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Walter Puyet
3 critiques
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Critique de la série
5,0
Publiée le 6 avril 2024
Franchement,je comprends pas les critiques négatives. .. Oui il y a des épisodes longs mais pour avoir vu pour l'instant 9 saisons sur série club, beaucoup sont dynamiques et l'histoire change un peu.
Le plus intéressant est de suivre les 2 frères et leur parcours.
Certains épisodes sont écrits sur le même modèle où on fini sur le père Reagan incarné par l'excellent Tom Selleck qui a toujours une bonne morale.
Il est dommage que les deux fils de Dany et la fille d' Erin ne soient pas plus développés dans leurs histoires hormis un problème d'alcool de l'un et de fréquentation pour Nikki. La romance pour Jamie et Eddy relance bien le côté famille avec un couple suite à la mort de Linda..
Une série qui reprend des thèmes de la société générale et de la société américaine .
Bref une série bien, à juger sur son ensemble et pas que que quelques épisodes.
Si vous aimez les séries policières, que vous n'en voulez pas aux américains pour toutes sortes de raisons, que vous ne pensez pas que les familles unies c'est ringuard et que la moustache légendaire de Tom Selleck ne vous rebute pas, vous aimerez certainement cette série qui a de bons scénaristes et de bons acteurs.
J’adore cette série avec Tom Selleck notre ancien Magnum Tous les personnages sont attachants cette famille de policiers tous différents et en même temps gardant une même ligne de conduite
Une grosse anarque signée CBS (une de plus). La série est loin d'être originale, les enquêtes sont plates et les épisodes plutôt lents. Les personnages sont des clichés, la série se donne la prétention de faire réfléchir le spectateur sur des problèmes de la société actuelle, mais les idées développées sont loin d'être approfondies. La série connaît un succès outre-atlantique car elle repose sur 3 des grands principes US, à savoir : le patriotisme, la famille et la religion. Un trader dans la famille et ils auraient fait le grand chelem! Une série pro-américaine donc, mais elle peut se vanter d'avoir un excellent casting, malheureusement insuffisant pour combler son manque de qualité.
Le problème, avec les saisons à répétitions d’un procedural, c’est de faire évoluer ses personnages sans trop changer l’essence de la série, sous peine de perdre l’intérêt du spectateur présent depuis le départ.
Dans cette 3e saison, deux gros changements sont à signaler : l’excellente Jennifer Esposito quitte la série dû à des problèmes de santé et laisse donc Donnie Wahlberg sans partenaire fixe (les intérimaires sont plutôt sympathiques et toutes remplissent bien ce rôle, sans pour autant arriver au niveau de Jackie Curatola) tandis que Nicholas Turturro apparaît de moins en moins souvent, pour laisser Sebastian Sozzi être le nouveau coéquipier de Will Estes. Ces changements sont habiles, témoignent d’une véritable envie de sortir de la zone de confort des spectateurs, histoire de remuer un peu les choses. Certains épisodes de cette saison sont encore bien originaux comme l’excellent 3x13 ou le diptyque qui clôt la saison de bien belle manière, tandis que les interactions de la famille Reagan sont toujours aussi savoureuses. Néanmoins, on commence quand même à sentir une certaine redite à travers les épisodes et il va falloir trouver quelque chose pour y remédier.
Blue Bloods est toujours une excellente série, mais comme tout Procedural Drama, ça se répète et il est très dur de trouver une idée originale pour chambouler un peu tout ceci. A suivre…
Assez réaliste. Bons dialogues. Très bon casting, avec Tom Selleck qui a rangé ses chemises à fleurs et Donnie Walhberg.
Mais histoires assez plates, scénarios convenus et la cerise sur le gâteau, on est là en présence d'un ovni républicain de premier ordre. Je n'ai vu que 3 épisodes, et je ne sais pas dans quelle mesure la série se veut être de la propagande, mais tous les couleurs du conservatisme made in America sont fièrement hissés. Rien ne manque.
Une sorte de "Petite maison dans la praire" où Charlie Ingals aurait un calibre 45 et où il irait botter les fesses à tous les bad guys de la région. Bien sûr, on n'échappe pas aux bénédicités des repas de famille, réguliers comme les banquets dans un album d'Astérix, la messe, les eulogies larmoyantes à l'égard des héros de l'antiterrorisme, et j'en oublie. Bref, ça vous crispera ou ça vous fera marrer.
