Avis Dallas

Un classique des soap opéra, une des séries les plus connues, notamment pour sa longévité et ses artifices pour faire perdurer le scénario plus que de raison, mais surtout pour son méchant : JR, rien que ces initiales sont aussi connues que CIA ou FBI, c’est dire. Charismatique le magnat du pétrole ? Pas tant que ça mais un perso bien travaillé, avec de bonnes répliques, un background et une emprise sur la trame non négligeable là oui. Faut se rendre compte que, pour la 1ère fois à ma connaissance, on prend fait et cause pour lui, on se met même à le plaindre et à l’apprécier au détriment du gentil Bobby. Et voilà comment les anti héros sont arrivés dans les sitcoms, ou que le fameux « gentil gagne à la fin » à évolué, ou que les happy ends sans conséquences ont fait long feu. Notons quatre Emmy Awards et deux Golden Globes, même si ça ne prouve rien, mais des propos allant parfois à l’encontre de l’american way of life basique.
Hormis son avalanche de persos avec leurs développements plus ou moins foi.reux ainsi que ses multiples coucheries/trahisons, son générique ultra connu, son côté culte dans le genre, sa continuité parfois aléatoire, son histoire hasardeuse mais souvent tirée par les cheveux, ses épisodes répétitifs et ses codes classiques des soaps (dialogues, mise en scène, acting, rythme lent) il n’y a pas grand-chose à signaler, on est dans du très cloisonné (sauf les décors où on sortait parfois des studios). Mention je sais pas quoi mais plutôt footage de tronche pour la saison « rêve de Pam Ewing » pour faire revenir Bobby.
Néanmoins, qu’on aime ou pas c’est la série qui a lancé les trames narratives modernes, c’est à dire les plus intéressantes et les moins manichéennes avec des cliffhanger à fond pour scotcher le public (90 millions d’américains quand même). On est dans le 2ème âge d’or des séries TV et, malgré sa longueur, Dallas est un exemple novateur du renouveau des séries, d’où sa popularité. Cependant ça ne passionne que si l’on suit ça à fond, et pour ça faudrait quand même un scénario attirant avec des persos moins ricains, alors avec le marketing par-dessus ça finit de dissuader de commencer…

J.R, Sue Ellen, Bobby, Pamela et les autres vous font (re)vivre la saga texane des Ewing considèrè pour beaucoup comme un monument du feuilleton tèlèvisè amèricain, rècompensè à juste titre par quatre Emmy Awards et deux Golden Globes! La chanson archi-cèlèbre du gènèrique de "Dallas" donne le ton : « Dallas ton univers impitoyable. Dallas glorifie la loi du plus fort. Dallas et sous ton soleil implacable. Dallas tu ne redoutes que la mort...» Dans les annèes 80, cette saga a collectionnè les rècompenses et les records d'audience! Entrèe au Panthèon des sèries phares, cette plongèe dans l'univers impitoyable du clan Edwig a gardè toute sa saveur! Coups bas, mensonges et trahisons alimentent encore et toujours cet ècheveau d'intrigues sulfureuses! Aux Etats-Unis, certains èpisodes ont même attirè plus de 80 millions de tèlèspectateurs! Un exploit! Avec les inoubliables Larry Hagman, Patrick Duffy, Linda Gray, Victoria Principal et Barbara Bel Geddes! A vos stetsons, c'est (re)parti pour 357 èpisodes...

Quand j'étais minot, je trouvais cette série consternante. A présent je réalise qu'elle était en fait, de très haut niveau.

