De toute ses saisons, celle-ci est belle et bien la plus difficile. J'ai eu, pour le dire franchement, un certain mal à la finir ... Enfin, disons que j'ai pris ses 5 premiers en un seul et même jet avant de poireauter quelques semaines, puis d'enchainer ces 5 derniers. De tout ses coups, de ses annonces, entre fulgurance et perte assumée, je ne retiendrai que sa première qui donne le ton, nous met au parfum de suite, car oui bien sur, cette inauguration de saison reste celle qui sonne la fin de l'innocence et le début de tout le reste ...
Cette saison 6 est pour tout cela ardu, quasi insoutenable parfois tant la souffrance est sublime, elle est sans doutes la plus belle de par la même occasion. La frustration de cette fin sans fin, de la vie qui continue, sans nous, va perduré dans les mémoires !
Hannah, Jessa, Shosh, Adam, Ray, Marnie, ainsi que touts les autres trouvent une place dans le monde qu'ils et elles dessinent, dans une norme à eux.
Merci et encore bravo Lena Dunham pour la folie de cet apprentissage !