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Du brio partout: excellents acteurs et tout particulièrement Mathilda de Angelis, ravissante, impertinente, courageuse, intelligente, parfaitement au service de son personnage, une femme libre dans un monde machiste, qu'elle combat avec une énergie communicative. Beaux seconds rôles également, le frère de Lydia et son amant Andrea, des hommes conquis par la personnalité hors norme de cette femme extraordinaire. Vivement la saison 2!
Une série italienne féministe pourvue d'un scénario passionnant et inspiré d'une histoire vraie. L'actrice principale est superbe et très bien dans son rôle. Une réalisation rythmée et une belle photographie rendent le tout plaisant à suivre.
Lidia fait sa loi est une série policière d'enquête de 6 épisodes où l'esthétique et la qualité sont au rendez-vous. Déjà, Matilda De Angelis est juste exquise dans son rôle de Lidia Poët. Elle est crédible, dégage de l'assurance et elle porte formidablement bien la série sur ses épaules. Sous ses airs de femme délicate se cache une vraie lionne.
La série est bien construite, les liens se tissent entre les épisodes et le scénario est bien maitrisé. Il n'y a pas trop d'action, mais assez pour conserver une belle cadence et assez d'intrigue pour nous garder réactif, mais sans nous perdre dans des millions de puzzles sans fin. En gros, il avait un fil et il a été suivis sans nous envoyer partout et nul part, mais, tout en nous conservant des belles surprises.
Par la suite, je pourrais parler de Lidia, car c'est un personnage que j'ai adoré, comme beaucoup, mais je préfère parler de sa garde-robe. Non, mais franchement, ses robes sont magnifiques. Dans chaque scène, elle sortait du lot avec ses robes élégantes et extravagantes, mais sans pour autant faire tache dans cette époque. Bref, le chef couturier, Stefano Clammitti, à juste réussi à faire de magnifiques pièces aussi impressionnantes les unes des autres.
Également, je voulais vraiment souligner ce point que je trouvais important. J'ai trouvé que les scénaristes ont réussi les scènes de nu / sexe. Elles ne frôlent pas la pornographie, comme dans Élite par exemple, ici elles sont propres. C'est juste rafraîchissant de voir ce type de scènes plus humaine et filmer d'une manière plus respectueuse que dans beaucoup d'autres oeuvres.
Pour ce qui est des points négatifs, c'est qu'effectivement la limite avocat / policier est très flou. Je ne sais pas trop le descriptif des taches de ses métiers pour l'époque, en Italie, mais lorsqu'on parle de retracer l'histoire d'une avocate, je m'attendais un peu à une série style Murder ou Le Procès (série Italienne, également) avec d'avantage de plaidoirie que d'enquête de terrain, qui en théorie, appartient à la police. Et je rajouterais que j'aurais d'avantage aimé que cela soit une enquête par saison, je trouve que le format une enquête / un épisode est assez démodé et ce style a assez démontré ses lacunes, car il enlève de la complicité et de profondeur.
Pour conclure, je pense qu'elle a un bon potentiel pour l'avenir. J'espère juste voir plus de barreau que d'enquêtes policières.
La série est bien construite, les liens se tissent entre les épisodes et le scénario est bien maitrisé. Il n'y a pas trop d'action, mais assez pour conserver une belle cadence et assez d'intrigue pour nous garder réactif, mais sans nous perdre dans des millions de puzzles sans fin. En gros, il avait un fil et il a été suivis sans nous envoyer partout et nul part, mais, tout en nous conservant des belles surprises.
Par la suite, je pourrais parler de Lidia, car c'est un personnage que j'ai adoré, comme beaucoup, mais je préfère parler de sa garde-robe. Non, mais franchement, ses robes sont magnifiques. Dans chaque scène, elle sortait du lot avec ses robes élégantes et extravagantes, mais sans pour autant faire tache dans cette époque. Bref, le chef couturier, Stefano Clammitti, à juste réussi à faire de magnifiques pièces aussi impressionnantes les unes des autres.
Également, je voulais vraiment souligner ce point que je trouvais important. J'ai trouvé que les scénaristes ont réussi les scènes de nu / sexe. Elles ne frôlent pas la pornographie, comme dans Élite par exemple, ici elles sont propres. C'est juste rafraîchissant de voir ce type de scènes plus humaine et filmer d'une manière plus respectueuse que dans beaucoup d'autres oeuvres.
Pour ce qui est des points négatifs, c'est qu'effectivement la limite avocat / policier est très flou. Je ne sais pas trop le descriptif des taches de ses métiers pour l'époque, en Italie, mais lorsqu'on parle de retracer l'histoire d'une avocate, je m'attendais un peu à une série style Murder ou Le Procès (série Italienne, également) avec d'avantage de plaidoirie que d'enquête de terrain, qui en théorie, appartient à la police. Et je rajouterais que j'aurais d'avantage aimé que cela soit une enquête par saison, je trouve que le format une enquête / un épisode est assez démodé et ce style a assez démontré ses lacunes, car il enlève de la complicité et de profondeur.
