Une série des années 80 mais comme son titre l'indique avec un humour assez limité déclinait surtout le fric, le soleil et les truands et trafics en tout genre. Avait un certain succès sur des aspects modaux mais maintenant assez anciens.
Je ne suis pas particulièrement fan des séries policières avec des flics avec des grosses bagnoles sportives et des gourmettes, mais ayant grandi dans les années 80, je n’ai pas échappé à « Miami Vice ». La série avait son charme, notamment grâce à sa musique emblématique et ses personnages principaux, au-delà de la caricature, Crockett et Tubbs, bien interprétés par Don Johnson et Philip Michael Thomas. La prévisibilité des épisodes et le manque de réalisme dans certaines scènes d'action m'ont souvent laissé sur ma faim. Bien que la série ait su captiver à l'époque, je doute que les générations actuelles, habituées aux effets spéciaux modernes et aux intrigues plus sophistiquées, y trouvent autant de plaisir. « Miami Vice » reste un bon souvenir et une série représentative des côtés bling-bling des années 80. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Tellement typique des années 80. Tout y est, la musique, le décorum, les voitures, le luxe tape à l œil, les personnages bien typés... un binôme de policiers qui assure plusieurs saisons. Des scénarios certes simples mais l ambiance y est, pour amateurs des années 80 désormais... ça reste une série culte de l époque. Pour l avoir revue en partie récemment, je trouvais que ça passait encore très bien, tant que l on remet dans l époque pas si lointaine. Avec le recul des séries Narcos très rediffusées (notamment sur Netflix avec des documentaires également en pagaille) on peut même aussi un peu contextualiser.
L'atmosphère sombre et aride de la ville de Miami le soir, les couleurs pastelles et nocturnes des 80s et les deux flics Ricardo Tubbs et Sonny Crockett sont les ingrédients nécessaires à la réalisation d'une des séries les plus mémorables de mon existence. Quand j'ai découvert celle-ci, les 80s étaient déjà hazbin et cela n'a aucun cas favorisé mon enthousiasme avant de m'y plonger. J'ai compris dès les premiers épisodes que ce que je regardais n'avait rien de commun. Grand fan de Michael Mann, je suis forcé de constater que sa série est excellente en tout point, chaque épisode constituant une vraie oeuvre d'art. La série était la plus chère de l'époque, avec un budget moyen d'1 million par épisode. Le résultat est phénoménal, je suis tellement fan.