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Un visiteur
Critique de la série
5,0
Publiée le 29 avril 2013
Le 16 septembre 1984 débarquait sur les petits écrans américains, une toute nouvelle série policière mettant au prise une équipe de la police des mœurs de Miami avec des trafiquants et truands en tout genre. Pendant 5 saisons, la série permit de suivre ces héros d'un nouveau genre dans leur lutte contre les cartels de la drogue, les réseaux de trafic d'armes, le monde du proxénétisme, et la corruption...
Plus que le thème de la série lui-même, la mise en scène, la photographie et la bande-son de Miami Vice ont permis à cette série de rester dans les mémoires comme une série à part. Créee par Antony Yerkovich, produite par Michael Mann, et mis en musique par Jan Hammer (pendant 4 saisons), les aventures de Sonny Crockett et Ricardo Tubbs ont tenu en haleine des millions de téléspectateurs à travers le monde, et continuent aujourd'hui encore de passionner les fans.
Miami Vice, c'est un petit bout d'Amérique, l'Amérique des années 80, l'Amérique clinquante des fêtes de milliardaires. Une simple chronique du vice d'une ville nommée Miami...
Miami Vice est sans doute l'une des meilleures série des 80's et l'une des meilleures série policière jamais faites. Sa renommé elle l'a doit à plusieurs points qui a fait en son temps son grand succès. Tout d'abord contrairement à la plupart des séries policières de l'époque Miami Vice-Deux flics à Miami proposait des scénarios bien meilleurs à la fois sombres et intelligents, de même la psychologie des deux protagonistes principaux est plus complexe que la majorités des personnages de flics de la tv à l'époque tranchant par ailleurs avec le très édulcoré duo Starsky et Hutch. Nos deux flics et leurs collaborateurs ont des personnalités bien plus sombres et torturé et marqués par leur époque (plusieurs personnages sont ainsi des anciens combatant du viet nam). L'ambiance a la fois visuelle et sonore constitue à elle seule la carte d'identité de la série. Le show est très marqué par l'identité visuel des années 80 et plus précisément du Miami des années 80 avec ses plages et ses couleurs très flashy. Au niveau sonore c'est l'extase totale hormis les merveilleuses compositions de Jan Hammer on retrouve des tubes des années 80 allant de Phil Colins à Michael Jackson les stars ayant collé leur voix à la série sont nombreuses. Et enfin comment ne pas parler des très bon acteurs à commencer par l'excellent duo Don Jonhson/ Crockett et Philip Michale Thomas/ Tubbs entouré d'excellents seconds rôles (Edward James Olmos). Et n'oublions pas les nombreux guest qui sont apparus au cour des 5 saisons (Wesley Snipes, Bruce Willis, Burt Young, Ving Rhames, Michael Chiklis etc...) Bref une série des années 80 incontournables, pour les nostalgiques d'une époques et les fans de séries policières
Jamais une série n'a cumulé tant de superlatifs. Texture visuelle esthétique en diable, mise en scène flamboyante, structure narrative avant gardiste, scenarii adultes, jeux d'acteurs méticuleux, BO juste incroyable. Les moyens financiers mis en jeu à l'époque pour arriver à créer cet univers cultissime sont impossibles à envisager aujourd'hui où on peut faire de plus gros profit avec 10 fois moins d'argent par le biais du marketing qui met en équation la meilleure herbe au moindre coût pour nourrir les veaux ! Si Miami Vice est moins populaire que d'autres séries, c'est uniquement parce qu'elle est destinée a un public adulte et exigeant qui d'ordinaire ne se tourne pas vers les séries TV. MV, c'est la haute couture cinématographique transposée à la TV. Prenez, garde, regarder les saisons 1 et 2 en VO suffit pour attraper le Miami Virus à vie !
On s’en approchait, on y est. La dernière saison de Miami Vice fut la cinquième, avec le retrait de Dick Wolf à la production et la présence plus qu’effacée de Michael Mann, plus du name-dropping qu’autre chose…
La quatrième saison s’était terminée par une interrogation passionnante où on se demandait si Sonny Crockett allait rester un trafiquant de drogue ultra-violent jusqu’à la fin de sa vie ou s’il allait retrouver les esprits. Il restait 19 épisodes, évidemment, Sonny Crockett retrouve les esprits et on est reparti comme en 40, avec de nouvelles enquêtes, beaucoup plus noires que les précédentes, avec le retour de Dennis Farina et de Pam Grier, cependant, sans oublier la présence d’Izzy Moreno, moins drôle qu’à l’accoutumée. Le ton est nihiliste (comme en témoigne le personnage de Stan Switek, qui a totalement perdu sa bonne humeur légendaire) et la fin de la série évidente, avec un somptueux montage des cinq années que nous avons passées avec le Vice Squad avant de voir Sonny Crockett et Ricardo Tubbs quitter la police de Miami, contre l’avis de Martin Castillo. C’est assez courageux de la part des scénaristes et c’est tout à fait dans la logique de la série. Malheureusement, c’est beaucoup moins fun que les premières saisons, dans la mesure où on perd pas mal de l’interaction entre les personnages du Vice Squad.
Miami Vice se termine donc sur une saison d’un nihilisme prononcé, annonçant les séries TV policières qui suivront. C’est dommage pour ceux qui aimaient le côté bling-bling des premières saisons.
