Avis Weeds

Weeds est une série qui traînait dans les cartons depuis un bout de temps sans que je m'y colle vraiment, c'est chose faite. Cette première saison prend son temps, se développe à mesure et installe un climat. Les personnages sont vraiment sympathiques, un tantinet hyperactif mais plutôt cool. Je sens qu'ils et elles vont monté en puissance à l'avenir ... Le format est aussi excellent, l'histoire fille et fait contre coup avec lorsque le tempo se ralentit, en fin d'épisode notamment ... Certaines de ses fins sont justes somptueuses. J'entre dans le délire doucement, j'ai hâte de poursuivre !

Il m'est difficile d'écrire une critique concernant cette cinquième saison ! Paradoxalement elle est surement la plus addictive de part sa composition mais aussi sa plus fouillis. J'entends par là que la série d'un point de vue scénaristique se repose un peu sur ses lauriers, du moins sur la question de l'évolution de l'histoire qui stagne un tantinet. La jurisprudence Breaking Bad m'est revenu de suite et à facilité " ma patience ". Concernant les interactions entre personnages nous sommes en revanches servis, Nancy poursuit sur sa lancée, elle oscille toujours entre sa tristesse et ses coups de têtes incessants. Shane suit ses traces dans cette nouvelle saison. spoiler: Sa transformation se fait par échelon, on ressent sa colère et sa mouvance toutefois son geste final surprend tant il est inconsidéré !
Andy aussi poursuis dans son malheur, celui d'aimé la " mauvaise personne ". Les distances qu'il s'impose ne durent d'ailleurs jamais bien longtemps, cette cinquième saison appuie d'ailleurs sur ce point de manière significative. Silas est lui plus en retrait dans ce nouvelle axe, il prend part au délire de Doug et reste néanmoins présent pour les autres, son frère notamment. Les autres continuent le chemin tracé qui est le leurs, en marge des Botwin, la réussite est inégal ... Les pitreries de Doug, Celia, Dean, Isabelle se répètent un peu. Cette série me touche toujours autant, son format me séduis aussi, j’enchaîne d'ailleurs trop vite les saisons ! Je vais patienté un peu avant de sifflé la sixième malgré mon attrait pour la suite!

En mon for intérieur je désirais plus que tout que la suite de Weeds maintiennent le cap ... Autant dire que je ne suis pas déçu du résultat ! Entre continuité et basculement cette troisième saison part dans tout les sens et parvient à tenir la cadence avec brio et plus encore pousse le cursus à son level maximum. Les interprètes excellent, ils se développent, grandissent, morflent ... On est avec eux quoiqu'il advienne.

La saison précédente était celle de tout les changements, la fin de celle-ci aurait d'ailleurs pu faire office de conclusion tant elle était forte en émotion. Cette suite est en revanche son opposé, on recommence tout, on synthétise, pourtant la machine s'enraye bien vite ... Tout cela est évidemment voulu, sa créatrice Jenji Kohan orchestre la déconvenue avec une certaine continuité dans le récit. Le cheminement de Nancy est au cœur de l'intrigue depuis le départ, plusieurs allusions sont faites dans se sens. La Bis Repetita de son personnage central est perçu ici comme une rechute, sa rencontre ou plutôt sa sortie du centre de réinsertion et sa discussion final avec sa gardienne symbolise cette déconvenue. Qu'elle le veuille ou non elle entraîne dans sa chute ceux qu'elle aime. Silas son fils aîné le lui rend bien dans ces treize épisodes, sa confrontation plus que frontal avec sa mère est la clée de ce nouvelle axe. Celui qui pendant longtemps à été mis de coté se rebiffe et est clairement remonté contre sa génitrice au point de lui faire une crasse des plus terrible ... Andy aussi s'en prend plein la tête. Si il encaissait jusqu'ici il sombre complètement dorénavant ! Lui le trublion des début est peut être aujourd'hui celui qui souffre le plus du tournent opéré. Il est déchirant sur touts les points. Il trouve toutefois au travers de sa personnalité et de son exubérance à se relever, enfin il essaye toujours ... Son comparse Doug lui se refait la cerise dans cette saison 7, il est à proprement parler génial lors de son audition avec " le fisc ". Toujours aussi déroutant et peu avare en surprise. Shane est lui dans une tout autre bascule, son équilibre est une nouvelle fois remis en question. Il évolue un peu en parallèle avec la famille, son avancée et sa nouvelle orientation son néanmoins intimement lié. Weeds est toujours une série qui va la on l'attend d'une certaine manière mais elle trouve toutefois toujours ressources pour envoyé une dose de surprise et d'inattendu. Frustration et joie se confonde, se conjugue presque et fond de cette série un petit objet détraqué mais tellement attachant que l'on zappe très vite ses désagréments. Plus elle avance et plus je vois le formidable laboratoire qu'elle à pu être pour Orange is the new Black, autre création signée Kohan. Encore une petite salve et un difficile au-revoir se dessine ...

