Avis Paradise

Très bon jeu d'acteur pour cette série qui est de bonne facture. Chaque épisode nous accroche dans monde dystopique qui n'est pas si éloigné du nôtre à y regarder de plus près. L'intrigue captive et nous donne toujours envie de voir plus. Vivement les prochains épisodes !

Histoire intéressante avec des personnages profonds. Chaque personnages est à ça place. Et la musique est dingue.
S'il vous plait, plus de série de cette qualité.

Un mélange savoureux de thriller, dystopie et catastrophe qui, après 3 épisodes, promet un développement assez intéressant. J'espère sincèrement que le reste de la première saison tiendra ses promesses!

Après quelques suprises, la lenteur s'installe avec des discussions soporifiques et des personnages faussement mystérieux. Le coté science-fiction n'est qu'un cadre pour justifier un tournage dans un environnement restreint. Ajoutons à cela l'overdose de flashback, il est temps d'abandonner cette série qui parait finalement low cost.

Je viens de terminer le 1er épisode donc attendre peut-être avant un vrai avis. Mais le début est prometteur on part sur une base thriller pour arriver sur de l'anticipation et la référence SILO est avéré. A noter en final une reprise d'Another day in paradise de Phil Collins. Fluctuant quelques épisodes de moindre qualité pour avancer dans la compréhension de la série. Attention épisode 7 terrifiant dans son déroulement

Ne vous arretez pas sur les critiques négatives comme j'ai failli le faire. Les acteurs ne sont pas moyens mais très bons.
Le rythme est juste lent de part les nombreux flashbacks mais l'épisode 4 en dévoile déjà pas mal et réussi à nous plonger définitivement dans l'intrigue.

Je me suis lancé sur Paradise sans aucun jugement ni vérification sur AlloCiné.

Les 3 premiers épisodes sont super, le scénario est très intéressant , ils ont mit des détails

Sensation d'être dans un thriller

Les musiques sont sympa

Cette série est très prometteuse pour moi, j'ai complétement accroché a ce me mélange de SF et thriller.

Dans cette époque où les séries et films ont des budgets de fou furieux et nous pondent des bouses, Paradise semble sortir du lot

Premier épisode excellent !!
La suite garde en haleine, on a hâte de connaître la suite des événements de cette série originale à l’intrigue palpitante.

Vu 3 épisodes. Un montage décousu, certains acteurs très mauvais, des personnages stéréotypés, des rebondissements très prévisibles et une musique inappropriée font que je ne regarderai pas la suite. Je ne met pas 0.5 pour le contexte spoiler: post apocalyptique
qui est malheureusement très peu exploité.

Même si le scénario n'est pas parfait, la réalisation et la musique sont d'une très bonne qualité. J'adore le contexte de la série.

Entre Silo et the truman show, ce film d'anticipation est plutot bien réalisé avec intrigue et personnages ambiguës . cela aurait mérité d'etre plus fouillé et peut etre des passages moins lents. mais interessant. NOTA : le dernier episode est surement le moins bon, car pour moi trop baclé.

Assez proche dans sa réalisation de la série "under the dome", ici aussi le manque de finesse du scénario vient sortir le spectateur de l'histoire.
Un jeu d'acteurs assez médiocre et des dialogues totalement décalés de la postures des rôles ne permettent pas s'immerger dans une série.

Un véritable chef-d'œuvre.
Thriller d'anticipation exceptionnel, les acteurs sont super et l'histoire aussi à chaque épisode un rebondissements...

Je vais regarder jusqu'a la fin.
Le premier épisode était bien, mais la suite, c'est d'un plat, les changements de " scène " sont décousu . Je vais regarder par curiosité mais voilà

J'ai mis la note de 2, soit 'très moyen'. Je viens de finir les 8 épisodes de la saison 1 et je vais vous expliquer les raisons de ma note.

Paradise, c'est une série policière "présidentiel" avec un fond fantastique post-apocalyptique et c'est un peu la mode ces temps-ci (Fallout et Silo).
Là ou Fallout par son coté décalé enchante par sa créativité et son imagination, là ou Silo surprend par son suspense en huis-clos, Paradise rate franchement le coche. Malgré sa touche post-apocalyptique, huis-clos dans un village inspiré de celui de Truman Show, cette série manque cruellement d'imagination. Les personnages semblent être des ébauches de ceux qu'on découvrait dans des séries comme 24: un héros des services secrets et ses gentils enfants, ses collègues et amis, son président, des forces de l'ombre et des personnalités douteuses. Le reste est une valse de clichés américains comme le fameux footing dans les rues résidentelles, des déj. américains au dinnner's, de la musique des années 80 (car le président est fan) et, seule originalité, une nintendo Wii.
Là où 24 tenait son suspense par le chrono et les retournements de situation, Paradise avance de manière pataude dans son enquête en 8 épisodes. La série essaye tant bien que mal de développer ses personnages principaux à peine effleurés par le contexte post-apo, les autres étant l'équivalent de PNJ de jeu vidéo. Parfois, le scénariste arange même l'histoire à sa façon en pariant sur le fait que nous sommes un bon public peu regardant. Il y a quelques éléments dont l'intérêt aurait pu être développé, mais on sent que le scénario était si cadré et polissé qu'il aurait été vain d'imaginer un vrai développement. Vous voulez une excellente série avec un policier dans une petite ville torturée par un drame SF? Regarder The Leftovers.
Dans l'épisode final de la saison (le 8), l'énigme principale dont on se fout un peu en réalité, est effectivement résolue de manière inattendue. Mais ce soufflé artificiellement monté depuis le début se dégonfle totalement avec une foultitude de réponses capillotractées. Tout ça pour ça se dit-on?
AppleTV est la distributrice et probablement l'investisseur majoritaire de Paradise. Si cette série hyper formatée était diffusée sur CBS on NBC, je suis persuadé qu'elle aurait rejoint le cimetière des séries fantastiques, donc certaines excellentes mais tout autant annulées, avec Flashforward, les 4400, invasion, Westworld, Altered Carbon, Continuum, Colony,