Critiques spectateurs
Critiques presse
Votre avis sur Sex & the City ?
Critique de la série
0,5
Publiée le 4 mai 2020
Je déteste cette série un point c'est tout.
Je trouve l'héroine nombriliste avec des effluves de Calimero (ohhh que c'est triste d'être dans le ghota new-yorkais et gagner bien sa vie), mon dieu que les homme sont tous méchants avec moi...snif snif
Critique de la série
0,5
Publiée le 18 février 2020
Une série très bête et superficielle qui véhicule une très mauvaise image des femmes. Leurs histoires de sexe sont inintéressantes et les personnages sont suffisants et antipathiques.
Critique de la série
4,0
Publiée le 25 janvier 2023
une série novatrice, avec un ton nouveau, décalé, affirmé où ce quatuor de femmes trentenaires porte la belle et vivante NY dans le creux de leurs mains. l'idée de rattacher des chroniques de journal aux vécus, questionnements (sur l'amour, le sexe, les relations homme-femme, la place de la femme dans la société, l'amitié, l'homosexualité etc.) est extrêmement bien pensé et fait avancer les mentalités. A la fois drôle, émouvante, pertinente, on s'attache à ses personnages et l'on suit avec gourmandise leurs aventures et leur évolution pendant toutes ces années. une série importante, devenue culte.
Critique de la série
4,5
Publiée le 14 janvier 2022
J'ai adoré cette série que j'ai vu au moins 3 fois. On s'identifie forcément à l'une d'elle , avec leurs histoires de cœur !! La série est très esthétique aussi avec la belle part qui est faite à NYC et les sublimes tenues portées. Je ne me lasserais pas de la regarder à nouveau si j'en ai l'occasion. Un jour .
Critique de la série
4,0
Publiée le 2 septembre 2021
Ce qui est bien avec HBO, c’est qu’on a forcément à faire à des production de qualité. Qu’on aime ou pas.
Par exemple, s’il vous prend l’envie de « Shazamer » une musique de fond, vous tomberez sur du vladimir Cosma ! Pour des productions américaines ... ce n’est pas banal...
les scénarios... les guest stars ... les dialogues... c’est la rolls de la série.
Et cest aussi le cas pour SATC.
Mais voilà ... l’omniprésence de Carrie Bradshaw (sjp) est insupportable. Son égocentrisme, son immaturité, son égoïsme rendent ouf !!! Mais ce qui est le plus problématique, c’est que la série s’acharne à vouloir la rendre sympa ! Alors que c’est tout l’inverse.
On sent qu’elle est la super productrice et c’est gerbant.
Les autres personnages ont 10x plus à offrir et sont trop peu valorisée. Pire ! Elles servent de faire-valoir.

A l’époque, on voyait la série comme quelque chose novateur, d’amusant et d’intéressant (sex, gays, mode et cosmopolitan) mais entre temps, la crise économique est passée par la et ces visions consuméristes (argent, sex...) de tout mettent mal a l’aise.
Bref la série a mal vieillit.
Critique de la série
3,0
Publiée le 28 avril 2021
En ce passage du millénaire une série populaire très féministe très conformiste qui joue sur des ambiguïtés qui n'en sont pas et un ton libre bien surfait.
Critique de la série
5,0
Publiée le 10 septembre 2022
Série culte à l’image de ses héroïnes, sophistiquée (Carrie), idéaliste (Charlotte), grinçante (Miranda) et osée (Samantha), souvent réduite à un fashion show girly en diable (qui s’habille en Dolce & Gabbana et Manolo Blahnik), Sex and the city s’adresse pourtant aussi bien aux filles qu'aux garçons sans cœur (ou pas). La tirade fameuse de Samantha sur la difficulté de pratiquer, au mieux, une fellation parle pour les deux camps, et que l’on vienne de Mars ou de Vénus, impossible de ne pas s’esclaffer devant une vérité assénée la bouche pleine, mais avec brio : "Vous les hommes n'avez aucune idée de l'effort que cela demande. Il faut faire attention au placement des dents, tension de la mâchoire, réflexe de succion, ne pas s'étouffer, tout ça en faisant l'aller-retour en gémissant et en essayant de respirer par le nez. Facile ? Chéri, tu peux me croire, ce n'est pas une partie de plaisir, c'est vraiment du boulot".

