Avis Equinox

Après la série pas si mal "The Rain", "Equinox" se présente comme étant la seconde série danoise made in Netflix. Il s'agit d'une quête de vérité remplie de mystères et de suspense, enrobée dans une bonne couche d'ésotérisme et de folklore. La série est adaptée d'un podcast à succès, présenté par Tea Lindeberg, la créatrice. L'intrigue raconte la disparition inexpliquée de vingt-et-un étudiants en 1999 lors d'un road-trip festif. Seuls trois d'entre eux ont survécu, mais sans se souvenir de quoique soit de probant. Vingt ans après, la soeur d'une des disparues décide de revenir sur cette tragédie qui la hante toujours.
On ne peut pas nier que les premiers instants de cette série interpellent en surfant sur le registre du folk horror, entre mystère, légendes ancestrales et rites païens. Le récent "Midsommar", sorti au cinéma (au quoi ?), en est un parfait représentant. Pour vous faire une idée si vous ne l'avez pas vu, vous avez aussi sur Netflix le film "The Ritual", pas si mal réussi et similaire. Pour ses thèmes de disparitions incompréhensibles et de rapport à la temporalité, difficile de ne pas repenser également à la série allemande "Dark" qui vient de poser son point final cette année. En terme d'esthétique et d'ambiance, donc, notre attention est scotchée d'amblée. On réalise aussi progressivement que cet événement n'a rien à voir avec un quelconque accident, laissant émerger un monde parallèle glauque et dangereux où règne un monstre ancestral à grandes oreilles. Le personnage principal, très justement interprétée par Danica Curcic, fournit beaucoup de réponses, entre ses souvenirs épars de son enfance et ses inquiétantes visions prophétiques. Peuplé autant de personnages que de secrets, "Equinox" régalera ceux qui adorent se retourner le cerveau avec des casse-têtes.
Dans cette valse de mensonges, de manipulations, une zone d'ombre persiste, incluant Dieux, surnaturel et sacrifices. Pour ma part, bien qu'ayant été surpris par la qualité du jeu d'acteur et la mise en scène, j'ai rapidement senti les limites de cette adaptation de podcast. En effet, j'ai ressenti de nombreux coups de mou qui freinent considérablement notre intérêt. Ça se répète, ça se dilue dans le temps et ça tourne en rond. L'enquête n'est palpitante que si on s'accroche à un rythme irrégulier et volontairement nébuleux. Alors que les premiers indices attisent notre curiosité et contribuent à la résolution de l'énigme, les suivants sont porteurs de confusion. Tiré par les cheveux, le fil qui se tisse se transforme en gros noeud bizarre. Les dialogues manquent de nous percuter de front et le Mal, autour duquel tout se joue, passe pour une figure inoffensive et inactive. En perdant la fluidité des indices, j'ai également perdu mon intérêt, et ce qui se voulait original se transformait en téléfilm anecdotique diffusé en heure creuse. À l'image de ce final mi-figue mi-raisin, à la fois ouvert et fermé, on ne sait pas trop sur quel pied danser avec "Equinox". Entre drame familial et folklore nordique, notre intérêt se préserve et reste sur la touche.

Après la série pas si mal "The Rain", "Equinox" se présente comme étant la seconde série danoise made in Netflix. Il s'agit d'une quête de vérité remplie de mystères et de suspense, enrobée dans une bonne couche d'ésotérisme et de folklore. La série est adaptée d'un podcast à succès, présenté par Tea Lindeberg, la créatrice. L'intrigue raconte la disparition inexpliquée de vingt-et-un étudiants en 1999 lors d'un road-trip festif. Seuls trois d'entre eux ont survécu, mais sans se souvenir de quoique soit de probant. Vingt ans après, la soeur d'une des disparues décide de revenir sur cette tragédie qui la hante toujours.
On ne peut pas nier que les premiers instants de cette série interpellent en surfant sur le registre du folk horror, entre mystère, légendes ancestrales et rites païens. Le récent "Midsommar", sorti au cinéma (au quoi ?), en est un parfait représentant. Pour vous faire une idée si vous ne l'avez pas vu, vous avez aussi sur Netflix le film "The Ritual", pas si mal réussi et similaire. Pour ses thèmes de disparitions incompréhensibles et de rapport à la temporalité, difficile de ne pas repenser également à la série allemande "Dark" qui vient de poser son point final cette année. En terme d'esthétique et d'ambiance, donc, notre attention est scotchée d'amblée. On réalise aussi progressivement que cet événement n'a rien à voir avec un quelconque accident, laissant émerger un monde parallèle glauque et dangereux où règne un monstre ancestral à grandes oreilles. Le personnage principal, très justement interprétée par Danica Curcic, fournit beaucoup de réponses, entre ses souvenirs épars de son enfance et ses inquiétantes visions prophétiques. Peuplé autant de personnages que de secrets, "Equinox" régalera ceux qui adorent se retourner le cerveau avec des casse-têtes.
Dans cette valse de mensonges, de manipulations, une zone d'ombre persiste, incluant Dieux, surnaturel et sacrifices. Pour ma part, bien qu'ayant été surpris par la qualité du jeu d'acteur et la mise en scène, j'ai rapidement senti les limites de cette adaptation de podcast. En effet, j'ai ressenti de nombreux coups de mou qui freinent considérablement notre intérêt. Ça se répète, ça se dilue dans le temps et ça tourne en rond. L'enquête n'est palpitante que si on s'accroche à un rythme irrégulier et volontairement nébuleux. Alors que les premiers indices attisent notre curiosité et contribuent à la résolution de l'énigme, les suivants sont porteurs de confusion. Tiré par les cheveux, le fil qui se tisse se transforme en gros noeud bizarre. Les dialogues manquent de nous percuter de front et le Mal, autour duquel tout se joue, passe pour une figure inoffensive et inactive. En perdant la fluidité des indices, j'ai également perdu mon intérêt, et ce qui se voulait original se transformait en téléfilm anecdotique diffusé en heure creuse. À l'image de ce final mi-figue mi-raisin, à la fois ouvert et fermé, on ne sait pas trop sur quel pied danser avec "Equinox". Entre drame familial et folklore nordique, notre intérêt se préserve et reste sur la touche.

