Avis Prison Break S1

Saison une d'une série mythique, cette dernière montre comme jamais la vie carcérale dans ses moindres aspects. Retrouver le duo mythique Wentworth Miller / Dominic Purcell fut un kiff monstrueux tant ils ont marquer. Un duo faisant écho à leur prestation dans l' "Arrrow-verse" ou ils campent quasiment les mêmes rôles. Une première saison s'ouvrant donc sur l'arrestation et mise en cellule du futur cerveau d'une future opération à très haut risque, ou tous les éléments compte et détails s'étudieront au millimètre. Un casting principal et secondaire culte et impeccable nous montrant l'étendu de son talent, des caractères extrêmement différent mais très spécifique ou les relations se nouent et se tendent au fil des épisodes. Un scénario d'ensemble très bien penser ou vie quotidienne, affaires extérieures et complots politiques s'entremêle pour offrir des intrigues secondaires menant inévitablement au final attendu. Point très fort de la saison, la relation d'abords banale puis très romantique entre notre détenu star Michael Scofield et notre doctoresse Sara Tancredi qui est une véritable référence à la relation amoureuse DC Harley Quinn / Joker, un second duo superbement imaginer laissant d'abord de vrais instants suspicieux puis tendu. Wade Williams apporte la vrai touche sadique dans le rôle de ce gardien pénitencier sans scrupule et jouant de son statut pour parfaitement parvenir à ses fins, une interprétation impeccable. Robin Tunney aussi jouera avec talent l'avocate de Lincoln et également compagne, bien des années avant le mythe "Mentalist", incarnant la justice et la vérité dans l'affaire qui déterminera l'avenir incertain de son client dans un engrenage politique infernal. Une première saison tendu, palpitante et passionnante dans le monde carcéral, judiciaire, tous simplement, rendez-vous en saison 2.

Prison break saison 1 est une véritable Chef-d'oeuvre, le scénario est excellent, il y a pleins de rebondissements, les acteurs intérprètent leur rôle à la perfection et ils sont charismatiques , il n' y a rien à redire excepté spoiler: l'histoire d' amour jouée par Michael Scofiel et Sarah, qui je trouve aurait pu être plus pertinante si elle était mieux jouée et avec un meilleur scénario
. Je me suis arrêtée à la saison 4 personnellement, mais je garde un très bon souvenir de cette série.

Une très bonne première saison, bien pensée, intelligente et captivante, malgré tout un tas de facilités scénaristiques ainsi que d'invraisemblances qui viennent un peu ternir le tableau. En effet, après avoir appris que la série quittait netflix fin 2021, j'ai décidé de me lancer dedans, et on peut dire que je n'ai pas été déçu. L'intrigue, le scénario, les personnage, la musique... Quasiment rien n'est à jeter dans cette saison, tant elle est haletante et pleine de suspense. Certes, l'idée d'évasion n'est pas nouvelle, et on sent une grande inspiration du côté de certaines œuvres (notamment spoiler: l'évadé d'alcatraz
), mais la manière dont c'est amené ici et dont les personnages procèdent est assez originale spoiler: (les tatouages)
, et bien plus complexe qu'attendu. L'intrigue hors de la prison est également palpitante et tout aussi tendue.
J'ai toutefois des petites réserves. En effet, les bonnes idées de scénario s'accompagnent souvent de grosses invraisemblances. Pour en citer quelques-unes, spoiler: on a d'abord les sorties nocturnes de Michael, pendant lesquelles les gardes semblent absents de la prison, mais aussi le manque de méfiance de ces derniers, malgré le comportement très suspect des prisonniers, ou encore la confiance aveugle du directeur en Michael, et aussi, le faux suspense de certains passages. Mais si, vous savez, ces scènes lors desquelles un personnage est sur le point de se faire prendre mais où il s'en sort avec une extrême justesse. Enfin, dernier point que j'ai trouvé gênant, c'est qu'on semble vite oublier qu'en début de saison Michael se fait couper deux orteils, ce qui ne l'empêche manifestement pas de courir ou de se battre.
Je trouve aussi la saison un poil trop longue, il y a une légère baisse de régime vers les deux-tiers.
Malgré tout, cette première saison est sûrement une des meilleures que j'ai vues, tant en terme d'écriture que de personnages, et reste captivante du début à la fin.