J'ai débuté cette série il y'a maintenant un an. Je n'en suis pas tombé sous le charme de manière instantané je l'avoue bien volontiers, en revanche sont délire m'a tout de suite été fort sympathique. C'est le temps qui m'a conduit à tant l’estimé. Les talents de sa créatrice et de sa formidable équipe aussi, sa narration qu'elle soit bien ancré ou au contraire renversé m'a convaincu au moment ou j'ai fini par pigé le truc. Orange Is the Nnew Black série produite par Jenji Kohan m'a aussi été précieuse et je ne regrette pas de l'avoir vu dans cette ordre. Rien n'est parfait dans ce petit monde, tout ou presque vire de travers, l'éloge qui en est pondu est d'autant plus salvateur. Ces somptueux personnages dessinent à ravir cette exemple. Nancy en haut de la liste. Rarement un personnage féminin n'a pu prendre autant d'ampleur au travers d'une série. Son histoire est tour à tour remplit d’embûche et d'obstacles en touts genres ... Ses décisions sont pour autant tout le temps les mêmes, On y va ! Son évolution est sublime, elle entraîne de par ailleurs son entourage dans ces folies. Ses fils, son beau-frère, ses amis, tous rivalisent dans la dureté et dans l'impensable et brillent de part leurs personnalités toujours contrastés. Weeds m'a apporté de la réflexion, une immense joie et à accompagné mon année de la plus belle des façons. Je la quitte avec le sourire, avec ses qualités et ses défauts, ces derniers surtout. Un dernier Merci et à la prochaine !

La première saison de Weeds m'avais fais bonne impression, l'ensemble était plutôt cool et partait dans un sacrée délire. Je me suis donc tourné vers cette suite en espérant une continuations dans se sens ... Ce fut le cas ! Si le début est prometteur la suite est fabuleuse. Le rythme et l'histoire ont pleinement décollé. Les personnages ont aussi une disposition qui va dans cette direction, ils sont excellents, tous ! J'ai adoré cette seconde saison de Weeds. Pourvu que la troisième garde le cap.

On est avec eux quoi qu'il advienne ! C'est avec ces mots que j'avais conclu ma précédente critique de Weeds ... Je me dois après avoir sifflé la quatrième saison de démarrer comme tel ! La continuité est ici bousculé, présente mais revu et corrigé. Les changements opères, ils sont parfois radicaux. Les épisodes alternent à merveille les petits tracas du quotidien et les intrigues plus codifiés. On se croirait dans Les Sopranos ( rires ) ! J'aime beaucoup les personnages et l'avancé de leurs histoires. Ils deviennent avec le temps encore plus complexes. Nancy ( Mary-Louise Parker ) prend dans cette saison quatre un virage bien difficile a gérer mais se révèle encore plus fascinante et m'a bouleversé dans ce dernier épisode ... Vite, La suite !

Cette suite de Weeds est l'anti- saison 5 ! Autant j'ai pu adoré cette dernière je lui trouvais néanmoins quelques lacunes ... J'ai d'ailleurs l'impression d'avoir été écouté de A à Z avec cette nouvelle salves d’épisodes. Weeds Saison 6 opère touts les changements, de lieu, de lien ( plus ou moins ), d'identité ... La trame est elle aussi recentré sur ces personnages clés, Nancy, Shane, Silas, Andy, Steevy. Les Hodes aussi sympathique soit-ils disparaissent et au fond ce n'est peut être pas plus mal tant le tour avait été fait. J'aurais personnellement aimés et un petit au-revoir mais peut être les reverrons nous par la suite et ceux dans des circonstances plus propices. Doug est quand à lui toujours là, en retrait certes mais il gagne toutefois en consistance tant son déboussolement se fait sentir. Il est en soi un membre de la famille Botwin. Silas retrouve lui aussi à travers cette saison six une place essentiel parmi les siens. Lui qui avait été un peu oublié dans la précédente saison retrouve des couleurs et est totalement bouleversant lors de certaines séquences. Il est d'ailleurs peut être celui qui fait tenir tout le monde debout dans ce nouvelle axe. Andy aussi morfle, comme toujours, il tient, il ne craque pas ... Pourtant son rôle lui pèse et plus d'une fois son mal-être se fait sentir. Shane continue sa bascule, il est au centre de cette histoire et pourtant il est peu concerné, la transition est brutale et paradoxal ... Il est en pleine transition. Nancy est elle aussi dans une situation inédite. Elle est toujours dans la mouise mais cette fois les choses changent, elle subit les contre coups plus qu’elle ne les imposent. Nancy est d'ailleurs sur bien des points un personnage fort de Série tant elle change au fur et à mesure, tant sa démesure s'impose. Une nouvelle fois elle renverse la table et nous touche forcement. Oui cette saison est celle de touts les changements, je ne me souviens d'ailleurs pas mettre à ce point fendu la poire devant Weeds depuis ses débuts. Je me serais cru dans Malcolm ! Comme cette dernière elle m'a fait rire mais elle m'a surtout bousculé, notamment avec ce dernier épisode, on sent que les limites ont été franchises et qu'il va dorénavant falloir payé le tribut de ses excès passés ... On quitte cette aéroport avec eux, dans la même détresse. Il ne reste plus que deux saisons ...