Les thèmes abordés concernent tous les caractères, tous les genres, toutes les libidos, et dépassent le simple clivage homme/femme, très loin d’un politiquement correct rétrograde incapable d’apprécier un Cosmo sur les sofas velours d’un bar lounge de la 5e avenue : amitié, engagement, difficulté des relations amoureuses, évolution des mœurs, mixité sexuelle sous toutes ses formes et dans tous les sens. Tout cela dissimulé derrière un vernis so glitter, pétillant et provocant, sublimement chic et choc. Sex and the city a su aller de l’avant au fil de ses saisons, gagnant en maturité émouvante, osant des réalités plus concrètes (cancer, adoption, divorce) et faisant évoluer ses personnages de filles perdues dans Manhattan en femmes modernes et équilibrées (malgré les talons hauts).

Quant à Mister Big, il EST cet idéal sentimental, ce global concept vendu à toutes les sauces et qui fait battre les cœurs du monde entier, de Times Square à Barbès : LE grand amour. Mythe pour papier glacé quasi inaccessible, légende urbaine aussi tenace qu’une super model pouvant disserter sur le paradoxe de Schrödinger, utopique pour beaucoup, éventuel pour certain(e)s, il se dérobe souvent derrière la vitre fumée d'une limousine ou le pétillant d'une coupe de champagne, tangible soudain dès lors qu’on l’a débusqué, mais finalement compliqué à gérer au quotidien. L’amour c’est bien, mais c’est pas facile tous les jours, surtout quand on est belle et riche avec trois millions de paires de chaussures dans son dressing.


Les aventures comico-débridées de ces quatre drôles de dames, entre week-ends dans les Hamptons et soirées porno gay, shopping compulsif et brunchs aux petits oignons, exposent en définitive les choses simples de la vie, questionnant nos multiples façons d’être en amour et au lit (à l’instar des interrogations de Carrie ponctuant chacune de ses rubriques). Intimement liée à cet existentialisme hype, New York est la cinquième roue de ce carrosse pailleté, écrin magique pour histoires de princesses rêvant du prince charmant en Smalto et d’un mariage en couverture de Vogue. Sous les blings blings, l’amour.
Critique de la série
0,5
Publiée le 17 avril 2020
Série inintéressante... Elle partait d'une bonne intention en mettant en avant la sexualité des femmes, qui de fait a une volonté féministe. Cependant, les acteurs sont mous et les intrigues incohérentes. Je n'ai pas réussi à accrocher. Le scénario est trop plat. Dommage...C'est vraiment ennuyant.
Test Zone

9 critiques

Suivre son activité

Critique de la série
4,0
Publiée le 16 mai 2021
Une série que j'aime regarder, carrie bradshaw plaisante a suivre et se retrouve toujours dans des situations cocasses , et elle peut compter sur ces copines pour lui montrer qu'il y a pire qu'elle, assez marrant et qui as marqué son époque.
Critique de la série
4,0
Publiée le 19 novembre 2020
Sex and the City est au panthéon des séries cultes des années 90-2000. On suit les péripéties new-yorkaises de ces amies soudées par une amitié indéfectible. Le scénario n'est pas très élaboré mais la diction est originale pour l'époque et les épisodes s'enchaînent sans ennui. La tristesse du dernier épisode est bien là car on aimerait que ça continue encore et encore. Heureusement le premier film vient clôturer l'intrigue de "big" et Carrie pour notre plus grand bonheur. A voir
Angeline D

2 critiques

Suivre son activité

Critique de la série
2,5
Publiée le 20 octobre 2021
Ahlala que c'est difficile. J'ai adoré cette série quand j'avais 20 ans, et la en la revoyant quelques huit années plus tard je suis consternée. Consternée que 4 filles aussi connes puissent autant réussir dans la vie. C'est difficile à croire. Surtout Carrie, sérieusement elle est vraiment d'une bêtise incroyable et je ne suis pas persuadée que ce personnage mérite vraiment une série dont il est le centre. Enfin bon.
Il y a quelques petites choses plus sérieuses, j'ai bien aimé que sur les 4 filles, deux ne soient pas gaga des enfants, ça fait du bien de voir des femmes dire tout haut qu'elle ne se reconnaissent pas dans le rôle de génitrice. spoiler: On y aborde aussi le cancer de Samantha, un passage que j'ai trouvé très touchant puisqu'elle est " ma fille " préférée.