Série totalement emblématique d'une époque celle des années 80, bien sur cette série feuilleton s'est essoufflée au fil du temps mais en regardant les premières saisons on ne peut que constater l'excellente qualité du produit.
Une chose merveilleuse d'abord sont les décors naturels, chose assez commune dans les séries américaines de l'époque : on y voit une vraie ville, Dallas, un état, le Texas, des terres, du bétail, un ranch, des puits de pétrole bref une vraie vie, un vrai fond cela nous change des studios d'hollywood.
On est aussi très surpris voir impressionné par la férocité et la liberté du propos sur la famille, le mariage, le pouvoir, le monde des affaires et de la politique, le tout incarné par des personnages quasi mythologiques (JR, sue ellen, bobby, pamela..).
Une modèle de série qui accroche par l'intrigue et les personnages mais aussi son intérêt quasi documentaire.

Une famille richissime où plusieurs générations semblent décidées à vivre sous le même toit, en dépit des querelles quasi-incessantes, a de quoi intriguer ! Les saisons 2, 3 et 4 connaissent beaucoup de temps forts. Mais ensuite, avec la disparition de J.Davis, ce n'est pas seulement la famille Ewing mais bien la série qui perd un élément important. La suite, dans une atmosphère devenant à la fois plus sombre et plus "aseptisée", se focalise un peu trop sur les personnages de JR et Bobby...

DA...LLAAAAAS !!!! AH AHHH TON UNIVERS IMPITOYA-AA BLEEE !!! DA LAAAAAAAASS !!!!

J'ai toujours en tête ce générique. Cette série est tout simplement incroyable. Un soap ni trop chiante, avec beaucoup de rebondissement et J.R Ewing, au putain un méchant hyper salopard bien écrit. Il a même plus de classe que n'importe quel méchant de sitcom. Bref un super souvenir de mon enfance qui restera à jamais culte. Il y a quand même la saison "rêve" de Pamela Ewing qui comme beaucoup je n'ai pas compris d'où ça venait (qu'est-ce qu'il ne faut pas faire pour ramener un perso en vie). C'est le seul bémol avec le perso de Sue Elen qui parfois est vraiment chiante.

Dallas , ton univers impitoyable , qui n'a pas ce refrain mémorable en tête aujourd'hui ? On retrouve avec plaisir la riche famille Ewing avec : Le vieux Jock , L'adorable Miss Ellie , Le Magnat du Pétrole JR , Le gentil Bobby , La dépassée Sue Ellen et la Belle Pamela (et bien d'autres encore ) .
Même que je ne sois pas né dans les années 70 /80 , j'ai totalement accroché !!!!
J'adore le sarcastique J.R qui apparaît dans tous les épisodes , le gentil Bobby toujours prêt a rendre service , même les autres personnages sont attachants et non-lassants .
Bonne série et Bons acteurs .
Précision : Dommage que Larry Hagman (qui jouait J.R) soit mort en 2012 . C'était pour moi un acteur remarquable et celui qui a fait de J.R le pilier de la série .

Un univers impitoya-a-ble... La série, bien qu'ayant vieilli, offre toujours son lot de trahisons et de conspirations en tout genres. Parfois riche en intrigues, des personnages mythique, comme J.R ou le couple Pam et Bobby... Les retrouvailles avec cette série, peut être fort amusant.

‘‘Daaallas, ton univers impitoyaaaaable...’’ Qui ne connaît pas les paroles de ce générique ? Dallas est une des séries les plus cultes de l’histoire de la télévision. Des millions d’américains ont suivi cette famille de riches texans sur leur petit écran. Certains épisodes faisaient même parler d’eux dans les journaux télévisés. Tout le monde voulait savoir qui avait tiré sur JR. Cette série était un phénomène. Et cette série, en fin de compte, c’est vraiment con. Non mais franchement, cette série ne vaut vraiment rien. Les scénaristes écrivaient les scénarios sans savoir ce qu’il adviendra des personnages. Et quand l’audience ne suivait plus, les scénaristes trouvaient toujours une solution pour créer des rebondissements, qui au final s’avéraient être ridicules lorsque résolus. Et les acteurs étaient vraiment mauvais, en particulier Sue Ellen (je parle de la jeune blonde, au cas où je me tromperais de nom). Je me plains beaucoup des conneries qui sont diffusées à notre époque à la télévision, mais force est de constater qu’à l’époque, ils avaient aussi leurs daubes. Et une daube, Dallas en est une. Alors pourquoi une étoile ? Parce que pour faire parler d’elle aux journaux télévisés, cette série est vraiment forte. C’est vrai qu’il n’y a pas assez de malheur dans le monde pour qu’on parle de Dallas. (Bon, là, j’exagère un peu, mais je suis très fatigué et j’écris les premières choses qui me viennent à l’esprit. Alors s’il vous plaît, ne m’envoyez pas de MP dans lequel vous contestez ma critique en m’insultant de gros con prétentieux, ce serait gentil de votre part).

