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Hélène
1 critique
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Critique de la série
4,5
Publiée le 21 octobre 2024
Ne connaissant absolument pas le monde des échecs, cette série m’est apparue très intéressante, tant sur son fond historique, la personnalité complexe de Garry Kasparov, que sur l’émergence de l’intelligence artificielle, les ambitions des uns face aux enjeux qui se posent pour l’humanité ! Tout cela avec un jeu d’acteur juste et subtil !
Ca s'étire beaucoup trop en longueur, sous prétexte de faire durer le suspense des parties, et c'est assez répétitif. Peu de dialogues, contenu minimaliste.
holala quelle série stéréotypée sur le monde des échecs retraçant naïvement l'évènement du combat entre l'homme et la machine tout y est le champion un beau ténébreux au regard bleu et perçant qui n'a en passant rien de russe l'acteur est fadasse (K avait bien plus de charisme) et pourrait jouer dans un western américain l'ingénieur asiatique un peu borderline la fille de la grand entreprise d'informatique qui ressemble à une star des années cinquante tout ça est platement illustratif et presque béta et sans aucune ambiguïté ni nuances rien à voir avec le jeu de la dame autrement plus excitant
J'ai adoré les acteur, la tension rythme. Passionant de revoir cette histoire qui nous a tous concerné. Du Olive et Tom mais avec la profondeur en plus !!
Le sujet est passionnant mais j'ai été assez déconcerté par le parti pris des scénaristes de partir d'une histoire vraie et d'y ajouter des personnages et des évènements totalement inventés. Pourquoi dire que c'est Kasparov et changer les noms des "secondants" de Deep Bluie ?spoiler: Pour ajouter une scène ridicule de Kasparov refusant de jouer alors qu'on déclenche le chrono et qui s'étire alors que l'unité de temps est censée durer moins d'une heure ? Pourquoi tous ces mélos autour de son ex femme et sa fille ? J'aurais compris ces éléments s'ils étaient avérés ou si on était dans une histoire totalement inventé mais ce mélange entre fiction et réalité est parfois limite malaisant, on entre dans l'intimité d'un champion dont ce n'est pas réellement la vie. Je ne sais pas si Kasparov a été consulté sur le scénario mais si ce n'est pas le cas il doit enrager, et si c'est le cas c'est presque plus étrange. J'ai eu aussi un peu de mal avec l'acteur principal qui conserve une espèce de rictus "grogron" pendant les 6 épisodes. Globalement je ne me suis pas ennuyé parce que j'aime les échecs mais j'oublierai rapidement cette mini série et ses acteurs. PC est particulièrement mauvais et le patron d'IBM proprement caricatural.
L'affrontement entre Kasparov et Deep Blue présenté comme le moment charnière dans l'histoire de l'intelligence artificielle, sauf que les hommes sont derrière, vraiment très proches, et que sans l'intervention humaine, pas de machine. On a quand même l'impression que tout a été fait pour truquer la partie, à commencé en Russie avec l'espionnage, et aux Etats-Unis, avec une forme tout aussi proche. La fin est particulièrement bien placée pour montrer à quoi a servi l'ordinateur. On a le sentiment que la machine domine l'humain, ou ce qu'il en reste...
Bonne série malgré une issue connue car tiré de fait réel. De quoi s'interroger sur l'impact qu'aura sur l'humanité l'émergence des nouveaux ordinateurs quantiques.
Très bonne série qui revient sur les défaites, et les victoires, de Kasparov face à Karpov puis à Deeper Blue. Inspiré de faits réels mais les manipulations qu'il impute à IBM ont elles existé ?
Une série assez décevante dans l'ensemble. L'interprétation de l'acteur principal est clairement le meilleur point de cette série. Son accent ressemble fort à celui du vrai Kasparov quand ce dernier parle en anglais. Malheureusement la série a de nombreux défauts : un rythme assez plat (je vais me répéter encore une fois : c'est clairement une série qui pouvait tenir dans un film de 2h); des reconstitutions de l'époque soviétique horribles (je ne comprends pas que le russe n'ai pas été plus utilisé dans cette série) - Karpov ne ressemblait pas du tout à l'acteur qui l'interprète. Je ne comprends pas non plus le choix du réalisateur de ne pas avoir pris des acteur parlant russes pour les rares scènes se passant en URSS. Des scènes plutôt bien trouvées rythment bien le dernier épisode d'une série qui à mon sens a des qualités mais sera vite oubliée.