Mais il y a aussi de gros problème, spoiler: Samantha qui va dans les toilettes gay pour matter, Ses attouchements sur un masseur, son forcing pour conquérir un prêtre, ce genre de choses.
C'est choquant. Venant d'un homme ce serait intolérable, mais venant d'une nana pour moi ça l'est tout autant.
Bien dommage que les quelques fois ou sont mis en avant des centres d'intérêts un peu culturels ce soit brisé dans l'oeuf. On parle d'hommes politiques ? Oui, pour se demander lequel à la plus belle queue. On vote ? Oui, pour le plus sexy. C'est ridicule !
Et la prétendue liberté sexuelle, mais ou ça ? On parle de pénétration hétéronormée, même quand spoiler: Sam devient gay
le sexe lesbien est à peine survolé. Ah si pardon, une chatte ne se touche pas comme on touche une queue. Stupéfiant.
On parle aussi d'anulingus, de façon extrêmement dénigrante. On ne parle pas de sodomie, pas de sexe homosexuel, pas de masochisme, enfin bon, on parle juste de queue. C'est pas une référence sur la liberté sexuelle tant les sujets abordés sont limités.
Quand à se retrouver dans les personnages... Si votre vie se résume à boire des cosmos, aller au resto avec vos copines tous les soirs avec des chaussures à 400 dollars pour aborder des sujets creux et que cela vous convient, tant mieux pour vous ! Personnellement je ne m'y retrouve pas.
Le film est cool par contre ! Le premier. Juste le premier.
anonyme
Un visiteur
Critique de la série
0,5
Publiée le 5 août 2022
Ne parlez pas de féminisme en évoquant cette série à gerber de misogynie. Portrait des personnages :
La gourde issue des milieux bourgeois qui cherche mari friqué pour se faire entretenir. L'avocate carriériste soi disant sarcastique mais tout aussi désespérée et en recherche du mâle idéal. L'écrivain à succès qui écrit des articles aussi pertinent que des editos de magazines pour ados, passionnée uniquement par la mode, les coktails et les hommes. Et pour finir, la seule femme réellement libérée de la série n'est en fait qu'une nymphomane qui ne cherche pas à se marier uniquement parce qu'elle est traumatisée par les hommes.
Ces 4 gourdes sont stupides et profondément superficielles. On nage dans un univers bling bling, entre blancs riches et irresponsables. Le seul épisode absolument consternant où ses idiotes parlent politique, c'est pour déterminer quel président était "mignon" et la conversation se conclue par "et voilà comment on parle politique entre femmes" !!! C'est scandaleux!
Quant à la place de la sexualité féminine ? Très mal évoquée. Y'a rien de subversif, c'est une série écrite manifestement par des hommes soi disant pour les femmes et visiblement, la seule chose qu'ils ont à dire pour atteindre cette aura subversive c'est de dire que les femmes aussi aiment le cul...
C'est extrêmement faible, totalement mysogine et horriblement superficiel.
Susanamajor

6 critiques

Suivre son activité

Critique de la série
5,0
Publiée le 8 avril 2021
Sex and the City est une série culte et visionnaire tant pour ses sujets toujours d'actualité et humoristiques que pour les looks des héroïnes. A voir et revoir.
CINNAMONBERG

5 critiques

Suivre son activité

Critique de la série
5,0
Publiée le 15 novembre 2020
La série iconique qui aura nourri mon amour de la mode et mon envie un jour d'écrire au même titre que la protagoniste. Une série qui nous projette au sein d'un Manhattan auquel on n'accèdera jamais mais où nous pouvons tous nous identifier aux différentes situations rencontrées par ces femmes aux caractères si différents dans leur quête au bonheur, à la relation équilibrée et à l'amant parfait.
Leslie

8 critiques

Suivre son activité

Critique de la série
3,0
Publiée le 12 avril 2023
Série découverte sur le tard et mettant en scène 4 filles new-yorkaises au caractère très différent. Toute l'intrigue tourne autours de Carrie Bradshaw qui écrit une rubrique sur le sex dans un magazine people. Elle se sert des histoires personnelles de ses amies, ainsi que de la sienne pour alimenter sa rubrique. Cette série est vraiment sympa lorsqu'on la regarde pour la première fois mais après on ne comprend pas le personnage de Carrie qui est en fait une dépendante affective qui s'auto-sabote dès qu'elle le peut. Elle enchaîne les déconvenues amoureuses au fil des saisons tout en étant à la recherche du grand amour. Cette série se laisse regarder même si on voudra mettre des claques à Carrie à chaque fois qu'elle retourne vers le fameux Mister Big.