Une affaire judiciaire hors-normes, un couple de strass et de luxe intense hors de prix, un rockeur ultra caractériel et provocateur pour une icône glamour, sensuel et divin au sexappeal suprême. Avec cette nouvelle "Star original" dont elle est la première que je visionne, Disney n'à pas seulement marquer un grand coup, elle à prouvée qu'elle pouvait satisfaire pleinement tous les publiques pour tous genres de programmes avec cette mini-série
-16 ayant eu par instants de réels atouts pour le pilier -18 mais ironiquement, un -18 comique et non vulgaire avec nombre de scènes sexuelles intenses. 8 épisodes ou l'on découvre en profondeur la vie du jeune couple Paméla Anderson et Tommy Lee dans leur richissime vie, leur extravagance sans aucune retenue, sans aucun malaise publique et dans la perpétuelle provocation visuelle et verbale pour Tommy. Un casting tous bonnement démentiel avec la Cendrillon, la "Drive girl" ou simplement, la beauté et le talent triplement incarner par une Lily James ultra méconnaissable dans ce rôle en or massif ou son jeu fut parfait, du banal au comique très poussif mais jouissif au dramaturge percutant, elle s'est révélée et j'aurais honnêtement mis un long moment pour là reconnaître. Sebastian Stan, notre mythique soldat hivernal Marvélien dans la peau d'un jeune homme, au bord du dopage quotidien, buveur intensif et grossier, un rôle qui lui aura éradiquer son "gentil" personnage bien connu, Sébastian Star. Puis pour conclure le principal, Seth Rogen en déclencheur du scandale planétaire, livre une performance égal à Josh McDermitt dans "The Walking Dead" ou le cerveau se fait très rapidement rattraper par la réalité brutale des conséquences, un jeu de certitude joyeuse suivie d'une incapacité de réaction autoritaire. Enfin, le scénario global, d'une immense simplicité, mêle avec panache et dynamisme, vie de couple, vie professionnelle, fuite de la sextape, enquête judiciaire, naissance progressive d'internet et immersion dans l'industrie porno. Une série mettant très en avant la place misérable des femmes, même dans les années 90, ou la gente masculine de tous les horizons, n'avaient envers ces dames, que les intentions les plus perverses, minables et machistes, Lily fut saisissante et émouvante dans les derniers épisodes, montrant réellement, la fragilité inconnue mais percutante de Paméla, qui fut la victime involontaire mais directe de leur tirant amateur.
8 épisodes passionnants pour une vie tumultueuse et luxueuse se concluant dans un déversement de larmes et de colère. Immanquable