À part pour les belligérants et les spectateurs attentifs, rien ne ressemble plus à une partie d'échec qu'une autre partie d'échec. C'est donc une gageure de faire une série centrée sur l'échiquier. Le pari est partiellement réussi. Côté réussite. Un premier épisode dynamique, des flash-backs qui viennent rompre la narration, des univers variés - la famille, l'entreprise, la sphère politique -, des acteurs charismatiques, une mise en scène de deep blue sympa (coucou HAL 9000), une belle présentation du monde des échecs, une mise en situation historique avec les débuts du web grand public. Côté échecs ^^. On n'échappe pas à une impression de redite sur les derniers épisodes, et les personnages sont souvent caricaturaux et leur jeu répétitif (particulièrement, pour les deux protagonistes, Garry Kasparov et P.C.). Peu à peu, l'enthousiasme est laminé. Le bilan est donc mitigé. Si on prend plaisir aux premiers épisodes, c'est un sentiment de lassitude et un peu d'agacement qui restent! Dommage! Ça aurait pu être un sans faute. P.S. : De nombreuses critiques comparent Rematch avec The Queen's Gambit. Cela ne me semble pas pertinent. Là où le jeu d'échec n'était qu'un prétexte, Rematch le met, au contraire, au centre de sa narration.
Série terriblement ennuyeuse, lente. et sans suspens (On connait l'histoire...) J'ai arrêté au bout du second épisode, mort d'ennui... Tout est surjoué avec beaucoup de pathos.. Rien à voir avec "Le jeu de la dame" qui, lui donnait envie de s'intéresser aux échecs et nous tenait en haleine. Vous pouvez, sans inconvénient, passer du 1er au dernier épisode. Vous gagnerz beaucoup de temps...
spoiler: Attention les créateurs évoquent une tricherie de la part d'IBM mais c'est une vulgaire provocation de leur part, ils n'ont aucune preuve, étant donné qu'aucun des belligérants ("la guerre la plus pure" dixit Kasparov) de l'équipe Deep Blue n'a souhaité les rencontrer (sources: Les Échos/Wikipédia). Ils ont évité d'y associer le champion du monde d'alors, pour étaler sa vie familiale en public. C'est consternant et nauséabond, cela m'a mis en situation non consentie de voyeurisme !
Sinon la mini-série met bien en exergue les fondamentaux des échecs (ouvertures, défenses et leurs variations, etc.) et surtout sa substantifique moëlle. Cela peut susciter des vocations pour leur pratique à haut niveau nées de bases solides et saines. Ressorts scénaristiques et dramatiques efficaces. Rythme soutenu.
Par contre on frôle trop souvent à mon goût le pathos avec un certain coulis artificiel de bons sentiments, alors que les créateurs semblent éprouver de l'aversion envers chacun de leurs protagonistes,
Rematch : une série géniale sur les échecs, malgré de nombreux avis négatifs. Voici pourquoi :
D'une part, Rematch utilise des termes techniques et des concepts complexes qui peuvent sembler inaccessibles pour un public non initié, ce qui peut rendre la série moins attrayante pour certains. Cependant, cette approche contribue également à son authenticité pour les amateurs d'échecs. D'autre part, les connaisseurs (joueurs d'échecs ou autres) peuvent être plus exigeants, signalant des incohérences (échecs ou informatiques) ou des choix narratifs qui ne respectent pas la réalité historique, notamment en ce qui concerne le comportement de Kasparov.
Il est important de considérer que Rematch est avant tout une œuvre de divertissement. Les attentes des spectateurs, qu'ils soient experts ou néophytes, influencent leur perception de la série. Les connaisseurs devraient faire preuve de souplesse et apprécier la série pour sa capacité à rendre les échecs accessibles, tout en étant conscients que certaines libertés créatives ont été prises. Ce que j'ai particulièrement aimé, c'est l'ambiance et l'aspect moderniste, qui n'ont jamais été explorés auparavant dans le domaine des échecs.
Étant joueur d'échecs FIDE c'est une sére que j'ai pris plaisir à voir, Kasparov étant une de mes deux idoles de jeunesse avec Miguel Indurain. J'ai trouvé quasiment autant de points faibles que de points forts. On pourra par exemple déplorer que la série colle 90% du temps avec le réel, les ajouts passant non pas pour de la fiction mais carrément pour du mensonge tant ils sont noyés dans un océan de véracité. L'acteur qui joue le K. s'en sort bien même si personne ne peut vraiment réussi à dégager le charisme, la force et l'assurance qu'avait Gari. Tout cela lui est si particulier, rien de comparable avec un grand chef d'entreprise ou chef d'état, c'est très difficile à décrire et à comprendre pour non initié.