Première saison explosive, s'évader d'une prison de haute sécurité n'est pas une mince affaire. Michael et Lincoln sont frères et l'un va littéralement risquer sa peau pour sauver l'autre. Les personnages sont tordus et un peu fous mais tout aussi attachants. De deux on passe à presque 10, pari risqué mais tenté d'une main de maître. L'épisode de la mutinerie est particulièrement réussi, j'aime la corrélation entre les différents protagonistes, bons ou méchants. Sara est un peu passive, je ne suis pas très fan de son personnage d'une manière générale tout comme Véronica. La vice présidente est mystérieuse et manie son monde à la perfection sans se soucier des dommages collatéraux...diabolique sans visage ! Le final est à la hauteur de l'attente et on comprend aisément que la course ne fait que commencer.

Une super saison 1, même en 2020. Ayant commencé la série récemment je ne l ai pas connu dans son âge d or. Néanmoins on sent le travail derrière cette saison. Que ce soit les acteurs ou le scénario tout est super. Bien dosé, le générique est juste cultissime. Quelques intrigues un peu faiblarde spoiler: (moitié de saison Veronica est juste lourde)
. Avec les transitions, on sent que quelques années ont passées pourtant ça reste un chef d œuvre, on s attache aux personnages, même t bag qu on adore détester. La s1 est surtout très osée spoiler: notamment avec la mort de Veronica et Nick
. Le final de la s1 est juste parfait et les thèmes musicaux de chaque personnage est aussi très bien. Un rythme assez lent mais jamais ennuyant. Micheal Scofield a toujours un as dans sa manche, si vous n avez jamais vu cette saison 1 regardez là immédiatement.

Une superbe saison , sûrement la meilleure de la série remplie de rebondissements et de bon personnages.

J'ai adoré cette première saison, le suspense qu'elle contient, les personnages et les dialogues. Vraiment haletante, il est impossible pour moi de commencer la saison 1 sans la finir, on a vraiment envie de savoir ils vont vraiment réussir à s'évader ou non.

Je n'est pu regarder que la saison 1 car c'est la seule qui est intéressente a mon gout le reste bof je me suis laissé.
Néanmoins la saison 1 est géniale, rebondissements, étonnement elle est vraiment bien que vous la conseille.

Excellent ! Depuis le temps que cette série existe, il est clair qu'elle n'a pas vieilli d'un iota.
L'intelligence de Michael Scofield est bluffante tellement tout est minutieusement pensé. Un scénario exquis, où n'est acquis d'avance.
Seules certaines émotions sont légèrement ratées mais passons, l'ensemble est haletant et donne envie de continuer les aventures de cette troupe de farfelus.

La saison 1 est absolument géniale! Vraiment de très bonne qualité, avec des personnages intéressants et des rebondissements inattendus. Dommage que la série se soit ensuite dégradée à mes yeux, j'ai arrêté de suivre vers la fin de la saison 2 car l'histoire ne m'intéressait plus assez..

Neuf ans et pas une ride ! C'est ce qu'on pourrait affirmer après s'être délecté de Prison Break, série ayant jadis balayé la concurrence d'un revers de main. C'est en août 2006 que nous faisons la connaissance d'un personnage qui va marquer l'histoire du petit écran. Michael Scofield, brun ténébreux au regard d'ange, veut faire évader son frère, condamné à mort pour un meurtre qu'il n'a pas commis.

En plein nouvel âge d'or des séries, Prison Break vient brillament ajouter sa pierre à l'édifice du divertissement total. Qui a parlé de réalisme, quand on peut avec intelligence faire rêver un spectateur en manque de sensation forte. Créateur de cette œuvre, Paul Scheuring implante à son récit de nombreux stéréotypes qui font la puissance de la narration. Le palpitant en émoi, vous rentrerez en empathie immédiate avec les personnages qui composent la série. Justement parce que l'écriture de ces derniers est faite pour que vous vous accrochiez à eux comme une moule à son rocher.

À l'image du tatouage que Scofield s'est fait sur le dos, l'architecture scénaristique de Prison Break ne laisse rien au hasard. Les vingt-deux épisodes qui composent la saison passent à une vitesse fulgurante, et l'adrénaline émergeant de ceux-ci se transforme alors en une drogue invisible qui sera impossible de ne pas prendre. Le moindre bruit de clé vous fera trembler, et votre conclusion à chaque dénouement sera la suivante : ils n'arriveront jamais à sortir de cette prison.