série culte des année 80 90 (hélas la wb na pas sortie des saisons 8 a 15 en dvd en france ,honte a eux)

Une série dont la durée a été son principal défaut,car à la fin les scénaristes n'avaient plus vraiment d'idées.Mais elle reste emblématique néanmoins.

Une série culte avec ses qualités (son générique, ses fins d'épisodes façon cliffangher, ses personnages de JR à Bobby en passant par Sue Ellen et Jock) et ses défauts (les intrigues à rallonge, les sous-intrigues chiantes). Parmi les grandes idées, on retiendra le personnage de Gary, le "frère maudit" qui a fui le Texas pour Los Angeles (ce qui donnera "Cote Ouest" et des cross-over interessants entre les 2 séries), le culot incroyable de faire passer toute une saison pour un rêve dans le but de permettre le retour de Bobby mort dans un accident de voiture (la scène de la réapparition sous la douche est un moment d'anthologie), ou le dernier épisode officiel où JR voit la vie de ses proches s'il n'avait pas existé. Mais "Dallas" ne serait pas "Dallas" sans l'exceptionnel personnage de JR Ewing (campé par un Larry Hagmann qui trouvait là le rôle de sa vie), salaud intégral entré au Panthéon des personnages les plus détesté de la TV ainsi que son opposé total, le gentil Bobby Ewing (Patrick Duffy et son humanité) tellement indispensable que son absence momentannée a failli tuer la série.

Le feuilleton Dallas est pour moi plus qu'un culte c'est un mythe immortel. Pourtant, on ne peut laisser passer la faiblesse de la série qui montre parfois des chutes de rythme dans le scénario et une mise en scène un peu pâlichonne. Mais, en cherchant le degré zéro, les créateurs ont voulu à mon avis ne pas se prendre au sérieux et finalement peut être se moquer de leur propre création. J'ai découvert ce feuilleton à l'orée des années frics, paillettes, c'est à dire les eighties. Dallas s'inscrit parfaitement dans son époque et pourtant on la redécouvre toujours avec un immense plaisir. Les personnages ont beau être caricaturaux, ils restent attachants, être rigides ils peuvent être fragiles. En fait, si on excepte la vraie vedette du feuilleton : JR, les personnages les plus captivants semblent être ceux dont l'évolution de leur destinée se fait selon une courbe sinusoïdale : Sue Ellen et Cliff Barnes. Les longs plans séquences qui ouvrent chaque épisode ou présents entre chaque scène (vue sur les buildings ou le ranch) sont toujours les mêmes mais finalement peu importe les imperfections de Dallas, on l'adore quand même. L'ultime scène de la saison 1991 est vraiment chargée d'ironie mordante. Les acteurs et actrices ont dû sûrement s'amuser.

