Quiz Les Affranchis : 7 questions pour tester si vous êtes un caïd ou une balance
lundi 17 décembre 2007 - 05h00
Films mutilés, remontés, version courte, version longue, version censurée, éditions spéciales...La vie d'un film, souvent intimement liée à leurs créateurs, n'est pas de tout repos ! Mais ces derniers disposent parfois de l'arme absolue : le director's cut. Pour peu que l'on accepte de la leur donner... Démonstration. -Dossier réalisé par Olivier Pallaruelo-
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Pour la petite histoire
Camarades de promotion à l'Université de New York, Matthew Robbins (futur scénariste de Sugarland express) et Walter Murch signent en 1966 le premier jet de ce qui doit être leur film de fin d'étude, THX 1138: 4EB; "EB" signifiant "Earth Born". Le jugeant trop obscure, ils abandonnent leur projet à George Lucas, qui reprend le script et réalise en 1967 THX 1138: 4EB (Electronic Labyrinth). Il obtient le Premier prix au festival du film de fin d'année. Impressionné par son travail sur le son, sa vision novatrice et sa capacité à raconter en 15 min une histoire dépourvue de dialogue, Francis Ford Coppola propose alors à George Lucas d'en faire un long métrage. Réécrit à l'aide de Walter Murch, le scénario est achevé en 1970.
Quoi de neuf sur la table de montage ?
Mécontente face au résultat final de l'oeuvre, la Warner demande que le film soit retiré à George Lucas. En 1971; le film sort avec un montage non approuvé par son auteur. Ce dernier est alors obligé de se tourner vers des films nettement plus commerciaux, à l'instar d'American graffiti. En 1977, Star wars fait un triomphe au box-office et marque un tournant dans l'histoire du 7e Art: c'est en effet le premier film à franchir la barre des 100 millions de dollars de recettes. Le film pose aussi la première pierre de l'empire financier et artistique que va bâtir George Lucas, désormais souverain dans ses choix. Près de trente ans plus tard, après la première trilogie Star wars, ressortie en salle agrémentée de nouvelles scènes et retouchée numériquement, c'est au tour de THX 1138 de bénéficier d'une director's cut. Le cinéaste confie à sa société d'effets spéciaux ILM l'ajout de nouveaux plans numériques : une chaîne d'assemblage de robots, un plan de métro souterrain, des monstres aux abords de la surface.
Camarades de promotion à l'Université de New York, Matthew Robbins (futur scénariste de Sugarland express) et Walter Murch signent en 1966 le premier jet de ce qui doit être leur film de fin d'étude, THX 1138: 4EB; "EB" signifiant "Earth Born". Le jugeant trop obscure, ils abandonnent leur projet à George Lucas, qui reprend le script et réalise en 1967 THX 1138: 4EB (Electronic Labyrinth). Il obtient le Premier prix au festival du film de fin d'année. Impressionné par son travail sur le son, sa vision novatrice et sa capacité à raconter en 15 min une histoire dépourvue de dialogue, Francis Ford Coppola propose alors à George Lucas d'en faire un long métrage. Réécrit à l'aide de Walter Murch, le scénario est achevé en 1970.
Quoi de neuf sur la table de montage ?
Mécontente face au résultat final de l'oeuvre, la Warner demande que le film soit retiré à George Lucas. En 1971; le film sort avec un montage non approuvé par son auteur. Ce dernier est alors obligé de se tourner vers des films nettement plus commerciaux, à l'instar d'American graffiti. En 1977, Star wars fait un triomphe au box-office et marque un tournant dans l'histoire du 7e Art: c'est en effet le premier film à franchir la barre des 100 millions de dollars de recettes. Le film pose aussi la première pierre de l'empire financier et artistique que va bâtir George Lucas, désormais souverain dans ses choix. Près de trente ans plus tard, après la première trilogie Star wars, ressortie en salle agrémentée de nouvelles scènes et retouchée numériquement, c'est au tour de THX 1138 de bénéficier d'une director's cut. Le cinéaste confie à sa société d'effets spéciaux ILM l'ajout de nouveaux plans numériques : une chaîne d'assemblage de robots, un plan de métro souterrain, des monstres aux abords de la surface.
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