Pour conclure, je pense qu'elle a un bon potentiel pour l'avenir. J'espère juste voir plus de barreau que d'enquêtes policières.
Inspirée de l'histoire de la première femme avocate d'Italie, cette série de déroule début 19ème, dans un univers assez sombre.
Les décors et costumes sont sublimes, les acteurs justes, les intrigues sympas.
Le personnage de Lydia Poët apparaît comme une héroïne féministe, de part le fait d'avoir tenter d'exercer son métier au sein d'une société qui l'interdisait, ultra mysogine et excluante.
C'est bien sûr ce propos qui m'a le plus séduite avec des phrases et des situations pertinentes, qui nous ramène à une époque où la condition féminine était déplorable.
C'est dingue le changement qui s'opère côté série et cinéma, en quelques années les producteurs et scénaristes se sont enfin saisis de thèmes primordiaux, les codes changent et ça fait du bien 🙏
Les décors et costumes sont sublimes, les acteurs justes, les intrigues sympas.
Le personnage de Lydia Poët apparaît comme une héroïne féministe, de part le fait d'avoir tenter d'exercer son métier au sein d'une société qui l'interdisait, ultra mysogine et excluante.
C'est bien sûr ce propos qui m'a le plus séduite avec des phrases et des situations pertinentes, qui nous ramène à une époque où la condition féminine était déplorable.
C'est dingue le changement qui s'opère côté série et cinéma, en quelques années les producteurs et scénaristes se sont enfin saisis de thèmes primordiaux, les codes changent et ça fait du bien 🙏
Après une première saison si réussie, il est rare que je sois aussi emballée par une deuxième saison. Et pourtant ! Les intrigues qui s'entremêlent à rythme effréné, la beauté des costumes et décors, les dialogues (en VOSTFR!), tout n'est que réussite ! Espérons que Netflix fasse le choix d'une troisième saison ce qui relèverait le niveau des autres séries plébiscitées mais de qualité médiocre.
J’ai adoré la série! 😍
Mais la musique est tellement inappropriée et hors contexte pour un série basée sur le 19e siècle!!!
Mais la musique est tellement inappropriée et hors contexte pour un série basée sur le 19e siècle!!!
C'est une très belle série, basée sur la vie d'un personnage réel, la première avocate italienne. Les personnages sont attachants, tiennent bien leur rôle respectif. Le côté "lutte pour la condition féminine" est bien présent en toile de fond. Certes, les "intrigues" criminelles ne sont pas d'un suspense insoutenable, mais bon, cela tient la route quand même. L'héroïne principale distille habilement sérieux, énergie, humour, espièglerie et charme (et dieu sait si elle en a!)
Point positif non négligeable: décors et costumes sont absolument somptueux. La photo et la gestion de la lumière sont vraiment une grande réussite.
Point positif non négligeable: décors et costumes sont absolument somptueux. La photo et la gestion de la lumière sont vraiment une grande réussite.
Pas grand intérêt. C'est une série cahier des charges, rien de plus.
Le propos féministe semble impliquer que tous les hommes sont pourvus de 2 neurones. La série n'a vraisemblablement pas compris le principe du métier d'avocat. L'écriture des enquêtes je n'en parle même pas c'est désolant...
Le propos féministe semble impliquer que tous les hommes sont pourvus de 2 neurones. La série n'a vraisemblablement pas compris le principe du métier d'avocat. L'écriture des enquêtes je n'en parle même pas c'est désolant...
Non non non et non …
Pourquoi croire que féminisme veut dire s’imposer baiser n’importe comment et faire n’importe quoi …
En plus vu l’époque je trouve que tout est trop lisse dans cette série l’image les chapeaux les personnages , j’ai vraiment pas aimé du tout
Pourquoi croire que féminisme veut dire s’imposer baiser n’importe comment et faire n’importe quoi …
En plus vu l’époque je trouve que tout est trop lisse dans cette série l’image les chapeaux les personnages , j’ai vraiment pas aimé du tout
Insipide, banal, ennuyeux... De plus la vraie Lidia Poët avait plus une gueule, une allure de "garçon manqué" que de "fille a papa" interprété par une très jolie femme sexy dans cette série. La musique est inexistante, allez savoir pourquoi? La photo est surexposé, seul les décors ont un peu d'intérêt, et je ne vous parle pas du scénario : fadasse, rasoir.
