copie américaine fait quant à elle 143 min. Cette version contenait, à la demande du distributeur, une intermission, située juste après la séquence du vol du train. Un second montage destiné au marché américain fait état de 135 min : le film fut en effet raccourci pour le sacro-saint nombre de séances quotidiennes. En 1995, la ressortie du film dans sa version director's cut était de 145 min. Une durée et un montage similaire à la copie d'exploitation européenne, moins l'intermède musical qui de toute façon n'avait jamais été prévu à la base.
Western crépusculaire célébrant les valeurs de l'amitié dans un Ouest américain agonisant, La Horde sauvage a fait l'effet d'une bombe lors de sa sortie en 1969. Souvent considéré comme la réponse définitive d'Hollywood au Western Spaghetti, le film de Sam Peckinpah souleva le dégoût de nombreux spectateurs en raison de ses effusions de sang filmées au ralenti, et du massacre final, devenu depuis un morceau légendaire du 7e Art. Un procédé qui cela dit n'était pas en lui même totalement révolutionnaire, puisque déjà expérimenté quinze ans auparavant dans Les Sept samouraïs d'Akira Kurosawa, ou encore, plus proche, dans Bonnie and Clyde d'Arthur Penn et sa terrible séquence finale. La virtuosité technique de Sam Peckinpah a d'ailleurs influencée plusieurs générations de cinéastes (Martin Scorsese, John Woo ou Quentin Tarantino). Ironie de l'Histoire : alors que les censeurs de l'époque se sont régulièrement acharnés sur le sort du cinéaste et que l'on s'élevait contre la (fausse) fascination de la violence dans ses films, la Bibliothèque du Congrès américain a estimé en 1999 que l'importance culturelle du film était telle qu'elle le séléctionna pour figurer au catalogue de la National Film Registry, l'équivalent de la Cinémathèque française.
Quoi de neuf sur la table de montage ?
La version européenne du film, sortie en 1969, propose un montage de 145 min, tandis que la copie américaine fait quant à elle 143 min. Cette version contenait, à la demande du distributeur, une intermission, située juste après la séquence du vol du train. Un second montage destiné au marché américain fait état de 135 min : le film fut en effet raccourci pour le sacro-saint nombre de séances quotidiennes. En 1995, la ressortie du film dans sa version director's cut était de 145 min. Une durée et un montage similaire à la copie d'exploitation européenne, moins l'intermède musical qui de toute façon n'avait jamais été prévu à la base.
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