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gérald bertrand
10 critiques
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Critique de la série
2,0
Publiée le 19 octobre 2024
ça brode beaucoup autour d' une histoire qui tient sur un post it. plein de rebondissements et de faux suspense pour créer une peu de action là où il n'y en a pas
Si la période choisie est un vrai tournant dans l'évolution des ordinateurs et super calculateurs, j'ai trouvé l'ensemble plutôt faible. La réalisation est sans surprise, le personnage de Kasparov assez détestable (c'est peut-être la vérité je n'en sais rien!), et on ne comprends pas toujorus ce qui se passe. Dommage
Avec un véritable enjeu sur le rapport homme-machine, cette confrontation évolue en un véritable thriller. 6 épisodes très efficaces tels les 6 rencontres entre l'ordinateur Deep Blue et le champion du monde Kasparov. Tension, manipulation et mensonges sur ce qui fut un vrai événement marquant du siècle dernier.
Avec un véritable enjeu sur le rapport homme-machine, cette confrontation évolue en un véritable thriller. 6 épisodes très efficaces tels les 6 rencontres entre l'ordinateur Deep Blue et le champion du monde Kasparov. Tension, manipulation et mensonges sur ce qui fut un vrai événement marquant du siècle dernier.
Le réalisateur précise qu'il s'agit d'une série inspirée de faits réels avec des personnages ajoutés. Cette idée me dérange un peu car comment démêler le vrai du faux dans ce que l'on voit. Cependant, le rendu donne l'impression d'être proche de la vie d'un champion du monde des échecs et c'est le principal. Le personnage de Kasparov m'a semblé bien interprété avec sa tendance paranoïaque. Il en résulte l'impression qu'il ne vit que pour sa passion et fait passer les échecs avant tout autre chose. Si le « Jeu de la dame » apparaissait comme pure fiction centrée sur un parcours de vie, cette série est très différente puisqu'il s'agit d'une courte période de la vie d'un vrai joueur confronté à la machine Deep Blue d'IBM. Le défaut majeur arrive dans les derniers épisodes où l'intérêt baisse avec des séquences dispensables. En quatre épisodes, la série aurait eu plus de nerf.
Une tentative bien ratée d’adapter un évènement qui recelait un aspect symbolique de notre temps. Sur le fond, le vide est flagrant : la psychologie des personnages est sommaire (Kasparov dit non, dit non, puis dit oui, sans que l’évolution de ses motivations ne soit analysée) et la programmation de la machine éludée (que lui donne-t-on comme données et instructions d’utilisation ?). Et sur la forme, c’est pire : la réalisation rappelle « Dallas » : un plan de ville, un plan sur l’immeuble dans lequel va se dérouler la future scène (les dits- plans n’ayant pas la moindre justification symbolique, esthétique ou narrative), et la scène en question ; c’est d’une affligeante pauvreté. Pour tenter de pallier à cette indigence, le seul recours semble, pour essayer de faire croire à un suspense, l’utilisation d’une bande son envahissante (pendant les éternels plans successifs sur l’échiquier et les mains qui appuient sur les pendules). Un pensum que je n’ai pu supporter que pendant deux épisodes, malgré ma grande motivation initiale de joueur d’échecs.
Sur un sujet plutôt aride (le match d'échecs historique entre Kasparov et Deep Blue), le réalisateur réussit à tenir en haleine même les non-joueurs grâce à un scénario habile, un montage efficace, une bande-son adaptée et des acteurs au top qui savent transmettre la tension nerveuse inhérente à ce jeu. Brillant.
Si l’on est pas un joueur d’échecs, encore mieux si l’on ne connaît même pas les règles du jeu, quel intérêt de regarder une série qui raconte l’affrontement entre Gary Kasparov (alors plus grand champion du monde de tous les temps) et Deep Blue, l’ordinateur sensé le battre ? L’intérêt tient dans le développement approfondi de la psychologie des protagonistes : Kasparov qui devient peu à peu parano, le développeur de Deep Blue prêt à tout pour voir son « bébé » gagner mais « à la loyale » au contraire de l’organisatrice du tournoi qui joue sa carrière, les autres grands maîtres revanchards. On découvre un Kasparov tyrannique avec ses proches mais également prisonnier de son statut, presque incapable d’avoir une vie en dehors des échecs. Passionnant et très bien interprété par Christian Cooke.
Excellente série sur le duel mémorable entre Kasparov et Deep Blue (IBM). La tension est permanente et les parties d'échecs offrent des moments de rebondissements prenant incroyables. La victoire de la machine sur l'homme mais avec la complicité de ce dernier in fine. Le caractère volcanique de Kasparov ajoute au récit et au rythme soutenu de la série.
Bonne petite surprise venant d'arte ! la série n'est pas parfaite, certaines intrigues mineures me paraissent mal amenées (spoiler: le revirement de l'ex-femme de kasparov par exemple ) mais ça reste un divertissement de qualité, retranscrivant fidèlement l'atmosphère des échecs (et surtout tout ce qui est inhérent aux compétitions, le stress, l'ego, la tension, la paranoïa, la manipulation) et offrant en plus un regard nouveau sur ce duel mythique, avec une fin surprenante qui m'était totalement inconnue à savoir spoiler: la triche d'ibm
de plus cette série fait l'effort de s'adresser à tout le monde, aux fanas des échecs ou aux joueurs du dimanche comme moi, mais aussi aux profanes, même si de temps en temps je pense que certaines explications auraient été bienvenues (par exemple la nulle du 3e épisode, ses raisons et ses conséquences pourraient échapper aux non-initiés)
Une série très agréable à regarder. Le duel est connu et le suspense est limité mais la série parvient à maintenir une tension narrative bienvenue. La fin suscite néanmoins une interrogation. On découvre un Kasparov assez antipathique mais qui gagne en humanité au fil des épisodes. Le duel avec Karpov est bien décrit et on se replonge avec délectation dans cette période
Bien meilleure que le jeu de la dame car basée sur des faits réels . La confrontation Kasparov Deep Blue annonce les prémices de l’intelligence artificielle. Serie smart et prenante.
Une très bonne série qui tient en haleine jusqu’au bout (même si on aurait pu faire l’économie d’au moins 1 épisode). Les acteurs sont bons. Pas besoin de connaître ou d’aimer les échecs pour aller au bout. Bande sonore top.
Kasparov ayant vaincu Deep Blue, IBM a obtenu sa revanche, mais qui n'était pas celle que l'on croyait... Une série courte magnifique qui restaure la grandeur de Kasparov, sa passion, sa volonté de faire grandir les échecs en osant affronter une machine dont il espère tirer le meilleur. Beaucoup de personnages gravitent dans cette série avec une touche et une présence justes qui rendent hommage au jeu et aux défis intellectuels qu'il engendre. Une série dont on sort grandi et plein d'espoir sur la créativité humaine.