Le symptôme de la saison précédente est une nouvelle fois de mise pour cette ultime acte. Le soucis n'est pas dans la conclusion mais dans le cheminement qui y mène. Difficile de reprendre la ou la saison 6 avait tant comblé toutes les attentes. Le gag reprend, les petites histoires aussi, tout s’achemine et nous fait revivre le truc, touts les meilleurs moments en somme mais le sentiment de déjà-vu prédomine et casse un peu l'ambiance. Les douze derniers épisodes sont toutefois plaisant à suivre, avec le sourire, dans l'émotion, les liens sont tissés et l'affection que je lui porte n'en est en rien entaché. Le pied de nez est constamment de mise dans Weeds et en cela cette série garde ses composites, tant mieux. Son final est la clée, il ne surprend pas tellement, Jenji Kohan mise sur la continuité mais décline son au-revoir avec beaucoup de chaleur. On en revoit certains, d'autres pas, les compagnons de bases eux sont réunis et le principal est là. Merci.

Une bonne série américaine, amusante, déjantée, sexy (avec la ravissante Spencer) loufoque et pleine de rebondissement.
Dommage que les dernières saisons deviennent un peu ennuyeuse à force d'un scénario réchauffé. Ca manque à la fin d'originalité et ca part un peu dans tous les sens.
8 saisons ont été assez.

C'est pas mal, à mi chemin entre un sitcom et desperate housewives. Chaque personnage est plus ou moins attachant dans son genre, même si finalement l'histoire perd en saveur au fil du temps.

aprés le 7ème épisode, soit on chope le film et on se laisse entraîner dans ce petit monde où une jeune femme, mère de 2 enfants, survit en vendant de l'herbe... soit on aime pas. Dans mon cas, je me suis laissé séduire,

Magnifique. Beaucoup d'humour !! une série qui fait du bien , sans prise de tête , tous les personnages sont au top !!

Cette série est vraiment pas mal.
Mais je pense qu'elle ne peut pas plaire à tout le monde, quand tu vois le sujet, sur lequel elle est basé.

Cependant, la façon d'être de la femme, qui joue l'actrice principal, est intéressante et rend les saisons accrochantes.

J'ai bien aimé l'histoire et les personnages.

Je l'a recommande, malgré tout.

Une série qui sort du génie, à prendre au 2nd degré pour ses personnages complètement barrés. Les 2 premières saisons sont vraiment excellentes. Ensuite, on regarde parce qu'on veut savoir ce qui va leur arriver mais le cœur n'y est plus vraiment. De très bons moments tout de même, notamment la fin de la saison 6. Ensuite, on aurait mieux fait de s'arrêter là.

Concernant les héros de la série :
- Malgré mon affection pour Nancy, j'en ai eu vite très marre de ses mauvais choix, c'est insupportable à la longue ! Et, est-elle toujours obligé de porter des minis-jupes et mini-shorts ?
- Andy, un peu loufoque par moment, est pour moi le personage le plus intéressant de la série. Une perle, ce mec.
- Silas, tête à claque au départ mais c'est celui qui a le plus la tête sur les épaules.
- Shane, je l'aimais tellement. Mais j'ai pas aimé son evolution que je considérerais comme du gâchis on en a fait.
- Quant à Doug... J'le trouve tellement, mais tellement énervant que... Que la série n'aurait pas été ce qu'elle est sans lui !
Les 3 dernièrs épisodes pour conclure la série sont "assez" satisfaisants, avec un très petit s.