Si la forme de Prison Break est irréprochable, on peut également saluer certains thèmes participant à la réussite de cette série. Comment parvenir à jongler entre le bien et le mal sans faire trop de dégats ? Quelle peut être la définition de culpabilité quand on sait que notre cause est juste ? Certes, les ficelles sont parfois trop visibles. Assurément, nous avons affaire à une série faite d'invraisemblances narratives. Mais qu'importe quand celle-ci fonctionne, et quand on tient entre nos mains un modèle de thriller s'étalant sur plus de seize heures.

Regarder la saison une suffit à appréhender toute l'ingéniosité de cette série parvenant à jouer constamment avec son public. Et parce que tout a été dit dans ces débuts d'aventure, les spectateurs n'auront pas besoin de voir les trois saisons suivantes, calquées sur la mécanique divertissante de leur aînée et ternissant son image. La prison a été brisée, alors pourquoi ne pas s'arrêter à cette image ? Nos péripéties prennent fin par ce symbole de liberté retrouvée, et la mission a bel et bien été accomplie.

Les plus exigeants pourront toujours trouver que cette première saison tombe parfois dans la facilité, notamment niveau clichés et quant à une crédibilité parfois bien discutable. De plus, on a quelquefois cette gênante impression de racolage dans la mise en scène, ce qui ne fait évidemment jamais plaisir. Mais au fond, qu'importe? En effet, reprenant la plupart des qualités de "24 heures chrono", cette première saison est d'une indescriptible efficacité, s'appuyant notamment sur des scénarii souvent riches et pour le moins percutants. De plus, la galerie de personnages est réjouissante et nous permet ainsi de toujours garder un intérêt certain pour l'ensemble, notamment concernant les relations souvent houleuses qu'entretiennent certains. Enfin, n'oublions pas la véritable héroïne ici : la prison. Cette dernière provoque d'emblée une sensation étouffante, d'autant qu'elle s'avère plutôt bien filmée, les quelques conventions habituelles apparaissant pour une fois réalistes et convaincantes. Au final, ce premier volet de "Prison Break" est, malgré ces défauts, une réussite remarquable, captivante de bout en bout grâce à une nervosité formidable, des situations hautement prenantes et un final follement haletant : sensations fortes assurées.

Un concept très fort, une réalisation pleine de rythme et de nervosité et un sens du cliffhanger exceptionnel font de cette saison une des meilleures de l'histoire malgré un manque de cohérence.

Les plans d’évasion de prison, ça en a déjà alimenté des scénarii de films depuis « la Grande évasion » ; mais de là à construire toute une série sur ce postulat, c’est quand même quelque chose d’assez unique : et c’est ce à quoi se risque la saison 1 de ce « Prison Break ». Alors bien sûr, pour délayer au maximum la sauce ont a droit à toute une série d’intrigues externes pas toujours très bien foutu, c’est le cas notamment de cette histoire de complot d’Etat franchement caricaturale et vraiment très fade… Mais il y a aussi ce plan mûrement réfléchi qu’on voit progressivement se mettre en place, qui passionne surtout dans le jeu qu’il nécessite de mettre d’autres tolars, parfois pas très catholiques, dans la combine. Questions techniques, questions de principes, questions de valeurs… « Prison Break » arrive à faire un brassage de tout ça pour tenir en haleine tout le long de ses épisodes. Et même si on sent bien que de nombreuses péripéties sont plus là pour diluer la sauce, cette grande épopée tient la route jusqu’au dernier épisode. A dire vrai, on ne voit pas trop quel sera l’intérêt de la saison à venir une fois la saison 1 révolue, mais après tout cette saison peut se suffire à elle seule pour susciter du plaisir, donc prenons là pour ce qu’elle est, c'est-à-dire un très bon moment pendant quelques soirées passées blotti dans un fauteuil. Que demande le peuple ?

Sans parler de la suite de cette série, la saison 1 reste une franche réussite à tous les niveaux. Si les personnages sont loin d'être très recherchés (un pédophile, un mafieux, un porto ricain voleur, etc...) l'interprétation des acteurs est plus que honorables notamment celle de Robert Knepper terriblement bon. Le scénario offre de multiples rebondissements ce qui tient le spectateur entièrement en haleine pendant cette première saison, il est malheureux que la suite de la série dégringole à tous les niveaux.