Cette série nous vient du Danemark, est une cousine éloignée de Dark et a pour demi-sœur Midsommar. En nettement moins réussie ne rêvez pas. Comme souvent la forêt, limite entre l'Ici et l'Ailleurs est très présente et la lumière de certaines scènes rappelle celle du film de Ari Aster. Équinox est intrigante au début, puis plate par moment, les séquences oniriques sont fabriquées avec peu de moyens et auraient pu être mieux mais il reste le plaisir de découvrir de l'horror-folk scandinave. Dans le style on a donc vu bien mieux mais la fin est intéressante et donne envie de voir la suite.

Saison 1 : 3,1/5
Impossible de vouloir s'arrêter après le premier épisode, j'ai trouvé l'intrigue très prenante. Malheureusement au fil des épisodes, le suspense disparaît chaque fois un peu plus, disons que sa devient très vite plat parfois.
J'ai bien aimé le principe de l'histoire, le faite qu'un bus de lycéens disparaît et que 20 plus tard la sœur d'une disparue va essayer de résoudre le mystère. C'est vraiment une série sombre, ce côté noir m'a plu.
Danica Curcic, dans la peau d'Astrid, une actrice que j'avais aperçu dans la série "The Mist" (tiré du roman de Stephen King), elle avait pas un rôle très important mais j'ai trouvé qu'elle jouait bien. Et dans Équinox, elle m'a totalement surpris, je ne la pensais pas si talentueuse !
Je suis pas totalement satisfait des 15 dernières minutes. J'ai encore des questions sans réponses. Mais peut être qu'on nous les révélera dans une prochaine saison si la série marche.

Des personnes qui disparaissent, cela a déjà été traité fréquemment. Hélas, on tient là une série guère novatrice et peu enthousiasmante. Difficile d'aller au bout des six épisodes tellement le développement est fumeux. Les explications qui viennent de légendes ancestrales ne sont guère convaincantes. Le jeu des acteurs n'est pas en cause, il s'agit plutôt de l'intrigue de base et de la réalisation.

Les deux premiers épisodes, je ne les ai pas trouvé mauvais car on peut espérer une "suite" qui va ou peut donner un assez bon thriller.
Je précise que je n’avais rien lu au sujet de l’histoire... donc bien naïvement, je pensais à tout sauf à une série où l’intrigue avancerait (s’enfoncerait...) peu à peu dans l’ésotérisme, dans le ”fantastique”, assaisonnée à la sauce scandinave, avec ses rites païens, son folklore, etc.
Autant j’ai beaucoup aimé les séries policières scandinaves comme The Killing ou Bron/Broen, autant les séries où on a droit à leur folklore, je décroche à la vitesse supersonique.
J'ai été bonne pour regarder jusqu'au bout cette série car je n'étais pas chez moi sinon j'aurais tout arrêté dès le 3è épisode.
Je mets donc 1 étoile pour le début qui m’a mise en joie même si la suite m’a laissée en peine... et pas qu’un peu.

