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J'ai vu Prison Break à l'époque où c'était diffusé sur M6 et je viens de revoir les 4 saisons de l'époque il y a peu.
Cette 4eme saison est décevante, entre les facilités scénaristique, des cliffhanger et des rebondissements qui s'enchaine sans aucun sens , on dirait que les 12 premiers épisodes sont fait un peu plus sérieusement puis la suite a été là pour faire du remplissage. La daronne qui revient d'un "long voyage sans connexion" a été la goutte d'eau qui fait déborder le vase, c'est quoi ce délire des parents qui abandonnent leurs gosses tandis que d'autres font tout pour les leurs ? (Mahone/Gredchen)
Je ne vais pas m'étaler , cette 4eme saison est très très moyenne, elle aurait dû être plus courte et plus travaillé... Dommage
Cette 4eme saison est décevante, entre les facilités scénaristique, des cliffhanger et des rebondissements qui s'enchaine sans aucun sens , on dirait que les 12 premiers épisodes sont fait un peu plus sérieusement puis la suite a été là pour faire du remplissage. La daronne qui revient d'un "long voyage sans connexion" a été la goutte d'eau qui fait déborder le vase, c'est quoi ce délire des parents qui abandonnent leurs gosses tandis que d'autres font tout pour les leurs ? (Mahone/Gredchen)
Je ne vais pas m'étaler , cette 4eme saison est très très moyenne, elle aurait dû être plus courte et plus travaillé... Dommage
Une autre saison de trop pour Prison Break qui est en plus extrêmement longue. L'intrigue est peu intéressante et les nouveaux personnages sans grand intérêt, les anciens se contentant de faire comme d'habitude.
Dur de rebondir après une saison 3 ratée, et pourtant la mayonnaise reprend sous l'impulsion du sympathique agent Self, qui transforme nos fuyards en pros du cambriolage à la Ocean's eleven. Les plans à la chaine de Scofield, dont le génie n'a plus de limites, divertissent à défaut de convaincre, et on s'achemine confiants vers la chute annoncée du Cartel, jusqu'à un twist bien senti qui rebat les cartes à mi-saison. Le scénario s'emballe alors, rebondissements excessifs et révélations improbables s'enchainent à n'en plus finir jusqu'à saturation, vers un final que l'on attend comme une délivrance, mais qui sait apporter suffisamment d'émotion pour permettre de dire adieu dignement à nos héros.