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Steff Rob
1 critique
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Critique de la série
1,5
Publiée le 2 décembre 2023
Pourquoi faire une série de 6 épisodes alors qu'un film de 90 minutes aurait suffit ? Franchement c'est long pour rien. On s'ennuie vers une fin sans intrigue. En plus, histoire improbable avec un dénouement impossible. Une histoire de meurtre ne se traite pas à la légère comme ça ! Un procès vide. Bref, j'ai perdu quelques heures
Si vous espérez un thriller haletant et ponctué de twists, vous serez déçu. Si vous aimez les histoires plutôt réalistes, portées par des personnages complexes et bien dessinés, vous apprécierez probablement.
Côté positif, on va dire qu'il s'agit d'une mini-série qui se laisse regarder dont les épisodes donnent envie de poursuivre pour en connaître le dénouement ! En dehors de ça, le final est tout de même très léger, l'enquête reste bâclée et le procès mis en scène est très peu crédible avec un respect des procédures judiciaires qui laisse vraiment à désirer... Entre le comportement de la Procureur, la défense des avocats qui tient en 1 minute ?, l'audition des témoins, ce procès n'a aucune cohérence et ne laisser aucune place à un soupçon de réalité. Quant aux acteurs, la fille est irritante au possible, le père qui ne fait qu'aggraver les choses et la mère complètement à côté de la plaque, c'est dommage !
Dans la catégorie des polars nordiques, "Une famille presque normale" coche tous les poncifs du genre. Les personnages sont plutôt bien écrits mais les rebondissement sont pour la plupart très attendus et le final est prévisible.
Encore une série scandinave intéressante, bien que truffée de défauts. D’abord ces multiples flashbacks qui font parfois perdre le fil, ensuite cette longueur excessive avec toutes ces scènes qui « meublent ». Autrement, la série aborde en profondeur le problème du viol et fait réfléchir. La victime du meurtre est parfaitement antipathique , un jeune abruti qui roule en Porsche qu’il a dû acquérir à la sueur de son front (ouaf ouaf). La jeune fille poursuivie pour ce meurtre est très crédible et on suit avec intérêt les manœuvres de sa mère pour la faire disculper. Du reste, j’ai trouvé que le final était astucieux et mettait en lumière les difficultés de la justice à rendre un verdict juste. A voir malgré les défauts, les acteurs étant plutôt bons.
Une série bien prenante avec des acteurs qui jouent bien , j'ai eu vraiment envie de lancer les prochains épisode pour en savoir plus jusqu’au dénouement, cependant spoiler: la fin est quelque peu décevante du faite qu'il n'y a vraiment aucune surprise, ça fini la ou on a voulu nous emmener . Mais ça n’empêche pas d'apprécier la série et l'intrigue qu'elle qui est bien présente jusqu'à la fin.3,5/5
Si l'intrigue est quelque peu téléphonée, Une Famille Presque Normale est une mini-série efficace, car elle mixe plusieurs thèmes forts et s'appuie sur une réalisation et une interprétation puissantes.
Excellent, les personnages sont fins et nuancés. Les situation familiale sont contemporaine et sentent le vécu. Rien n'est attendu, ni convenu. Une bonne série nordique comme je les aime, cynique mais humaine, drôle mais tragique.
Cette mini-série décrit avec brio la complexité d’un traumatisme vécu par une jeune fille et ses conséquences sur une famille ordinaire. La manière dont le père pasteur et la mère avocate s’impliquent dans l’accompagnement de leur fille unique influencera l’adolescente et sera un des élément nourrissant l’intrigue qui tient en haleine. Les scènes de flashback nourrissent le suspense, surtout vers la fin, et accrochent bien le spectateur. C’est plutôt une série psychologique que polar, les flics brillant par leur inefficacité. Les personnages gardent toutefois une certaine froideur. Le procès à la suédoise est déconcertant, voire glacial : la procureur et l’avocat de la défense résument leur réquisitoire en une minute chrono.
J'ai mangé cette mini série en 2 jours.... C'est un bon Thriller issu d'un roman que je ne connaissais pas. Le climat est dur, l'ambiance lourde et vicieuse, c'est crû sans être vulgaire.
L'actrice principale (Alexandra Karlsson) est bluffante de crédibilité tout au long de l'histoire; elle transmet cette douleur psychologique, ce fardeau de non-dits, cette innocence et incompréhension d'ado, qu'elle porte en elle et qui la ronge au point que l'on oublie presque les tourments des parents.
A un moment, pendant un court instant, je me suis réellement senti mal pour cette famille, avant de me reprendre et de me rappeler que c'était une série fictive et non un réel documentaire policier.
Il y a quelques incohérences spoiler: au niveau de l'enquête, des recherches de preuve, du procès expéditif (il s'agit tout de même du meurtre sauvage d'un trentenaire), mais je suis passé au-dessus, car le principal était ailleurs, je voulais connaître la fin.
Cette série m'a rappelé "La vérité sur l'affaire Harry Québert", issu du roman de Dicker.
J'ai passé un "bon moment" Netflix, bien que ça ne soit pas une série joyeuse en ce temps de fêtes.
"Une famille presque normale" est une mini-série qui vaut le détour. Elle est bien réalisée, avec un scénario bien ficelé et des personnages attachants. La série aborde un thème important, celui de la violence conjugale, de manière réaliste et sans complaisance.