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Magnifique série, indémodable. On ne se lasse pas pas de voir le charismatique Robert Conrad à la tête de sa "bande de voyou"... Une belle intensité dramatique, des situations coquasses, l'histoire d'une belle bande de copains inspirée de la vie d'un homme d’exception, parfois présent au casting de certains épisodes....
On retrouve Robert Conrad, le James West des Mystères de l'ouest dans cette série des années 70 où il est question d'aviateurs américains dans le Pacifique pendant la seconde guerre mondiale. Moyennement militariste une série plutôt humoristique dans un contexte difficile.
« Les Têtes Brûlées » se distingue comme une série de guerre notable, centrée sur une escadrille de l'armée américaine durant la Seconde Guerre mondiale. Les personnages sont bien développés, chacun ayant une personnalité distincte qui contribue à l'attachement du spectateur. Un aspect marquant de la série est son traitement équilibré de la guerre. Elle présente les combats et les moments de tension avec une touche d'humour noir, sans esquiver les côtés sombres et tragiques du conflit. Bien que la série utilise fréquemment des images d'archives pour les scènes de combat aérien, ce qui peut parfois sembler répétitif, cela ne diminue pas l'impact général des épisodes. En dépit de certains éléments datés, comme les décors et les tenues, qui reflètent son époque de production dans les années 70, « Les Têtes Brûlées » reste une série marquante de mon adolescence dans le genre des séries de guerre et avec un de mes acteurs fétiches : Robert Conrad. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Pendant la deuxième guerre mondiale, le commandant des Marines Greg "Pappy" Boyington, était à la tête d'une escadrille de pilotes de chasse. Celle-ci était composée de marginaux et aventuriers qui devinrent les terreurs du Pacifique Sud.
Les combats d'avions contre les japonais toujours épique. C'était beau
Les combats d'avions contre les japonais toujours épique. C'était beau
J'avais entendu parler de cette série bien entendu mais je ne l'avais pas regardée à l'époque de sa sortie, alors il y a environ un peu plus de 2 mois, je suis tombée par hasard sur un épisode diffusé par Paris Première, et là, coup de foudre direct.
Je suis devenue une inconditionnelle de la série, d'une part parce que le beau regard électrique de Robert Conrad constitue un atout majeur de la série, mais d'autre part parce que je trouve qu'il joue bien, il n'en fait par trop, il est dans le ton.
Les épisodes sont captivants, les échanges entre acteurs sont percutants, et notamment, je garde en tête l'épisode "le fruit défendu" concernant l'arrivée du dernier "tête brûlée", le dénommé Jeb et notamment le final de cet épisode où les propos tenus par Pappy Boyington sont émouvants et d'une teneur forte en émotion.
Même si je déplore le peu de réalisme des tenues et brushings des infirmières qui semblent totalement inadaptés, je reste néanmoins addicte à la série. Depuis, je regarde, je re-regarde, je re-rre-regarde sans m'en lasser.
Je suis devenue une inconditionnelle de la série, d'une part parce que le beau regard électrique de Robert Conrad constitue un atout majeur de la série, mais d'autre part parce que je trouve qu'il joue bien, il n'en fait par trop, il est dans le ton.
Les épisodes sont captivants, les échanges entre acteurs sont percutants, et notamment, je garde en tête l'épisode "le fruit défendu" concernant l'arrivée du dernier "tête brûlée", le dénommé Jeb et notamment le final de cet épisode où les propos tenus par Pappy Boyington sont émouvants et d'une teneur forte en émotion.
Même si je déplore le peu de réalisme des tenues et brushings des infirmières qui semblent totalement inadaptés, je reste néanmoins addicte à la série. Depuis, je regarde, je re-regarde, je re-rre-regarde sans m'en lasser.