Très bonne série avec un Tom Selleck excellent. On suit la famille du chef de la police dont les enfants sont policier, inspecteur et procureur. On découvre donc les affaires sous les différents angles et même un angle familial, les repas dominicaux étant généralement sujets à débats. Les acteurs sont tous très bons et même attachants, oui, on en vient à aimer cette famille toute entière. Les intrigues sont vraiment intéressantes, les épisodes bien réalisés. Je recommande.
« Blue Bloods » (série) : Chez les Reagan, la « loi » est une question de famille ! Flics de pères en fils essayant de faire régner l’Ordre et la Justice à New York… Du simple agent faisant ses armes au commissaire général de New-York, cette série nous entraîne au sein d’une famille de « sang bleu ». « JOIN N.Y.P.D. » vague impression d’une vaste campagne de recrutement vantant les mérites de la police américaine (la meilleure du monde n’oublions pas, dis-je avec un ricanement. Passons les intrigues policières qui n’ont pour intérêt que de combler l’insuffisance scénaristique du commun familial en y ajoutant un soupçon tragique quand l’un des fils se fait tuer par une société secrète baptisée « The Blue Templar » comprenez les « templiers » regroupant des flics pourris. La série va voguer au gré de ce fil conducteur tantôt intéressant, tantôt emmerdant joignant les bouts par des twists pas forcément cohérents et ficelant le scénario sur la naïveté du plus jeune de la famille et donc jeune recrue dans la police emporté malgré lui (ou pas) dans l’enquête des « Blue Templar » et l’assassinat de son frère… Service minimum garantie, pas d’extase malgré un Tom Selleck en tête d’affiche et le frangin Wahlberg en inspecteur limite « hors la loi » qui soulèvera alors quelques délicieuses et simplistes disputes au sein de cette famille philosophant même sur l’intégrité de l’ordre et de la justice. Parfois intéressant mais souvent ennuyeux, « Blue Bloods » ne convainc pas …
Mais c'est quoi cette série ! Une véritable incitation à l'état policier. Police, famille et religion sont les maitres mots de cette série ancrée dans la culture puritaine et conservatrice américaine. Les enquêtes peu originales sont entre coupées de diner dominical où la famille Reagan se plait a disserter sur la société, la religion, la police. D'ailleurs rien que le nom de cette famille fait un rappel à l'un des présidents les plus virulents et les plus violents qu'ont connu les Etats Unis. Bref rien à sauver dans cette série
Du classique mais la curiosité du début se transforme progressivement en banalité. Il va falloir très vite un rebondissement surprenant ! Rien, Nada, que dale, la première saison se termine avec un sentiment de vide. Il y a du potentiel mais il faut changer les scénaristes, les repas familiaux du dimanche ça fini pas lasser, trop de bon sentiment, pas assez de punch.
Ce qui faisait la force de la première saison de Blue Bloods, c’était la relation familiale et professionnelle des Reagan, famille d’officiers de la loi, qui s’arrangeait pour se voir tous les dimanches autour d’un repas.
Non seulement les repas de familles continuent à avoir leur importance dans la dramaturgie de la série dans cette deuxième saison, mais ils parviennent aussi à être novateur malgré les 22 nouveaux épisodes que cette saison apporte. Chaque enquête parvient à être passionnante, sans réellement sortir du lot (malheureusement) et on ressortira particulièrement le 2x21, qui met en scène un Fight Club inspiré du film du même nom (et peut-être même du livre, en fait). Les acteurs sont toujours aussi performants, le duo Donnie Wahlberg – Jennifer Esposito fait un malheur, Will Estes gagne quelques moments de bravoure dans la saison, comme son enquête undercover et sa bagarre avec son frère dans les locaux de la police, qui résonne fort tant les liens familiaux sont importants dans la série. On regrettera alors que le rôle de Tom Selleck s’en tienne à des joutes verbales avec son collègue joué par Gregory Jbara et avec le maire, joué par l’impeccable David Ramsey.
Blue Bloods reste une très bonne série, grâce à des acteurs de talent et des scénarios qui leur donnent des beaux rôles. La série pourra-t-elle survivre au départ de Jennifer Esposito ? Rien n’est moins sûr.