Netflix en prenant des parts de marché au cinéma a en contrepartie signé avec beaucoup de pays, dont l'Italie, des contrats qui l'oblige a investir dans des séries, des films. Après rien ne nous oblige à les regarder. Pour ma part j'ai tenu 1 épisode de cette série.
Netflix en prenant des parts de marché au cinéma a en contrepartie signé avec beaucoup de pays, dont l'Italie, des contrats qui l'oblige a investir dans des séries, des films. Après rien ne nous oblige à les regarder. Pour ma part j'ai tenu 1 épisode de cette série.
Série très intéressante basée sur des faits réels.
Elle décrit très bien la condition des femme à cette époque .
Elle décrit très bien la condition des femme à cette époque .
Il est clair que cette mini-série italienne "Lidia fait sa loi" entre dans la cour des grandes mini-séries telles que "Peaky Blinders" ou encore "Le jeu de la Dame". Elle est à la fois ambitieuse, rythmée, moderne et addictive. En effet, la mise en scène dynamique et nerveuse reprend la structure classique des séries policières avec une énigme à résoudre en 40 minutes, et distille dès le début des éléments sur Lidia ainsi que les autres protagonistes, ce qui nous rend curieux d'en savoir plus.
Lidia est-elle féministe puisqu'elle ne veut pas dépendre d'un homme et qu'elle souhaite défendre ses idées ainsi que clients? Quelques épisodes peignent d'autres femmes avant-gardistes, telles que la patronne amoureuse d'une travailleuse ou encore la coupable universitaire. Il est certain que Lidia est très rock et moderne, en partie grâce à la musique qui l'accompagne (un mix de morceaux classiques et électro, mais aussi du rock comme "ça me vexe" de Mademoiselle K), mais aussi grâce aux théories et techniques qu'elle défend (par exemple les empruntes digitales) et les hommes avec qui elle joue et se plait à manipuler. Commençons par son frère, d'abord bourru, il s'adoucit lorsqu'il se compte de la compétence de sa soeur ainsi que d'un secret familial dont elle est victime. Puis, face à Jacopo le journaliste et Andréa son amant, les éléments centraux du triangle amoureux, nous découvrons, au fur et à mesure, l'intrigue autour de Jacopo. Il semble, au vu du final de la saison, et de la destinée de Lidia Poët qui est admise au barreau au bout de 35 ans, que la belle italienne suive une destinée proche de "Peaky Blinders" (avec 6 saisons) plutôt que de celle de "Le Jeu de la dame" (une saison).
Lidia est-elle féministe puisqu'elle ne veut pas dépendre d'un homme et qu'elle souhaite défendre ses idées ainsi que clients? Quelques épisodes peignent d'autres femmes avant-gardistes, telles que la patronne amoureuse d'une travailleuse ou encore la coupable universitaire. Il est certain que Lidia est très rock et moderne, en partie grâce à la musique qui l'accompagne (un mix de morceaux classiques et électro, mais aussi du rock comme "ça me vexe" de Mademoiselle K), mais aussi grâce aux théories et techniques qu'elle défend (par exemple les empruntes digitales) et les hommes avec qui elle joue et se plait à manipuler. Commençons par son frère, d'abord bourru, il s'adoucit lorsqu'il se compte de la compétence de sa soeur ainsi que d'un secret familial dont elle est victime. Puis, face à Jacopo le journaliste et Andréa son amant, les éléments centraux du triangle amoureux, nous découvrons, au fur et à mesure, l'intrigue autour de Jacopo. Il semble, au vu du final de la saison, et de la destinée de Lidia Poët qui est admise au barreau au bout de 35 ans, que la belle italienne suive une destinée proche de "Peaky Blinders" (avec 6 saisons) plutôt que de celle de "Le Jeu de la dame" (une saison).
Série très intéressante et captivante ! J'ai beaucoup aimé, en version originale évidemment ! Féministe et engagée.
Certaines femmes ne sont pas nées à la bonne époque. Lida Poët était l'une d'elle. Combattre les préjugés sociétaires sont des combats sans fin dont, entre autres, Lidia fut l'héroïne. Ces femmes hors du commun nous donne le courage d'aller de l'avant ..
Par contre, peut être s'agit de mon poste tv qui a un souci, en fonction des prises de vues, le maquillage était trop visible et dans les plans plus sombres, le visage de l'héroïne disparaissait presque pour ne laisser voir que le rouge de ses joues et de ses lèvres.
Par contre, peut être s'agit de mon poste tv qui a un souci, en fonction des prises de vues, le maquillage était trop visible et dans les plans plus sombres, le visage de l'héroïne disparaissait presque pour ne laisser voir que le rouge de ses joues et de ses lèvres.
Que dire, je m' attendais à tellement mieux. Les histoires sont sans grands intérêts et à croire que c'est à la mode, il faut du sexe partout. Je dois être trop difficile où les autres se contentent de peu