Courte série Danoise de 6 épisodes dont le sujet est la disparition mystérieuse de jeunes en 1999 et plus particulièrement une jeune fille appelée Ida qui est la soeur de l'actrice principale de la série : Astrid. Tout au long des 8 épisodes, on va accompagner la soeur Astrid pour mener l'enquète et tenter de faire la clarté autour de ce mystère de disparition arrivé 20 plus tôt et qui tourne autour d'une légende ancestrale et de sacrifice humain d'une certaine façon. C'est mené comme un thriller, presque une enquète policière et c'est très bien écrit. Je reprocherai juste parfois quelques longueurs, parfois trop de flash-back et une avancée assez linéaire. les prestations des acteurs sont bonnes bien que inutilement fort sombres. On aurait apprécié parfois un brin d'humour pour casser la monotonie. Comme beaucoup de monde, je n'ai pas pu m'empêcher de faire une comparaison avec le style de la série DARK pour le coté angoissant, sombre et mystérieux. La grande question que l'on se pose tout au long de cette série-ci, c'est : avons-nous juste à faire à une sombre histoire de famille que l'on tente de cacher (plutôt histoire policière) ou allons-nous découvrir une vraie histoire fantastique, magique, voire diabolique. Et bien il faut attendre le 6è et dernier épisode où tout est dévoilé et je peux vous dire que c'est assez surprenant. J'ai visualisé la série en 2 jours et je n'ai pas l'impression d'avoir perdu mon temps. Ce n'est pas la meilleure série du moment mais dans son genre, elle a pas mal d'intérêt. C'est déroutant et surprenant et cela en fait une série très différente de ce que l'on peut voir, à condition que vous entrez dans ce concept, dans le jeu de la réalisatrice Danoise qui sort des sentiers battus. Si vous voyez la série comme une série classique, c'est mort : vous allez détester.

Danemark, 1999, une vingtaine de bacheliers disparaissent mystérieusement dont Ida, qui laisse sa petite sœur Astrid, âgée de seulement 9 ans, profondément traumatisée.
Seuls trois étudiants et le chauffeur du bus sont retrouvés en état de choc.
Vingt-et-un an plus tard, Astrid, devenue mère de famille et animatrice radio, reçoit dans le cadre de son émission un appel curieux de Jacob, un des rescapés.
Les cicatrices du passé se rouvrent ; pour sortir de ce cauchemar, Astrid décide de rentrer à Copenhague afin de mener l’enquête et découvrir la vérité sur ces mystérieuses disparitions …
Le voile se dissipe tranquillement au fil des six épisodes que comporte cette première saison, grâce à de nombreux flash-backs plutôt bien amenés.
Cette série danoise vous séduira par son atmosphère troublante et énigmatique sur fond de mythes et de légendes nordiques !

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Une série vraiment bien foutue, entre mythe, ésotérisme et onirisme, tout en suspens et en découvertes. De bons acteurs, une réalisation simple et efficace. Bref, une bonne série qui nous plonge dans un rêve éveille au milieu des paysages et de la culture danoise.

J'adore voir des séries international sur NETFLIX, cela change des USA.
Elles sont pas forcement bonnes mais cela changent .
SERIE NETFLIX: Equinox:
Nous entrons dans une famille DANNOISE au début de la série ,un couple avec 2 filles.
Mais la vérité est pas là ,et plein de mystère ,d'inconnu, mais ou est la réalité ? ...
Mon Avis :.(La fille promise n'est plus vierge)la sœur qui est pas la sœur da la famille mais vierge.
L'histoire tourne sur l'intrigue(Force du mal ?), les mensonges et on se perd vite dans les épisodes et la réalité ,le mystère ...
Comme tous le monde ment lors de l'enquête de la série. il peut y avoir des doutes .
La vérité sera dans le futur .
Je ne recommande pas la saison 1 sauf si vous voulez engrainer les épisodes...

Qu'est ce que c'est nul. Un mélange de dark et de stranger things. Le réalisateur a essayé de reproduire dans le fond les decors et l'ambiance de dark et c'est plutôt réussi pour les décors mais pour l'ambiance 😂😂. Ya du boulot. Les dialogues sont mous, c'est long, ça montre rien. Des scènes qui tournent en longueur notamment la cérémonie sur l'île avec la musique de koh lanta. Et je suis déjà à la fin que je sais ce qu'il va arriver dans le 6. Rien à voir avec Dark. C'est pas comparable sur le plan des dialogues et de la mise en scène.. après quand on a rien d'autre à regarder, why not

C'est lent, confus. L'occasion dans ce genre de quête/enquête est de traiter les relations inter-personnages, intra-familiales. Tout ici n'est qu'esquissé, abandonné pour se recentrer sur Astrid, le personnage principal,que l'on suit avec peine tant elle a peu de charisme. Celui de la mère est plus intéressant, et Ida la sœur disparue est très belle. L'ambiance aurait pu être sombre, elle est seulement froide et triste. Le dénouement est peu clair, décevant pour ce que j'en ai compris.

C'est lent, confus. L'occasion dans ce genre de quête/enquête est de traiter les relations inter-personnages, intra-familiales. Tout ici n'est qu'esquissé, abandonné pour se recentrer sur Astrid, le personnage principal,que l'on suit avec peine tant elle a peu de charisme. L'ambiance aurait pu être sombre, elle est seulement froide et triste. Le dénouement est peu clair, décevant pour ce que j'en ai compris.

Le premier épisode a suscité ma curiosité mais les suivants m'ont plongé petit à petit dans la perplexité puis dans l'ennui. Une déception.

super série avec une mythologie scandinave ce qui change un peu. intrigue sur fond de croyance antique. Peut être une saison 2 qui permettra d éclaircir certaines zones d ombre.