Les flics les plus "super cool" de la télé, soleil et flamants rose. Les scénarios de certains épisodes sont peu crédibles, mais on s'en fout, on s'amusait bien avec eux. A noter, le très bon film de Michael Mann, qui reprend la série au cinéma, mais avec une vision différente.
Une série culte parmi tant d'autre dans les années 80', qui nous a donné aujourd'hui beaucoup de remake au cinéma d'aujourd'hui. Loisirs et distraction, la série a tout pour plaire.
Une série des années 80 mais comme son titre l'indique avec un humour assez limité déclinait surtout le fric, le soleil et les truands et trafics en tout genre. Avait un certain succès sur des aspects modaux mais maintenant assez anciens.
Faire une deuxième saison d’un procedural est toujours très compliquée. En effet, les personnages ne sont pas encore assez installés pour faire un gros arc qui chamboule tout la logique de la série. On doit donc continuer les stand-alones.
Force est de constater qu’en termes de stand-alones, Miami Vice est une des meilleures séries de l’Histoire de la Télévision. Elle est capable de rendre un épisode de 40 minutes aussi passionnante qu’un film, avec des castings très souvent prestigieux (encore une belle fournée de guests cette saison) et des contre-emplois astucieux : Frank Zappa, le célèbre rocker anti-drogues (l’homme s’est quand même froissé avec le cast du Saturday Night Live à cause de l’emploi démocratisé de cocaïne dans les studios de NBC) y joue un trafiquant de drogue très influent. Le duo principal est encore une fois exceptionnel, mais comme en témoigne les affichages promotionnels, on n’est plus sur du Crockett – Tubbs mais on se concentre sur toute l’équipe, avec des Trudy centric et des Castillo centric. Le problème, c’est que Don Johnson bouffe tellement l’écran qu’il en éclipse tous ses partenaires. Certains épisodes de la saison sont tout bonnement parfaits, comme l’éblouissant 2x03, le très sympathique 2x21 et le particulièrement réussi 2x05 (Jan Hammer, le compositeur de la série, y est au sommet de son art).
A l’image de la saison 1, la deuxième itération de Miami Vice n’est pas parfaite, mais elle y touche, de par son originalité et sa faculté à se renouveler tout en gardant une formule qui marche.
Une des meilleures séries des années 80 avec en prime des musiques de Jan Hammer sublimes et pas mal de chanteurs ou groupes sont présents (musicalement) dans les épisodes. (Tina Turner,Bon Jovi,Dire Straits,etc...),bref un régal.
Deux flics à miami est une série moyenne de Anthony Yerkovich. La mise en scène reste classique, le concept est intéressant mais plutôt mal exploité, les épisodes se répètent et on fini par s’ennuyer. De plus, le doublage est à revoir. Les acteurs comme Don Johnson, Philip Michael Thomas ou encore Edward James Olmos sont néanmoins corrects dans leurs rôles.
Je ne suis pas particulièrement fan des séries policières avec des flics avec des grosses bagnoles sportives et des gourmettes, mais ayant grandi dans les années 80, je n’ai pas échappé à « Miami Vice ». La série avait son charme, notamment grâce à sa musique emblématique et ses personnages principaux, au-delà de la caricature, Crockett et Tubbs, bien interprétés par Don Johnson et Philip Michael Thomas. La prévisibilité des épisodes et le manque de réalisme dans certaines scènes d'action m'ont souvent laissé sur ma faim. Bien que la série ait su captiver à l'époque, je doute que les générations actuelles, habituées aux effets spéciaux modernes et aux intrigues plus sophistiquées, y trouvent autant de plaisir. « Miami Vice » reste un bon souvenir et une série représentative des côtés bling-bling des années 80. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Cette série était une série d'action comme beaucoup d'autres ont découlés par la suite de ce succès comme les dessous de palm beach et bien sur, le film miami vice. Ca reste sensiblement pareil tout les épisodes, des méchants et puis on les coince à la fin de l'épisode.
Incontournable des années 80, une série sombre et violente qui a révolutionné le genre! Michael Mann est derrière la caméra, c'est signe de qualité et on reconnait tout de suite sont style...
Sonny Crockett et Ricardo Tubbs sont de retour pour une quatrième saison, marqué par la véritable prise de pouvoir de Dick Wolf et les aux revoir de Jan Hammer à la bande-son.
Alors que Miami Vice perd donc deux de ses têtes fortes, on pouvait attendre une énorme baisse de niveau de la série. Force est de constater qu’on est très loin de la série originale, avec des épisodes qui se répètent un peu et des personnages qui n’évoluent qu’en prenant des balles dans le bide ou des explosions dans la tronche (Sonny Crockett, par deux fois). De plus, certains épisodes sont particulièrement nuls, comme celui avec des extra-terrestres (oh mon Dieu…), même s’il y a Chris Rock dedans, ou le 4x04, avec le type cryogénisé. En revanche, les guests-stars sont plutôt sympathiques sur cette saison, avec Ben Stiller, Cary-Hiroyuki Tagawa, James Hong, John Michael Higgins ou encore Michael Wincott et Frank Stallone. La saison est même sauvée par un cliffhanger assez génial, où les limites de la loi sont franchies, avec un Sonny Crockett amnésique qui oublie que c’est un policier et qui commence à se comporter comme un gangster. C’est excellent, c’est bien traité et on attend avec impatience de voir comme il va être gracié dans la cinquième et ultime saison.
Encore une fois, Miami Vice trouve son salut chez ses acteurs et dans la sympathie que la série procure à ses fans de la première heure, grâce à un cliffhanger exceptionnel.