Fantastique car ça reste d' actualité
et en plus il va y avoir enfin une suite. Vive le retour de JR

Culte ! Qu’on le veuille ou non, que l’on aime ou pas, cet univers impitoyable est culte. La saga de la famille Ewing a changé le paysage de la planète télévisée en créant une addiction mondiale sans précédent. Chez nous c’était le lundi soir. Chaque lundi, tout le monde était scotché devant la télé, tous âges confondus. C’est bien la première fois qu’on voyait un méchant héros du film. Et on pouvait même entendre les applaudissements de joie des voisins, avec force hourras, comme si il y avait eut un but dans un match de football, quand le « gentil » Bobby avait enfin cogné et corrigé le « méchant » et manipulateur JR. Voilà pour l’impact du feuilleton. Personnages au profil psychologique hyper simple, mais c’est pour ça que ça fonctionne à ce point sur petit écran. Larry Hagman acteur le mieux payé au monde. Cela sert d’avoir une femme qui te conseille de renégocier chaque année ton contrat, car tout le monde sait que sans JR, il n’y a plus de Dallas. La production était obligée de s’incliner. Et certains idiots derrière leur télés n’y ont vus que du feu, confondant fiction et réalité, ils ont essayés de l’assassiner, Larry Hagman ! Le personnage le plus complexe de la saga, anti héros, séducteur, tombeur viril, magnat du pétrole, il l’a construit en s’inspirant des deux personnes peu recommandables qui existaient réellement. Ensuite c’est devenu une marque déposée, et c’est étudié par d’autres acteurs, qui s’en inspirent quand ils doivent jouer un méchant qui sort des sentiers battus. Avec aussi le plus célèbre loser de la télévision, le dénommé Cliff de la famille Barnes. J’étais amoureux de Victoria Principal, comment ne pas l’être ? Il y a eut des tonnes de produits dérivés, comme tous ces enfants nommés Lucy ou Sue Ellen, d’après les personnages de la série. Des expressions aussi ; en créole, quand on veut dire que quelqu’un est têtu comme une mule, on dit : Ou ross kon John Ross ! Il y a eut des imitations comme Dynastie, des spin off comme Côte Ouest…
Le seul problème, c’est que les scénaristes ont finis par transformer la poule aux œufs d’or en interminable mélo redondant. Ils n’ont pas sus ou pu y mettre fin à temps. L’usure du temps frappe même Mona Lisa. Ils sont même allés jusqu’à ressusciter l’un des personnages principaux, pour le plus invraisemblable retour de l’histoire de la télé. Il était sûr qu’il en avait finit avec la série, le gars, (no spoiler tout le monde sait qui s’est), mais l’audimat et le compte en banque est roi, il est revenu d’entre les morts pour tenir à nouveau son rôle. Certains ont définitivement quittés leurs rôles, tellement ils en avaient marre de la série. Aussitôt remplacés. D’autres sont devenus réellement alcooliques à force de boire pour tenir, (pauvre Sue Ellen). La seule façon d’en finir c’était de mourir, mais les morts seront aussi remplacés, par d’autres acteurs, même pas ressemblants ; d’où que le concept est beaucoup plus puissant que le feuilleton lui-même. Très bon, mais Interminable. Tellement qu’on croyait que ça n’aurait jamais de fin. Un ami atteint d’un cancer avait dit, terrifié de peur à son docteur :
-Docteur, je vais mourir !
- Mais non vous n’allez pas mourir, vous verrez la fin de Dallas. Voilà où on en était.
De rediffusions tronquées en rediffusion tronquées, interminable cette série. Tellement que personne ne connaît la fin. D’ailleurs j’ai l’intuition que la structure narrative est directement inspirée de la bible. Avec la symbolique, du patriarche, du fils prodigue, la femme adultère, et l’ange déchu, qui arrive toujours à te séduire, avec son sourire lumineux, c’est JR, Lucifer en personne. D’où ce formidable pouvoir d’attraction sur les téléspectateurs du monde entier. Interminable. Aussi interminable que ma critique, mais à série phénomène, critique interminable. Cela finit comment au fait? Quelqu’un m’a dit que JR ayant fait le vide autour de lui, s’est retrouvé tellement seul et dégoûté de lui-même qu’il s’est suicidé. C’est bien fait pour lui. C’est vrai au fait ?